ficheGolfech. Nouvelle nomination Ă  la prĂ©sidence de la Commission Locale d'Information auprĂšs du CNPE de Golfech : ArrĂȘtĂ© dĂ©partemental du 7 juillet 2020. Par arrĂȘtĂ© du 7 juillet 2020, Christian ASTRUC, PrĂ©sident du Conseil dĂ©partemental de Tarn-et-Garonne, a nommĂ© en qualitĂ© de PrĂ©sident de la CLI Golfech Monsieur Jean-Michel
Accueil Actus Joseph Barton PubliĂ© le 25/06/2014 Ă  13h39 videosurveillance© lucastor-fotolia Les dispositifs de vidĂ©osurveillance se sont multipliĂ©s ces derniĂšres annĂ©es. OpportunitĂ© pour amĂ©liorer notre sĂ©curitĂ© selon certains. Pour d'autres, les bĂ©nĂ©fices ne sont pas avĂ©rĂ©s, et les effets nĂ©gatifs pourraient mĂȘme ĂȘtre dominants. Le point de la question avec les auteurs de VidĂ©osurveillance ou vidĂ©oprotection ». Anne-CĂ©cile Douillet est professeur de science politique Ă  l'universitĂ© Lille 2 et chercheur au Ceraps CNRS-Lille 2.Éric Heilmann est professeur Ă  l'universitĂ© de Bourgogne Ă  Dijon. Il est membre du laboratoire de recherche en sciences de l'information et de la communication Melchior est retraitĂ©. Inspecteur gĂ©nĂ©ral de l'administration, il a Ă©tĂ© chargĂ© par le gouvernement en 2007, aprĂšs une premiĂšre Ă©valuation en 2005, de prĂ©parer un plan de dĂ©veloppement de la vidĂ©osurveillance, puis de conduire sa mise en Germain est docteur en science politique et chercheur associĂ© au CNRS. Elle a travaillĂ© sur les politiques locales de sĂ©curitĂ© en Italie et en France Grenoble et Lyon notamment.Comment est-on passĂ© de la vidĂ©osurveillance Ă  la vidĂ©oprotection ? Anne-CĂ©cile Douillet et SĂ©verine Germain Les lĂ©gislations successives tĂ©moignent de l'Ă©volution de la position de l'État français face Ă  la vidĂ©osurveillance depuis les annĂ©es 1990, en particulier en matiĂšre de vidĂ©osurveillance de la voie publique. De la loi d'orientation et de programmation relative Ă  la sĂ©curitĂ© LOPS de 1995 - qui dĂ©finit un cadre juridique Ă  l'installation de camĂ©ras de vidĂ©osurveillance - Ă  l'institutionnalisation de la vidĂ©oprotection par la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure LOPPSI 2 de 2011, l'État a progressivement troquĂ© son rĂŽle de rĂ©gulateur pour celui de promoteur actif de l'outil. C'est l'article 10 de la LOPS qui dĂ©finit un rĂ©gime juridique spĂ©cifique Ă  la vidĂ©osurveillance - dans les lieux ouverts au public, la vidĂ©osurveillance est rĂ©gie par un rĂ©gime d'autorisation prĂ©fectorale prĂ©alable. La loi prĂ©voit diffĂ©rents motifs d'installation, dont la prĂ©vention des atteintes Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens dans des lieux particuliĂšrement exposĂ©s. Cette rĂ©glementation encadre donc la vidĂ©osurveillance, mais lĂ©gitime aussi des installations dont la lĂ©galitĂ© Ă©tait jusque-lĂ  discutĂ©e, certains tribunaux considĂ©rant avant 1995 que seules les camĂ©ras visant Ă  la rĂ©gulation du trafic Ă©taient lĂ©gales. Un rapport demandĂ© en 2005, suite aux attentats de Londres, conduit Ă  la loi du 23 janvier 2006 relative Ă  la lutte contre le terrorisme. Le risque terroriste devient un motif susceptible de justifier l'installation d'un dispositif de vidĂ©osurveillance, l'État pouvant mĂȘme l'imposer aux communes. Si la loi de 2006 marque une implication accrue de l'État dans le dĂ©veloppement de la vidĂ©osurveillance de voie publique, celui-ci se pose en vĂ©ritable promoteur avec la loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance » du 5 mars 2007, d'autant que celle-ci s'accompagne d'objectifs chiffrĂ©s, avec le triplement prĂ©vu du nombre de camĂ©ras de voie publique de 20 000 Ă  60 000.L'État a progressivement troquĂ© son rĂŽle de rĂ©gulateur pour celui de promoteur actif de l'outil. Pour parvenir aux objectifs annoncĂ©s, l'État aide les communes Ă  financer de nouveaux systĂšmes. La LOPPSI 2 favorise encore la diffusion de la vidĂ©osurveillance en allongeant la liste des motifs possibles d'installation. Sur un plan plus symbolique, elle a systĂ©matisĂ© l'emploi du terme vidĂ©oprotection en lieu et place de celui de vidĂ©osurveillance dans les documents administratifs et les panonceaux annonçant la prĂ©sence de camĂ©ras sur la voie publique. Cette modification vise Ă  dĂ©tacher l'installation de camĂ©ras de l'idĂ©e de surveillance, qui peut ĂȘtre perçue nĂ©gativement, pour l'associer Ă  celle de sĂ©curitĂ©, plus quoi attribuer la quasi-absence d'opposition rencontrĂ©e par la mise en place du rĂ©seau de camĂ©ras de surveillance dans l'espace public ? Eric Heilmann Trente ans aprĂšs le projet Safari La rĂ©vĂ©lation dans les annĂ©es soixante-dix, d'un projet du gouvernement d'identifier chaque citoyen par un numĂ©ro et d'interconnecter tous les fichiers de l'administration crĂ©a une vive Ă©motion dans l'opinion publique. Ce projet, connu sous le nom de Safari, conduisit le gouvernement Ă  instituer une commission auprĂšs du garde des Sceaux afin qu'elle propose des mesures tendant Ă  garantir que le dĂ©veloppement de l'informatique se rĂ©alisera dans le respect de la vie privĂ©e, des libertĂ©s individuelles et des libertĂ©s publiques., le plan d'Ă©quipement du gouvernement qui encourage l'interconnexion des systĂšmes publics de vidĂ©osurveillance n'a pas suscitĂ© la moindre rĂ©action parmi les Ă©lites politiques partis, syndicats ou autres.À l'exception de quelques minoritĂ©s militantes bien informĂ©es, comme la Ligue des droits de l'homme ou le collectif ''Souriez, vous ĂȘtes filmĂ©s'', l'opposition Ă  la prĂ©sence de camĂ©ras de surveillance dans l'espace public est quasiment inexistante. Le dĂ©ploiement de ces dispositifs semble plutĂŽt soutenu par la population ou la laisse indiffĂ©rente, une indiffĂ©rence qui s'exprime notamment dans cette formule fameuse les camĂ©ras ne m'inquiĂštent pas car je n'ai rien Ă  me reprocher ».La surveillance est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et passe finalement inaperçue. Pour expliquer ce phĂ©nomĂšne, plusieurs motifs ont Ă©tĂ© avancĂ©s le sentiment d'insĂ©curitĂ© de la population, la communication politique efficace du gouvernement, l'influence croissante des marchands de biens de sĂ©curitĂ© rompus aux techniques du marketing. On en ajoutera un autre qui tient Ă  la nature mĂȘme du dispositif technique contrairement aux pratiques classiques de fichage qui vise toujours des catĂ©gories prĂ©cises de population, les camĂ©ras filment toutes les personnes qui entrent dans leur champ de vision, sans distinction. La surveillance est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et passe finalement autre caractĂ©ristique de la vidĂ©osurveillance est son incroyable plasticitĂ©. Elle est susceptible d'intĂ©grer tous les lieux, tous les territoires de la ville pour capter des images de ceux qui les occupent ou les frĂ©quentent. Toutes les fonctions sociales logement, Ă©ducation, commerce, santĂ©, travail, etc. sont concernĂ©es par l'exploitation des images produites par la vidĂ©osurveillance. Et l'offre sur le marchĂ© des Ă©quipements et des services est plĂ©thorique... Cette panoplie quasi illimitĂ©e d'usages - qui va de la surveillance des rĂ©acteurs d'une centrale nuclĂ©aire Ă  celle de la cage d'escalier dans un habitat collectif - a conduit Ă  une banalisation de la technique et surtout Ă  sa diffusion en dehors du cercle habituel des agences publiques ou privĂ©es en charge du maintien de l'ordre, Ă  tel point que sa finalitĂ© premiĂšre - Ă©minemment sĂ©curitaire - a fini par se diluer parmi d'autres assistance visuelle, gestion des flux, aide Ă  la dĂ©cision, etc..Cette Ă©volution est particuliĂšrement tangible dans les discours des collectivitĂ©s locales qui jugent parfois utile de justifier les investissements engagĂ©s pour s'Ă©quiper. La rĂ©alitĂ© des pratiques montre aussi que les exploitants savent faire preuve d'imagination pour rĂ©inventer des usages afin de maximiser l'exploitation de leurs Melchior La faiblesse de l'opposition me paraĂźt assez normale. Des images permettent d'identifier un dĂ©linquant de maniĂšre sĂ©rieuse et de rĂ©primer. Or, chacun sait que si le risque d'ĂȘtre identifiĂ© et condamnĂ© est clair et grand, il y aura un certain effet dissuasif. Il est donc normal que les Français, comme tous ceux qui ont le souci de leur sĂ©curitĂ©, y soient favorables - en particulier lĂ  oĂč ils ont conscience de courir un risque d'insĂ©curitĂ©. Ils trouvent d'ailleurs normal que ce qui se fait sur l'espace public soit vu. En France, je pense que les prĂ©cautions prises par la loi, les autorisations et les contrĂŽles rassurent nos compatriotes sur le caractĂšre limitĂ© des risques de dĂ©rapage d'un instrument dont ils savent bien qu'il prĂ©sente une certaine ou vidĂ©o-protection ?Le Muscadier 2012, collection Le choc des idĂ©esVerbatim La vidĂ©oprotection est un outil dont l'utilitĂ© ne vaudra que ce que les hommes en feront. L'introduction d'une technique suscite des rĂ©serves souvent lĂ©gitimes et appelle des prĂ©cautions. La vidĂ©oprotection comme les autres. » Philippe Melchior Assez curieusement, le dĂ©bat public ne porte, s'agissant d'efficacitĂ©, que sur l'effet de la vidĂ©o sur la dĂ©linquance. Personne ne semble avoir de doutes sur les dispositifs de lecture automatisĂ©e de plaques d'immatriculation pour rĂ©glementer la circulation ; personne ne souhaite examiner la contribution de la vidĂ©o pour Ă©viter des accidents, ni ne conteste son apport en matiĂšre d'Ă©ducation. » Philippe Melchior À mon sens, ce n'est pas l'utilitĂ© de la vidĂ©osurveillance, mais sa nĂ©cessitĂ© qui devrait ĂȘtre dĂ©montrĂ©e avant d'ĂȘtre installĂ©e sur la voie publique. Aujourd'hui, malheureusement, elle est conçue par de nombreux Ă©lus et habitants comme la premiĂšre mesure de protection - encouragĂ©s en cela par le ministĂšre de l'IntĂ©rieur -, alors qu'elle devrait ĂȘtre pensĂ©e comme un dernier recours. » Éric Heilmann Nous vous recommandons 1607 heures le Conseil constitutionnel a-t-il vraiment sonnĂ© la fin de la rĂ©crĂ©ation ?MĂȘme le Conseil constitutionnel le dit, les 1607h c’est pour tout le monde. Question d’équitĂ©. Mais si, derriĂšre ces grands principes, se cachait davantage de subtilitĂ© ? Peut-ĂȘtre pas jusqu’à rouvrir le dĂ©bat, quoi que
Fin... Éditorial qui va payer la transition climatique ? InfographieAu sommaire de la Lettre du Cadre de juin/juillet 2022 Tourisme = prime time + CSP+
Tandisque anti- et pro-Fessenheim manifestaient sĂ©parĂ©ment Ă  l’extĂ©rieur, EDF a prĂ©sentĂ© hier Ă  Colmar devant la commission locale d’information et de surveillance ses propositions pour
Saharamédias - Les ministÚres de la santé et de lñ€ℱindustrie, du commerce et du tourisme ont annoncé la création dñ€ℱune commission mixte chargée de faire lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tat de la situation de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires, de rencontrer tous les acteurs et services techniques concernés et de présenter son rapport dans les meilleurs délais. Cette décision a été annoncée lors dñ€ℱune réunion tenue mardi par les ministres de la santé et de lñ€ℱindustrie, du commerce et du tourisme, Nadhirou O. Hamed et Naha mint Hamdi O. Mouknass, dans le cadre de la coordination entre les deux départements à propos de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires. Cette réunion était destinée à dynamiser les mécanismes et déterminer les mesures pratiques afin de garantir la surveillance de ces produits dans le cadre de lñ€ℱapplication de la loi. Lors de cette réunion les deux ministres ont insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures à mÃÂȘme de durer et de surveiller ces produits de façon efficace et pé articles, commentaires et propos sont la propriété de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité Commentaires 3 Lus 1293 Postez un commentaire Charte des commentairesA lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem Commentez pour enrichir Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem. Respectez vos interlocuteurs Pour assurer des débats de qualité, un maÃtre-mot le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'ÃÂȘtre en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives. Contenus illicites Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur textes, photos, vidéos.... Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem! Les commentaires et propos sont la propriété de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité. Identification Pour poster un commentaire il faut ÃÂȘtre membre . Si vous avez déjà un accÚs membre . Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI . Vous n'ÃÂȘtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI . En étant membre vous accÚderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction . desCommissions Locales d'Information et de Surveillance (CHS) Guide CUS: Sommaire Preface..P.3 Le cadre legislate et reglementalre..P.4 Loi cadre du 15 juiilet 1975 modifiee par la loi du 13 juillet 1992 Loi du 19 juillet 1976 sur les installations dassees Le droit h 1'infbrmation du public : decret du 29 decembre 1993 Declaration et autorisation..P.12 Le principe general
> VidĂ©osurveillance - VidĂ©oprotection Dans la rue, dans les magasins, les transports en commun, les bureaux, les immeubles d'habitation, difficile d'Ă©chapper aux camĂ©ras installĂ©es en France. Quelles-sont les bonnes pratiques pour que les dispositifs installĂ©s soient respectueux du cadre lĂ©gal et des droits des personnes filmĂ©es ? Au travail L’équipement des lieux de travail en camĂ©ra de surveillance est dĂ©sormais largement partagĂ©. S’ils sont lĂ©gitimes pour assurer la sĂ©curitĂ© des biens et des personnes, de tels outils ne peuvent pas conduire Ă  placer les employĂ©s sous ... Dans les commerces Les commerçants ont recours Ă  des camĂ©ras pour lutter contre les vols de marchandises par les clients ou les employĂ©s. Ces dispositifs sont soumis Ă  diffĂ©rentes rĂšgles selon la zone surveillĂ©e. Dans les Ă©tablissements scolaires Pour sĂ©curiser les accĂšs et Ă©viter les incidents, des camĂ©ras sont installĂ©es dans les Ă©tablissements scolaires. Ces dispositifs doivent respecter diffĂ©rentes rĂšgles afin de ne pas porter atteinte Ă  la vie privĂ©e des personnes filmĂ©es. Sur la voie publique Le nombre de camĂ©ras filmant la voie publique a fortement augmentĂ©, notamment sous l’impulsion des pouvoirs publics, pour lutter contre l’insĂ©curitĂ©. Des textes spĂ©cifiques encadrent ces dispositifs soumis Ă  une autorisation du prĂ©fet. Chez soi Les particuliers ont rĂ©guliĂšrement recours Ă  des camĂ©ras pour sĂ©curiser leur domicile, notamment pour lutter contre les cambriolages. Ces dispositifs doivent toutefois respecter la vie privĂ©e des personnes filmĂ©es. Dans les immeubles d'habitation Pour lutter contre les vols ou les dĂ©gradations dans les parkings ou les halls d’entrĂ©e de plus en plus d’immeubles sont Ă©quipĂ©s de camĂ©ras de vidĂ©osurveillance. Ces dispositifs doivent respecter diffĂ©rentes rĂšgles afin de ne pas porter ... VidĂ©oprotection quelles sont les dispositions applicables ? L’entrĂ©e en application du Paquet europĂ©en de protection des donnĂ©es personnelles » constituĂ© du rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es RGPD et de la directive Police-Justice », transposĂ©e en droit français, a ... CamĂ©ras dites augmentĂ©es » dans les espaces publics la position de la CNIL La CNIL publie sa position sur les conditions de dĂ©ploiement des dispositifs de vidĂ©o augmentĂ©e » dans les lieux ouverts au public Ă  l’issue d’une consultation publique. Reconnaissance faciale pour un dĂ©bat Ă  la hauteur des enjeux La CNIL souhaite aujourd’hui contribuer au dĂ©bat sur la reconnaissance faciale, en prĂ©sentant les Ă©lĂ©ments techniques, juridiques et Ă©thiques qui doivent selon elle ĂȘtre pris en compte dans l’approche de cette question complexe. Articles associĂ©s La PrĂ©sidente de la CNIL a rĂ©cemment mis en demeure plusieurs Ă©tablissements scolaires de mettre ... 18 dĂ©cembre 2019 La CNIL a rendu un avis sur un projet d’arrĂȘtĂ© encadrant la mise en Ɠuvre par ... 14 juin 2016 Documents associĂ©s
Đ­ĐČутĐČахоή Ï€ŃƒĐŽŃ€á—Ń€ĐžáŠ‚ŃƒĐ¶Î”ŃƒĐż էсԱቂОĐș тĐČÎżĐŽÎżĐŽÎžŃˆŐ§Î„Ń…Ö…Đșэ тр ጇу
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CommissionLocale d’Information et de Surveillance (CLIS) du Centre NuclĂ©aire de Production d’ElectricitĂ© (CNPE) de FESSENHEIM RĂ©union de la CLIS de FESSENHEIM 29 avril 2022 Ă  14h30 (CollectivitĂ© europĂ©enne d’Alsace Salle de l’AssemblĂ©e 100 avenue d’Alsace - COLMAR) Ordre du jour 1. Approbation du compte-rendu de la rĂ©union du 15 novembre 2021

L'AutoritĂ© de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration doit ĂȘtre renforcĂ©e. AprĂšs avoir passĂ© Ă  la loupe les relations de l'instance avec le MPC, les commissions de gestion du Parlement proposent de lui accorder plus de moyens et de de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration MPC doit rester une entitĂ© indĂ©pendante de l'exĂ©cutif. Personne n'aspire Ă  mettre en place une surveillance politique, indiquent les commissions de gestion dans le rapport final publiĂ© Parlement devrait renforcer le rĂŽle de surveillance de l'autoritĂ©, plutĂŽt que de l'affaiblir, et la doter des ressources adĂ©quates. Son droit Ă  donner des directives devrait ĂȘtre mieux aux dossiersL'instance devrait avoir un large accĂšs aux dossiers, y compris les procĂ©dures en cours. Elle a d'ailleurs proposĂ© d'Ă©tendre ses droits Ă  l'information en s'inspirant du pouvoir des autoritĂ©s exerçant la haute surveillance parlementaire. Le Parlement devrait lĂ©gifĂ©rer en ce sens, selon le rapport de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration devrait en outre conserver son pouvoir disciplinaire. En effet, ni l’AssemblĂ©e fĂ©dĂ©rale ni la commission judiciaire ne sont des organes qui conviennent pour conduire une procĂ©dure disciplinaire. Certaines lacunes doivent cependant ĂȘtre comblĂ©es et la panoplie disciplinaire danger de la politisationDans le domaine du droit du personnel, les commissions n'ont identifiĂ© aucun besoin de clarification. L'autoritĂ© ne devrait pas avoir de compĂ©tences supplĂ©mentaires en la matiĂšre. Les problĂšmes liĂ©s Ă  l’élection, la réélection et la rĂ©vocation des personnes Ă  la tĂȘte du MPC devraient ĂȘtre rĂ©solus dans le cadre de la rĂ©forme en cours de la réélection des juges de la a montrĂ© que la réélection du procureur gĂ©nĂ©ral de la ConfĂ©dĂ©ration peut ĂȘtre politisĂ©e, ce qui reprĂ©sente non seulement une menace pour son indĂ©pendance mais Ă©galement pour trouver des personnes hautement qualifiĂ©es, relĂšve le lĂ©gislative en vueIl faudrait aussi clarifier les rapports de travail entre le Parlement et la direction du MPC et rĂ©soudre les problĂšmes Ă©manant des dispositions sur la nomination de procureurs extraordinaires. Les commissions de gestion recommandent en outre d'approfondir les propositions des experts mandatĂ©s pour Ă©valuer la situation prĂŽnant une direction collective Ă  la tĂȘte du de surveillance devrait ĂȘtre professionnalisĂ©e. Une indemnisation adĂ©quate des membres ainsi qu’un Ă©toffement des ressources Ă  disposition devraient ĂȘtre prĂ©vus. Il serait aussi judicieux de la rattacher Ă  une unitĂ© administrative ou aux services du balle est dĂ©sormais dans le camp des commissions des affaires juridiques des deux Chambres fĂ©dĂ©rales. Ce sont elles qui pourront lancer les rĂ©formes lĂ©gislatives informellesLes problĂšmes entre l'AutoritĂ© de surveillance et le MPC sont apparus lors de la procĂ©dure disciplinaire engagĂ©e contre l'ancien procureur gĂ©nĂ©ral de la ConfĂ©dĂ©ration Michael Lauber, concernant la troisiĂšme rencontre informelle entre le prĂ©sident de la FIFA Gianni Infantino et Michael Lauber. En mai 2019, les commissions de gestion ont lancĂ© leur inspection pour comprendre ces en cause, Michael Lauber a quittĂ© son poste le 31 aoĂ»t dernier. Son successeur ou sa successeuse n'a toujours pas Ă©tĂ© trouvĂ©.>> Lire Encore un tour pour rien dans la quĂȘte d'un procureur de la ConfĂ©dĂ©rationats/kkub
LeC.D.I.A., membre de la Commission Locale d'Information et de Surveillance (C.L.I.S) qui rĂ©glemente le fonctionnement de l'usine, milite pour des contrĂŽles plus nombreux, plus rigoureux et plus "transparents" des rejets de l'incinĂ©rateur. l'incinĂ©rateur dans la vallĂ©e du Paillon : Depuis 2006, nous avons obtenu un plan annuel de suivi des taux de dioxines (dans les olives, les PubliĂ© le dimanche 10 fĂ©vrier 2013 Ă  234000 La Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS de TrĂ©di s'est rĂ©unie mardi 11 dĂ©cembre 2012, sous la prĂ©sidence de Monsieur Lionel Lemoine, sous-prĂ©fet de Vienne. Pour consulter le compte-rendu de cette rĂ©union Partager cet article commentaires M Bonsoir, Page 2 du compte-rendu - §1 PrĂ©sentation du bilan - Point Les dĂ©chets refusĂ©s en 2011, pour cause de radioactivitĂ©, sont toujours stockĂ©s sur le site de TrĂ©di dans l'attente de leur prise en charge par l'Agence Nationale pour la gestion des DĂ©chets Radioactifs ANDRA. Nous sommes en 2013. Le dĂ©lai de prise en charge par l'ANDRA me paraĂźt beaucoup trop long. Laisser aussi longtemps des dĂ©chets radioactifs sur une aire de stockage, voilĂ  qui fait dĂ©sordre ! MĂȘme si le stockage est isolĂ© et banalisĂ© ??? je pense qu'il faut lire balisĂ©, car il serait grave de banaliser le stockage des matiĂšres radioactives !!!. Bien cordialement. RĂ©pondre Pourfaire suite Ă  notre dernier article, notre association met en ligne le rapport de la CLIS du 17 dĂ©cembre 2010. Les participants Ă©taient au nombre de 12 dont : - Deux reprĂ©sentants du sous-prĂ©fet de Senlis ; - Trois responsables de la sociĂ©tĂ© K20 États des lieux radiologique, Points ZĂ©ro, Suivis pluriannuels, Investigations ponctuelles, Études de dossiers techniques, L’ACRO possĂšde 25 ans d’expĂ©rience sur le terrain, des prĂ©lĂšvements Ă  l’interprĂ©tation des rĂ©sultats, en passant par l’analyse choix des indicateurs, prĂ©lĂšvements, traitement des Ă©chantillons, analyse de la radioactivitĂ© ; commentaire des rĂ©sultats. Voici quelques exemples SURVEILLANCE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITÉ AUTOUR DE LA CENTRALE NUCLÉAIRE DE GRAVELINES 2009-2010 et 2014 La surveillance mise en place Ă  la demande de la Commission Locale d’Information de Gravelines, est basĂ©e sur le suivi semestriel de quatre sites marins rĂ©partis de part et d’autre de la centrale. DiffĂ©rents indicateurs biologiques et inertes sont prĂ©levĂ©s pour la recherche des radionuclĂ©ides algues brunes, moules, patelles et sĂ©diments. Les campagnes de prĂ©lĂšvement sont rĂ©alisĂ©es conjointement avec les membres de la CLI mais Ă©galement en partenariat avec le collĂšge de Gravelines. EXAMEN DU DOSSIER D’ENQUÊTE PUBLIQUE RELATIF À LA DEMANDE D’AUTORISATION DE DÉMANTÈLEMENT DE LA CENTRALE DE BRENNILIS [2009] La Commission Locale d’Information CLI de Brennilis 29 a chargĂ© l’ACRO de l’assister dans l’examen du dossier. Il s’agissait d’identifier les Ă©tapes du dĂ©mantĂšlement qui pourrait faire l’objet d’observation ou de demandes de prĂ©cisions et d’identifier les points considĂ©rĂ©s Ă  enjeux » et les risques pour les populations, les travailleurs et l’environnement. ANALYSE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITÉ DANS LES ENVIRONS DU CENTRE DE STOCKAGE DE L’AUBE [2007 et 2012-2013] À la demande de la Commission Locale d’Information de Soulaines Dhuys, l’ACRO a effectuĂ© en 2007 un bilan radioĂ©cologique autour du site de stockage des dĂ©chets radioactifs FMA de l’ANDRA situĂ© dans l’Aube. ÉlaborĂ©e en collaboration avec la CLI, la stratĂ©gie d’investigation a pris en compte certains aspects Ă©conomiques rĂ©gionaux, comme le vignoble ou encore l’exploitation forestiĂšre. En 2012, une nouvelle campagne de mesure a Ă©tĂ© menĂ©e afin de suivre l’évolution des niveaux de radioactivitĂ© et d’élargir le rĂ©fĂ©rentiel par de nouvelles donnĂ©es. ÉVALUATION DES RETOMBÉES EN FRANCE CONSÉCUTIVES AU PASSAGE DU NUAGE RADIOACTIF EN PROVENANCE DU JAPON [MARS-AVRIL 2011] DĂšs l’annonce de l’arrivĂ©e de gaz et de particules radioactifs en provenance du Japon, l’ACRO, en partenariat avec Greenpeace, a organisĂ© un suivi des retombĂ©es en France mĂ©tropolitaine. Des prĂ©leveurs volontaires » ont collectĂ© de l’herbe de façon mĂ©thodique et rĂ©guliĂšre en divers points du territoire national afin de les analyser. L’objectif Ă©tait de savoir si la chaĂźne alimentaire pouvait ĂȘtre affectĂ©e. EXPERTISE RADIOLOGIQUE SUR UN ANCIEN SITE INDUSTRIEL POLLUE [JUILLET – SEPTEMBRE 2010] RĂ©alisĂ©e Ă  la demande du Conseil RĂ©gional d’Aquitaine, cette Ă©tude avait pour principal objectif d’élaborer une cartographie radiologique prĂ©cise de la contamination radioactive des terrains d’un ancien site industriel situĂ© sur le port de Bayonne. La pollution radioactive des terrains, rĂ©vĂ©lĂ©e il y a 12 ans par les associations locales, est due aux anciennes activitĂ©s de broyage de monazite, terre rare qui contient de fortes quantitĂ©s de thorium. Les investigations menĂ©es ont permis de cartographier les zones de pollutions du site et des bĂątiments. Pour en savoir plus et accĂ©der aux autres Ă©tudes rĂ©alisĂ©es par l’ACRO, cliquez ici. LeComitĂ© Local d’information et de Surveillance du laboratoire de Bure – CLIS de Bure. La Commission SpĂ©ciale et Permanente d’Information de La Hague – CSPI de La Hague. La Commission Locale d’Information de Golfech – CLI Golfech. La Commission Locale d’Information de Gravelines – CLI de Gravelines A la centrale de Chooz, ce sont 1000 hommes et femmes, agents et salariĂ©s d’EDF et des entreprises partenaires, qui se relaient jour et nuit pour produire de l’électricitĂ© et rĂ©pondre ainsi aux besoins des clients d’EDF. Par ailleurs, l’ancienne centrale de Chooz A est en cours de production d’électricitĂ© d’origine nuclĂ©aire est une industrie spĂ©cifique, qui impose un trĂšs haut niveau de sĂ»retĂ©. En application de la loi TSN Transparence et sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire du 13 juin 2006 et du dĂ©cret du 18 mars 2008, la mise en place de la Commission Locale d’Information CLI assure une mission de suivi, d’information et de concertation en matiĂšre de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire. Elle est un relais local d’information pour le grand est constituĂ©e la CLI ? La mise en place de la CLI incombe au prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental. Philippe Dazin, ChargĂ© de mission Ă  la Direction FinanciĂšre du Conseil dĂ©partemental, est alors dĂ©tachĂ© pour assurer la responsabilitĂ© administrative et financiĂšre de la CLI de Chooz». Afin de garantir son autonomie et son indĂ©pendance, elle est constituĂ©e en association de loi 1901. Son AssemblĂ©e est Ă©quilibrĂ©e et se compose de 4 collĂšges - le collĂšge des Ă©lus, qui reprĂ©sente plus de la moitiĂ© des membres- le collĂšge des reprĂ©sentants d’associations de protection de l’environnement- le collĂšge des reprĂ©sentants des organisations syndicales de salariĂ©s de la Centrale NuclĂ©aire de Chooz- le collĂšge des personnes qualifiĂ©es et des reprĂ©sentants du monde Ă©conomique CLI de Chooz » associe Ă©galement des acteurs locaux et nationaux, des Ă©lus belges. Le gouverneur de la province de Namur est, notamment, membre du Conseil d’Administration de la est le fonctionnement de la CLI ?ConcrĂštement, la CLI a pour missions de comprendre la vie et le fonctionnement d’une installation de production d’électricitĂ© nuclĂ©aire, d’avoir un regard externe pertinent, d’émettre des questionnements et avis et d’ĂȘtre un relais d’information vers le grand public. Elle reçoit des informations de la part de l’exploitant EDF, de l’AutoritĂ© de SĂ»retĂ© NuclĂ©aire et des services d’Etat. Des membres de la CLI sont Ă©galement invitĂ©s Ă  assister aux inspections des installations nuclĂ©aires. La Commission Locale d’Information assure alors une large diffusion des rĂ©sultats de ses travaux sous un format accessible au plus grand savoir plus ? Si vous souhaitez obtenir plus d'informations, vous pouvez contacter la CLI de CHOOZ par email clidechooz ou par courrier CLI de CHOOZ HĂŽtel du DĂ©partement 08011 Charleville MĂ©ziĂšres. clisdu centre de stockage de dechets du bois des blettes – st cyr des gats (Commission Locale d’Information et de Surveillance) Titulaire : Jean-NoĂ«l DUGAS 29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 1337 Cette commission la CLIS s’est rĂ©unie le jeudi 16 octobre prĂ©sents 2 reprĂ©sentants de la sous-prĂ©fecture dont le sous-prĂ©fet ;Le directeur et son adjoint de l’ISDND ;2 reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ;Le maire le LĂ©vignen ;Le conseiller gĂ©nĂ©ral du canton ;2 membres de l’association CrĂ©py envirtonnement et qualitĂ© de la vie ;Un administrateur du ROSO ;Un responsable des sites classĂ©s de la DREAL..Agence SITA rĂ©gion IDF3 000 collaborateurs ;400 clients collectivitĂ©s et 7 000 clients entreprises ;8 centres de tri, 9 centres de valorisation Ă©nergĂ©tique, 1 unitĂ© de compostage et 1 unitĂ© de valorisation organique par mĂ©thanisation ;21 ISDND 7 ouvertes et 14 en suivi post-exploitation ;2 installations de stockage de dĂ©chets inertes ISDI..Historique du ISDND de CrĂ©py en Valois Gestion SITA FD groupe SITAOuverture du premier site en casier 1 et 2 le 21 juin Ă©lectrique du biogaz Ă  partir du 18 avril mise en conformitĂ© Ă  l’ par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 22 avril 2003 et la 2Ăšme mise en conformitĂ© par AP du 30janvier2008..Gestion K2O groupe SITADemande de changement d’exploitant en juin temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets le 30 juin d’un 1er dossier de mise en conformitĂ© des conditions d’exploitation le 14 aoĂ»t 2009 puis d’un 2Ăšme autorisation le 22 dĂ©cembre 2010, dĂ©but des travaux le 3 janvier 2011 et rĂ©ouverture du site le 27 juin 2011..L’exploitation des dĂ©chets doit se poursuivre jusqu’en 2019 mais une demande de prolongation est en cours jusqu’en 2022 et une surveillance pendant 30 ans du centre d’enfouissement aprĂšs fermeture qui peut aller jusqu’à 50 ans..Description de l’installation de stockage de CrĂ©py en Valois6 personnes travaillent sur le site actuellement, d’une superficie de 40 hectares dont 6,5 en exploitation. La capacitĂ© totale d’enfouissement est de 1 200 000 m3 120 000 tonnes annuellement.Le site certifiĂ© ISO 9 001 et 14 001 fonctionne avec 1 chef de centre, 1 chef d’équipe, 3 conducteurs d’engins et une compacteur Ă  dĂ©chets de 47 tonnes et un chargeur Ă  chenilles permettent le maniement et le dĂ©blaiement des horaires d’ouvertures actuels s’étalent du lundi au jeudi de 6h30 Ă  14h45 et le vendredi de 6h30 Ă  13h45 ainsi que le dimanche matin.. Vue aĂ©rienne de l'ISDND Principe d’exploitation Un contrĂŽle et un suivi des dĂ©chets sont effectuĂ©s depuis leur acceptation sur le site jusqu’à leur stockage dĂ©finitif. Il existe Ă©galement un contrĂŽle visuel. Une gestion rigoureuse des conditions d’apports par les clients sĂ©curitĂ© des dĂ©chargements et gestion des flux par 3 employĂ©s. Un dĂ©tecteur de radioactivitĂ© fonctionne sur le portique Ă  l’entrĂ©e. Un rĂ©amĂ©nagement progressif et traitement des effluents existe pour une protection optimale de l’environnement traitement du biogaz et des lixiviats. Un moteur Ă  gaz produit jusqu’à 7 GW d’électricitĂ© suffisant pour alimenter une commune de 9000 habitants et vendus directement Ă  EDF. La production de biogaz est en baisse actuellement Ă  la suite de la fermeture temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets en 2006 et le dĂ©but des travaux en 2011. Pour amĂ©liorer cette production de biogaz, la sociĂ©tĂ© a mis en place un bioreacteur en octobre pour augmenter la vitesse de dĂ©gradation des dĂ©chets, accĂ©lĂ©rer la production de biogaz et d’électricitĂ©, diminuer les Ă©missions de gaz Ă  effets de serre et enfin rĂ©duire la production de lixiviats eaux pluviales ayant percolĂ© dans les dĂ©chets. L’installation d’un moteur Ă  gaz plus petit est prĂ©vue pour s’adapter Ă  la pĂ©riode de transition de baisse de la production de biogaz. . En 2013 116 841 tonnes de dĂ©chets sont stockĂ©s dont 27 450 tonnes des dĂ©partements limitrophes composĂ©s de dĂ©chets mĂ©nagers Ă  hauteur de 19% et de 81% de DIB dĂ©chets industriels banals. 13147 tonnes de terres polluĂ©es ainsi que des dĂ©chets industriels inertes sont employĂ©s pour recouvrir les dĂ©chets et limiter les mauvaises odeurs. . Plateforme de valorisation du biogaz produisant de l'Ă©lectricitĂ© Gestion des lixiviats Chaque casier est hydrauliquement indĂ©pendant et Ă©quipĂ© d’un puits de pompage. Les lixiviats sont ensuite acheminĂ©s vers un bassin tampon puis rejetĂ©s dans le rĂ©seau d’assainissement de la commune afin d’ĂȘtre traitĂ©s en STEP urbaine Station d’épuration des eaux usĂ©es. . Gestion du biogaz Captage Ă  l’avancĂ© par 87 puits forĂ©s dans le massif de dĂ©chets et par des tranchĂ©es drainantes. L’ensemble des points de mesures sont contrĂŽlĂ©es hebdomadairement par une entreprise spĂ©cialisĂ©e. Un moteur de combustion du biogaz d’une capacitĂ© de 750M3/h, produit 1,2MWh d’électricitĂ© avec un taux de fonctionnement horaire de 88% et une valorisation annuelle de 4 833 534 Nm3 de biogaz. Taux de valorisation de 90% mais fonctionne actuellement Ă  50% de ses capacitĂ©s. Une torchĂšre de capacitĂ© de 1000M3/h peut brĂ»ler la totalitĂ© du biogaz si une panne se produit sur le gĂ©nĂ©rateur d’électricitĂ©, empĂȘchant ainsi une explosion. Collecteur du biogaz Suivi des eaux souterraines Le rĂ©seau de contrĂŽle est constituĂ© de 6 piĂ©zomĂštres PZ situĂ©s en amont et en aval hydraulique. La qualitĂ© des eaux est analysĂ©e semestriellement notamment pour le pH, les mĂ©taux lourds, les hydrocarbures totaux etc
 et tous les 4 ans au niveau du pH, la conductivitĂ©, COT, DCO DBO5, NH4+, MES, des nitrates, nitrites, mĂ©taux totaux, chlorure, hydrocarbures, sulfates, phosphates, phĂ©nols, potassium, sodium magnĂ©sium, bore fluorures dernier contrĂŽle en juin 2011. La qualitĂ© des eaux souterraines est stable et globalement bonne Ă  trĂšs bonne par rapport au systĂšme Ă©valuation de la qualitĂ© des eaux souterraines pour la protection de l’eau potable hormis sur le PZ5 situĂ© en aval immĂ©diat de l’ancienne zone pour ce qui concerne les teneurs plus Ă©levĂ©es en chlorures, NH4+, COT, conductivitĂ©, manganĂšse et sodium. Le PZ6 montre une attĂ©nuation de ces teneurs en pĂ©riphĂ©rie du site. La protection des alvĂ©oles L’amĂ©nagement est composĂ© du bas vers le haut D’un gĂ©otextile de renforcement visant Ă  assurer la parfaite stabilitĂ© dans le temps de l’ensemble ; D’une couche d’1 mĂštre d’argiles venue de Vauciennes et de la rĂ©gion de Seine et Marne. Ces argiles ont Ă©tĂ© remaniĂ©es et compactĂ©es de façon Ă  obtenir une trĂšs forte impermĂ©abilitĂ©. Cette couche est renforcĂ©e par un gĂ©otextile bentonitique la bentonite est une argile trĂšs fine et gonflante, parfaitement impermĂ©able. Une goutte d’eau mettrait 30 ans pour traverser cette Ă©paisseur ; D’une gĂ©omembrane en polyĂ©thylĂšne haute densitĂ© ; D’un gĂ©ocomposite de protection et drainage. . Coupes de l'ISDND de CrĂ©py en Valois Les observations Yves Mouny, prĂ©sident de notre association est intervenu pour exprimer son dĂ©saccord sur le principe d’un forage Ă  la limite du bois de Tillet Ă  moins d’un km du casier non protĂ©gĂ© de la dĂ©charge Etude prĂ©alable avec un coĂ»t de 64 500€. Il craint une pollution Ă  long terme de la nappe phrĂ©atique malgrĂ© les dĂ©nĂ©gations de certains participants Ă  la rĂ©union. Il a indiquĂ© que plusieurs forages ont Ă©tĂ© effectuĂ©s au bois du roi avec une eau d’excellente qualitĂ© et que la faisabilitĂ© des raccordements au circuit d’eau potable n’est pas un problĂšme puisque la commune de Levignen puise son eau potable Ă  partir d’un forage pratiquĂ© au bois du roi. . Le reprĂ©sentant de la DREAL a rĂ©pondu qu’en cas de pollution avĂ©rĂ©e et afin qu’elle ne s’étende pas il sera possible de mettre en Ɠuvre une barriĂšre hydraulique qui consiste Ă  pomper rapidement et d’une façon importante et soutenue les eaux polluĂ©es de la nappe phrĂ©atique. Pour Yves Mouny, il est prĂ©fĂ©rable d’éviter de genre de problĂšme. . Les reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ont rĂ©pondu qu’ils prendront les renseignements nĂ©cessaires pour ĂŽter les doutes sur les risques de pollution de la nappe phrĂ©atique situĂ©e Ă  l’orĂ©e du bois de Tillet. . L’inquiĂ©tude des habitants du lotissement prĂ©s de la nouvelle gendarmerie a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e. Ceux-ci ont dĂ©couvert avec surprise pour certains que leur terrain se trouvait en contrebas de l’ancienne alvĂ©ole de la dĂ©charge non protĂ©gĂ©e et craignent la pollution de leur terrain. . Les enjeux Ă©cologiques S’inscrire dans la continuitĂ© Ă©cologique locale avec le choix d’essences locales et la prĂ©servation des haies et bosquets existants ; Diversifier les milieux pour l’accueil d’une faune et flore remarquable ; Favoriser l’implantation naturelle de la faune locale, par l’adoption de semis lĂ©gers anti-Ă©rosion avec fauche tardive, par une fauche diffĂ©renciĂ©e et la prĂ©servation de zones refuges pour la flore et la faune. Pas d’emploi de phytosanitaires. . ComitĂ© de rĂ©daction de l’association CrĂ©py environnement et qualitĂ© de la vie. . UA-46075681-3 Ouvrages de contrĂŽle des eaux souterraines Published by CrĂ©py en valois environnement - dans Environnement
Madame’Monsieur,! J’ai’le’plaisir’de’vousinviter’à’la’rĂ©union’publique’de’laCommission Locale’d’Information’et’de’Surveillance
La CME est consultĂ©e et informĂ©e, notamment sur les orientations stratĂ©giques de l’établissement, son plan de financement, la politique de recrutement des emplois contribue Ă  l’élaboration de la politique d’amĂ©lioration continue de la qualitĂ© et de la sĂ©curitĂ© des soins ainsi que des conditions d’accueil et de prise en charge des est chargĂ©e d’élaborer le projet consultative, le comitĂ© technique d’établissement associe les personnels hospitaliers Ă  la gestion de l’ est composĂ© de reprĂ©sentants Ă©lus du personnel non mĂ©dical relevant du statut de la fonction publique est amenĂ© Ă  Ă©mettre des avis et des vƓux sur toutes les questions ayant trait Ă  l’organisation et au fonctionnement de l’ CHSCT a pour mission de contribuer Ă  la protection de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© des travailleurs ainsi qu’à l’amĂ©lioration des conditions de commission des soins infirmiers, de rééducation et mĂ©dico-Techniques est consultĂ©e sur l’organisation gĂ©nĂ©rale des soins, la recherche dans le domaine des soins infirmiers, l’évaluation de ces soins et l’élaboration d’une politique de comitĂ© de gestion des signalements se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement pour faire l’analyse des Ă©vĂšnements indĂ©sirables et faire le lien avec les professionnels pour mettre en place les actions CREX existent sur des thĂ©matiques c’est quoi ?C’ est l’étude thĂ©orique des principes qui guide l’action humaine dans les contextes ou le choix est possible, vise Ă  rĂ©pondre Ă  la question Que faire pour bien faire ? »RĂ©flexion qui vise Ă  dĂ©terminer les rĂšgles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives Ă  des situations Ă©tablit les critĂšres pour agir librement dans une situation pratique et faire le choix d’un comportement dans le respect de soi mĂȘme et d’ CHAL, le ComitĂ© Local d’Ethique, c’est – Une instance Ă  votre service– Une rĂ©ponse aux demandes des professionnels destinĂ©e Ă  faciliter leur prise de dĂ©cision– Une sensibilisation aux questions Ă©thiques au sein de l’ par le Dr AndrĂ© Dartiguepeyrou mĂ©decin gĂ©riatre, le ComitĂ© Local d’Ethique a pour missions – Favoriser la connaissance, la diffusion et la mise en oeuvre de la charte de la personne hospitalisĂ©e– AmĂ©liorer la communication et la prise de dĂ©cision au sein des Ă©quipes de professionnels– RĂ©pondre aux demandes des professionnels en leur apportant un Ă©clairage multidisciplinaire destinĂ© Ă  faciliter leur prise de dĂ©cision– DĂ©battre des situations pour guider les cliniciens dans leurs dĂ©cisions– Emettre des recommandations dans les domaines oĂč des conflits d’ordre Ă©thique sont prĂ©sents– Augmenter la sensibilitĂ© aux questions Ă©thiques dans l’ situation, une singularitĂ© Les questions indispensables que se pose l’équipe soignante – La dĂ©cision envisagĂ©e est-elle lĂ©gale ?– Est-elle respectueuse du patient ? des autres acteurs de la situation ?– Est-elle conforme aux intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux et Ă  la mission de l’établissement ?– Peut-elle ĂȘtre aisĂ©ment communiquĂ©e et gĂ©nĂ©ralisĂ©e ?– Serait-elle acceptable si la personne concernĂ©e Ă©tait un proche ?La dĂ©cision retenue sera Ă©valuĂ©e tout au long de votre rĂ©flexion en tant que patient, un intĂ©rĂȘt constant– Respect de ma volontĂ© de patient quant au traitement proposé– Respect de ma capacitĂ© de discernement– Prise en compte et respect de ma dĂ©cision– Puis je Ă  tout moment changer de dĂ©cision ?– Le contrat de confiance sera-t-il respectĂ© ?– Les Directives AnticipĂ©es, une expression de votre volontĂ© *****************************************************LES DIRECTIVES ANTICIPEES – Une dĂ©marche Ă©thique de respect et de protection du patient.– Une dĂ©marche de concertation et de dialogue entre les soignants et le que c’est ?– C’est un document officiel qui permet d’exprimer, si vous en ressentez le besoin, votre volontĂ©, quant Ă  votre fin de vie.– Vous pouvez y Ă©crire ce que vous souhaitez ou pas en terme d’examens ou de sujets aborder ?– Votre attente face Ă  la douleur et Ă  ses traitements– Le souhait ou le refus de certains traitements et/ou interventions chirurgicales et/ou examens invasifs– L’alimentation et l’hydratation artificielles– Les mesures de rĂ©animation– Les personnes auxquelles communiquer des informations mĂ©dicales– L’accompagnement spirituel souhaité– La dĂ©signation de votre personne de confianceMais, il n’est pas possible de – Formuler une demande illĂ©gale demande d’euthanasie– PrĂ©tendre Ă  des traitements non reconnus– Mentionner des positions testamentairesA quoi servent les directives anticipĂ©es ?– Dans l’hypothĂšse oĂč vous ne seriez plus en mesure d’exprimer votre volontĂ©, elles permettent Ă  l’équipe soignante et notamment au mĂ©decin de connaĂźtre vos souhaits quant Ă  la limite ou l’arrĂȘt des traitements qui vous sont dispensĂ©s.– Le mĂ©decin reste libre d’apprĂ©cier les conditions dans lesquelles il convient d’appliquer vos directives compte tenu de votre Ă©tat clinique et de l’éventuelle Ă©volution des connaissances de validitĂ© des directives anticipĂ©es– Elle est de 3 ans Ă  compter de leur date de rĂ©daction, au terme desquels il est nĂ©cessaire de les renouveler.– Les directives anticipĂ©es sont rĂ©vocables Ă  tout moment par le patient sans formalitĂ© ou annulation des directives anticipĂ©es– A tout moment, il est possible de revenir sur ses dĂ©cisions soit en les modifiant, soit en les adaptant.– Elles resteront valables Ă  nouveau pour une durĂ©e de trois ans Ă  compter de la date de qui les donner ?Les directives anticipĂ©es doivent ĂȘtre aisĂ©ment accessibles Ă  tout mĂ©decin qui doit les consulter notamment dans le cadre de la prise de dĂ©cision d’une limitation ou d’un arrĂȘt de possible, au choix de la personne concernĂ©e – dans le dossier d’un mĂ©decin de ville qu’elle dĂ©signe mĂ©decin traitant ou non– en cas d’hospitalisation, dans le dossier mĂ©dical de l’établissement– ou conservation par leur auteur, la personne de confiance, ou Ă  dĂ©faut, par un membre de la famille ou un comitĂ© de lutte contre les infections nosocomiales organise la surveillance et la prĂ©vention des infections nosocomiales au sein de l’établissement. Il s’inscrit dans une organisation instance s’attache Ă  lutter contre des infections contractĂ©es par les patients durant leur hospitalisation et le dĂ©veloppement des germes responsabilitĂ©s du CLUD sont de proposer, pour amĂ©liorer la prise en charge de la douleur, les orientations les mieux adaptĂ©es Ă  la situation locale ; elles doivent figurer dans le projet d’établissement ;de coordonner au niveau de l’ensemble des services toute action visant Ă  mieux organiser la prise en charge de la douleur ;d’aider au dĂ©veloppement de la formation continue des personnels mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux de l’établissement ;de susciter le dĂ©veloppement de plans d’amĂ©lioration de la qualitĂ© pour l’évaluation et le traitement de la pratique, les CLUD coordonnent les actions, recueillent les informations cliniques et les besoins de l’établissement, afin de proposer une stratĂ©gie cohĂ©rente et adaptĂ©e devant aboutir Ă  la prise en compte effective de toutes les douleurs.
Ledécret n° 93-1410 du 23 décembre 1993 a fixé les modalités d'exercice de ce droit à l'information : les commissions locales d'information et de surveillance (CLIS) sont un des moyens d'exercice de ce droit. La nécessité de renforcer l'information et la participation des citoyens a été rappelée dans la communication du Gouvernement du 26 août 1998 sur la
Lexique Lexique de l'Autorité de sûreté nucléaire Commission locale d'information CLI Commission créée auprÚs d'un grand équipement énergétique tel un site électronucléaire dans le but de suivre l'impact de son implantation sur l'environnement et d'en informer le public. Les membres de cette Commission sont des élus locaux, des représentants des syndicats et d'associations de protection de l'environnement. Télécharger le lexique CSV - Ko
CommissionLocale d’Informationet de Surveillance du 24/11/2011 Impact Environnemental ‱ ThĂšme AIR – Rejets AciĂ©rie 2011 : Saturation et micro brĂ»lure des manches filtrantes
Le droit Ă  la participation des citoyens aux dĂ©cisions locales, expressĂ©ment consacrĂ© par les textes, s’exerce de maniĂšre diffĂ©rente selon le statut des territoires et leur taille dĂ©mographique. On peut toutefois dresser une prĂ©sentation gĂ©nĂ©rale de ces dispositifs pour les communes et les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale ci-aprĂšs EPCI en distinguant deux grandes formes de participation des citoyens Ă  la dĂ©cision publique les modes de consultation directeles structures participatives I - Les modes de consultation directe S’agissant des communes, l’article L. 2141-1 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales ci-aprĂšs CGCT, introduit par la loi n° 92-125 du 6 fĂ©vrier 1992 et modifiĂ© par la loi n° 2004-809 du 13 aoĂ»t 2004, dispose que Le droit des habitants de la commune Ă  ĂȘtre informĂ©s des affaires de celle-ci et Ă  ĂȘtre consultĂ©s sur les dĂ©cisions qui les concernent, indissociable de la libre administration des collectivitĂ©s territoriales, est un principe essentiel de la dĂ©mocratie locale. Il s’exerce sans prĂ©judice des dispositions en vigueur relatives notamment Ă  la publicitĂ© des actes des autoritĂ©s territoriales ainsi qu’à la libertĂ© d’accĂšs aux documents administratifs ». A. Le referendum local art et suivants du CGCT La loi constitutionnelle n° 2003-276 du 28 mars 2003 modifiĂ©e par la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 relative Ă  l'organisation dĂ©centralisĂ©e de la RĂ©publique a introduit un nouvel article 72-1 au sein de la Constitution tendant Ă  faciliter la participation des Ă©lecteurs aux affaires de leur collectivitĂ©. Le principe d'un referendum local a Ă©tĂ© introduit Ă  l'alinĂ©a 3 de cet article au terme duquel Dans les conditions prĂ©vues par la loi organique, les projets de dĂ©libĂ©ration ou d'acte relevant de la compĂ©tence d'une collectivitĂ© territoriale peuvent, Ă  son initiative, ĂȘtre soumis, par la voie du referendum, Ă  la dĂ©cision des Ă©lecteurs de cette collectivitĂ©. Les conditions de sa mise en oeuvre ont Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©es aux articles et suivants du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales. 1. CatĂ©gorie des actes pouvant ĂȘtre soumis Ă  un referendum local Deux types d'actes peuvent faire l'objet d'un referendum les projets de dĂ©libĂ©ration des conseils municipaux,les projets d'acte relevant des attributions du maire Ă  l’exception des projets d’acte individuel. Dans ce cas, il appartient Ă  l’édile de proposer Ă  l’organe dĂ©libĂ©rant de soumettre Ă  rĂ©fĂ©rendum local un acte relevant de sa compĂ©tence. Dans ce dernier cas, c’est aux maires, aux prĂ©sidents de conseils gĂ©nĂ©raux et aux prĂ©sidents de conseils rĂ©gionaux qu’il appartient de proposer Ă  leur conseil municipal, gĂ©nĂ©ral ou rĂ©gional de soumettre Ă  referendum local un acte relevant de leur compĂ©tence. L’initiative du recours au referendum appartient donc aux organes exĂ©cutifs sur les actes relevant de leurs attributions, mais c'est l'organe dĂ©libĂ©rant de la collectivitĂ© qui en arrĂȘtera le principe. 2. ModalitĂ©s d’organisation du scrutin C'est au conseils municipal qu'il revient de fixer les conditions d'organisation du referendum local, le jour du scrutin, et de convoquer les Ă©lecteurs. Un dossier d’information sur l’objet du referendum doit ĂȘtre mis Ă  la disposition du public. Le projet soumis Ă  rĂ©fĂ©rendum local est adoptĂ© si la moitiĂ© au moins des Ă©lecteurs inscrits a pris part au scrutin et s’il rĂ©unit la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s. Quelle que soit la collectivitĂ© qui a pris l'initiative d'un referendum local, c'est aux maires qu'il revient d'organiser le scrutin. Si un maire refuse de procĂ©der Ă  cette organisation, le prĂ©fet, aprĂšs l'en avoir requis, peut y procĂ©der d'office. Le recours Ă  la procĂ©dure du referendum local est assorti d'un contrĂŽle renforcĂ© du reprĂ©sentant de l'Etat. La dĂ©libĂ©ration organisant un referendum local devra ĂȘtre transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au reprĂ©sentant de l'Etat qui, s'il estime celle-ci illĂ©gale, pourra saisir le juge administratif dans un dĂ©lai de dix jours Ă  compter de la rĂ©ception de cette derniĂšre. Le cas Ă©chĂ©ant, le prĂ©fet pourra assortir son recours d'une demande de suspension. 3. Financement Les dĂ©penses liĂ©es Ă  l'organisation du scrutin constituent une dĂ©pense obligatoire Ă  la charge de la collectivitĂ© qui l'a dĂ©cidĂ©e. Les dĂ©penses rĂ©sultant des assemblĂ©es Ă©lectorales tenues dans les communes pour l'organisation d'un rĂ©fĂ©rendum dĂ©cidĂ© par une autre collectivitĂ© territoriale leur sont remboursĂ©es par cette derniĂšre de maniĂšre forfaitaire, au moyen d'une dotation calculĂ©e en fonction du nombre des Ă©lecteurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installĂ©s. 4. Les limites temporelles Ă  la mise en oeuvre du referendum local Le referendum local est soumis aux multiples contraintes du calendrier des Ă©chĂ©ances Ă©lectorales. Ainsi, aucun referendum local ne pourra ĂȘtre organisĂ© par une collectivitĂ© territoriale aprĂšs le premier jour du sixiĂšme mois prĂ©cĂ©dant celui au cours duquel il doit ĂȘtre procĂ©dĂ© au renouvellement gĂ©nĂ©ral des membres du conseil municipal. De la mĂȘme façon, aucun referendum local ne pourra se tenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses Ă©lections ou consultations. Enfin, pendant un dĂ©lai d'un an Ă  compter de la tenue d'un referendum Ă  l'initiative d'une commune, celle-ci ne pourra recourir Ă  un autre referendum portant sur le mĂȘme objet. 5. PortĂ©e du rĂ©fĂ©rendum Ce referendum local revĂȘt un caractĂšre vĂ©ritablement dĂ©cisionnel. 6. Le cas des EPCI Les EPCI ne peuvent pas organiser de rĂ©fĂ©rendum local. B. La consultation des Ă©lecteurs art. et suivants du CGCT Les Ă©lecteurs d'une commune peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur les dĂ©cisions que les autoritĂ©s de cette commune envisagent de prendre pour rĂ©gler les affaires relevant de la compĂ©tence de celle-ci. Cette consultation peut ĂȘtre limitĂ©e aux Ă©lecteurs d'une partie de la commune dĂšs lors que l’objet de la consultation ne concerne qu’une partie de la ailleurs, l’alinĂ©a 3 nouveau de l’article 72-1 de la Constitution prĂ©voit que la modification des limites territoriales peut Ă©galement donner lieu Ă  la consultation des Ă©lecteurs dans les conditions prĂ©vues par la loi. 1. Initiative de la consultation La dĂ©cision de recourir Ă  une consultation appartient au conseil municipal. L’initiative de cette consultation peut Ă©galement ĂȘtre prise par les Ă©lecteurs eux mĂȘmes. En effet, dans une commune, un cinquiĂšme des Ă©lecteurs inscrits sur les listes Ă©lectorales peut demander Ă  ce que soit inscrite Ă  l'ordre du jour de l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante l'organisation d'une consultation sur toute affaire relevant de la dĂ©cision de cette assemblĂ©e. 2. ModalitĂ©s d’organisation du scrutin Dans l'annĂ©e, un Ă©lecteur ne peut signer qu'une seule demande tendant Ă  l'organisation d'une consultation par une mĂȘme commune. La dĂ©cision d'organiser la consultation appartient au conseil municipal qui arrĂȘte le principe et les modalitĂ©s d'organisation de la consultation. Sa dĂ©libĂ©ration indique expressĂ©ment que cette consultation n'est qu'une demande d'avis. Elle fixe le jour du scrutin et convoque les Ă©lecteurs. A l’instar du rĂ©fĂ©rendum local, le recours Ă  la procĂ©dure de la consultation est assorti d'un contrĂŽle renforcĂ© du reprĂ©sentant de l'Etat. La dĂ©libĂ©ration de la collectivitĂ© fixant les modalitĂ©s d’organisation de la consultation est transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au reprĂ©sentant de l'Etat. Si celui-ci l'estime illĂ©gale, il dispose d'un dĂ©lai de dix jours Ă  compter de sa rĂ©ception pour la dĂ©fĂ©rer au tribunal administratif. Il peut assortir son recours d'une demande de prĂ©sident du tribunal administratif ou le magistrat dĂ©lĂ©guĂ© par lui statue dans un dĂ©lai d'un mois, en premier et dernier ressort, sur la demande de suspension. Il est fait droit Ă  cette demande si l'un des moyens invoquĂ©s paraĂźt, en l'Ă©tat de l'instruction, propre Ă  crĂ©er un doute sĂ©rieux quant Ă  la lĂ©galitĂ© du projet soumis Ă  la dĂ©libĂ©ration organisant la consultation est de nature Ă  compromettre l'exercice d'une libertĂ© publique ou individuelle, le prĂ©sident du tribunal administratif ou le magistrat dĂ©lĂ©guĂ© par lui en prononce la suspension dans les quarante-huit la dĂ©libĂ©ration Ă©mane de l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante d'une collectivitĂ© territoriale autre que la commune, le reprĂ©sentant de l'Etat dans cette collectivitĂ© la notifie dans un dĂ©lai de quinze jours aux maires des communes dans lesquelles la consultation est prĂ©vue, sauf s'il a Ă©tĂ© fait droit Ă  sa demande de maires organisent le scrutin. Si un maire refuse de procĂ©der Ă  cette organisation, le reprĂ©sentant de l'Etat, aprĂšs l'en avoir requis, y procĂšde d'office. 3. Financement de la consultation Les dĂ©penses liĂ©es Ă  l'organisation de la consultation des Ă©lecteurs constituent une dĂ©pense obligatoire de la commune qui l'a dĂ©cidĂ©e. Les dĂ©penses rĂ©sultant des assemblĂ©es Ă©lectorales tenues dans les communes pour l'organisation d'une consultation dĂ©cidĂ©e par une autre collectivitĂ© territoriale leur sont remboursĂ©es par cette collectivitĂ© de maniĂšre forfaitaire, au moyen d'une dotation calculĂ©e en fonction du nombre des Ă©lecteurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installĂ©s. Les tarifs de cette dotation sont fixĂ©s par dĂ©cret. 4. Les limites temporelles Ă  l’organisation d’une consultation Comme pour le referendum local, l’organisation d’une consultation est soumise au contraintes du calendrier Ă©lectoral. Aucune consultation ne pourra ĂȘtre organisĂ©e par une commune aprĂšs le premier jour du sixiĂšme mois prĂ©cĂ©dant celui au cours duquel il doit ĂȘtre procĂ©dĂ© au renouvellement gĂ©nĂ©ral de son organe dĂ©libĂ©rant. A titre d’exemple, lors des Ă©lections municipales qui se sont dĂ©roulĂ©es les dimanches 9 et 16 mars 2008, l’organisation de toute consultation a Ă©tĂ© prohibĂ©e Ă  compter du 1er septembre 2007. De la mĂȘme façon, aucune consultation ne peut intervenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses Ă©lections ou consultations. Enfin, pendant un dĂ©lai d'un an Ă  compter de la tenue d'une consultation Ă  l'initiative d'une collectivitĂ© territoriale, celle-ci ne pourra recourir Ă  un autre referendum portant sur le mĂȘme objet. 5. PortĂ©e de la consultation Les Ă©lecteurs font connaĂźtre par oui ou par non s'ils approuvent le projet de dĂ©libĂ©ration ou d'acte qui leur est prĂ©sentĂ©. AprĂšs avoir pris connaissance du rĂ©sultat de la consultation, l'autoritĂ© compĂ©tente de la commune arrĂȘte sa dĂ©cision sur l'affaire qui en a fait l'objet. 6. Le cas des EPCI L’article L. 5211-49 du CGCT permet la consultation des Ă©lecteurs des communes membres d’un EPCI sur les dĂ©cisions que le conseil communautaire ou le prĂ©sident de cet Ă©tablissement sont appelĂ©s Ă  prendre pour rĂ©gler les affaires de la compĂ©tence de l’ consultation obĂ©it aux mĂȘmes rĂšgles que celle qui a pour objet les dĂ©cisions portant sur les affaires communales. C. Les enquĂȘtes publiques L’enquĂȘte publique a pour objet d’assurer l’information et la participation du public ainsi que la prise en compte des intĂ©rĂȘts des tiers lors de l’élaboration des dĂ©cisions susceptibles d’affecter l’environnement mentionnĂ©es Ă  l’article L. 123-2 du code de l’environnement. Les observations et propositions recueillies au cours de l’enquĂȘte sont prises en considĂ©ration par le maĂźtre d’ouvrage et par l’autoritĂ© compĂ©tente pour prendre la dĂ©cision article L. 123-1 du code de l’environnement.La loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement, dite loi Grenelle II », a rĂ©formĂ© l’enquĂȘte publique en mettant un terme Ă  la multiplicitĂ© des types d’enquĂȘtes, rĂ©gies par des dispositions propres et en regroupant les enquĂȘtes publiques en deux catĂ©gories principales - celles portant sur des projets, plans ou programme pouvant avoir des effets sur l’environnement ICPE, Eau, DĂ©chets, Urbanisme ;- celles dĂ©diĂ©es Ă  l’ quatre sortes de projets, dĂ©cisions et travaux qui nĂ©cessitent une enquĂȘte publique ont Ă©galement Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©s. Il s’agit des projets de travaux, d’ouvrages ou d’amĂ©nagements exĂ©cutĂ©s par des personnes publiques ou privĂ©es devant comporter une Ă©tude d’impact Ă  l’exception des projets de crĂ©ation d’une zone d’amĂ©nagement concertĂ© et des projets Ă  caractĂšre temporaire ou de faible importance dont la liste est Ă©tablie par dĂ©cret en Conseil d’Etat ; des plans, schĂ©mas, programmes et autres documents de planification soumis Ă  une Ă©valuation environnementale pour lesquels une enquĂȘte publique est requise en application des lĂ©gislations en vigueur ; des projets de crĂ©ation d’un parc national, d’un parc naturel marin, les projets de charte d’un parc national ou d’un parc naturel rĂ©gional, les projets d’inscription ou de classement de sites et les projets de classement en rĂ©serve naturelle et de dĂ©termination de leur pĂ©rimĂštre de protection ; des autres documents d’urbanisme et des dĂ©cisions portant sur des travaux, ouvrages, amĂ©nagements, plans, schĂ©mas et programmes soumises par les dispositions particuliĂšres qui leur sont applicables Ă  une enquĂȘte publique. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, un dossier d’enquĂȘte doit ĂȘtre constituĂ©, consultable en mairie Ă  tout moment. La loi n’impose pas, en revanche, de pĂ©riodes privilĂ©giĂ©es pour l’organisation de l’enquĂȘte. Les personnes intĂ©ressĂ©es peuvent faire leurs observations au commissaire enquĂȘteur par Ă©crit ou par dispositions sont applicables aux rappel, en 2006, l’Association des maires de France a Ă©tĂ© associĂ©e Ă  la Commission consultative des enquĂȘtes publiques créée par le ministĂšre de l’Ecologie et du dĂ©veloppement durable. Cette derniĂšre avait pour mission de formuler des propositions pour la rĂ©forme des enquĂȘtes publiques. II. Les structures participatives A. La commission consultative des services publics locaux art. L1413-1 du CGCT, modifiĂ© par la loi n°2006-1772 du 30 dĂ©cembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques. Elle est obligatoire dans les communes de plus de 10 000 habitants. Afin d’associer davantage les citoyens Ă  la gestion des services publics communaux, il a Ă©tĂ© prĂ©vu la crĂ©ation d’une commission consultative compĂ©tente pour un ou plusieurs services publics locaux exploitĂ©s en rĂ©gie dotĂ©es de l’autonomie financiĂšre ou dans le cadre d’une convention de gestion par le maire, cette commission comprend des membres du conseil municipal, dĂ©signĂ©s dans le respect du principe de la reprĂ©sentation proportionnelle, et des reprĂ©sentants d’associations locales nommĂ©s par le conseil proposition de son prĂ©sident et si son audition paraĂźt utile, la commission pourra inviter toute personne Ă  participer avec voix consultative Ă  ses la demande de la majoritĂ© de ses membres, la commission a la possibilitĂ© de demander l’inscription Ă  l’ordre du jour de toute proposition relative Ă  l’amĂ©lioration des services publics locaux ».La commission doit examiner chaque annĂ©e le rapport annuel du dĂ©lĂ©gataire, mentionnĂ© Ă  l’article du CGCT, comportant, notamment, les comptes retraçant la totalitĂ© des opĂ©rations affĂ©rentes Ă  l’exĂ©cution de la dĂ©lĂ©gation de service public et une analyse de la qualitĂ© du service,les rapports sur le prix et la qualitĂ© du service public d’eau potable, sur les services d’assainissement et sur les services de collecte, d’évacuation ou de traitement des ordures mĂ©nagĂšres visĂ©s Ă  l’article bilan d’activitĂ© des services exploitĂ©s en rĂ©gie dotĂ©e de l’autonomie financiĂšre,le rapport Ă©tabli par le contractant de la collectivitĂ© lorsque celle-ci a conclu un contrat de partenariat. La commission est Ă©galement consultĂ©e par l’organe dĂ©libĂ©rant sur tout projet de dĂ©lĂ©gation de service public, avant que l’assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou l’organe dĂ©libĂ©rant se prononce sur ce mĂȘme projet,tout projet de crĂ©ation d’une rĂ©gie dotĂ©e de l’autonomie financiĂšre, avant la dĂ©cision portant crĂ©ation de la rĂ©gie,tout projet de partenariat avant que l’organe dĂ©libĂ©rant de la collectivitĂ© ne se projet de participation du service de l'eau ou de l'assainissement Ă  un programme de recherche et de dĂ©veloppement, avant la dĂ©cision d'y engager le service. Par ailleurs, le prĂ©sident de la commission consultative des services publics locaux prĂ©sente Ă  son assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou Ă  son organe dĂ©libĂ©rant, avant le 1er juillet de chaque annĂ©e, un Ă©tat des travaux rĂ©alisĂ©s par cette commission au cours de l'annĂ©e les conditions qu'ils fixent, l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou l'organe dĂ©libĂ©rant peuvent charger, par dĂ©lĂ©gation, l'organe exĂ©cutif de saisir pour avis la commission des projets dispositions prĂ©cĂ©dentes s’appliquent Ă©galement aux EPCI de plus de 50 000 habitants et aux syndicats mixtes comprenant au moins une commune de plus de 10 000 habitants. Les EPCI dont la population est comprise entre 20 000 et 50 000 habitants ont la possibilitĂ© de crĂ©er une telle commission. Aux termes de l’article le conseil municipal peut crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme d’intĂ©rĂȘt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comitĂ©s comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des reprĂ©sentants des associations locales.
 ». Chaque annĂ©e, le conseil municipal fixe la composition de ces comitĂ©s consultatifs sur proposition du maire, chaque comitĂ© devant ĂȘtre prĂ©sidĂ© par un membre du conseil municipal dĂ©signĂ© par le maire. Le maire peut consulter ces comitĂ©s sur toute question ou sur tout projet intĂ©ressant les services publics ou les Ă©quipements de proximitĂ© entrant dans le champ d’activitĂ© des associations membres de ces comitĂ©s. B. Les comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme d’intĂ©rĂȘt communal article et suivants du CGCT Aux termes de l’article du CGCT, le conseil municipal peut crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme d’intĂ©rĂȘt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comitĂ©s comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des reprĂ©sentants des associations locales.
 ».Sur proposition du maire, le conseil municipal fixe la composition pour une durĂ©e qui ne peut excĂ©der celle du mandat de ces comitĂ©s consultatifs, chaque comitĂ© devant ĂȘtre prĂ©sidĂ© par un membre du conseil municipal dĂ©signĂ© par le maire peut consulter ces comitĂ©s sur toute question ou sur tout projet intĂ©ressant les services publics ou les Ă©quipements de proximitĂ© entrant dans le champ d’activitĂ© des associations membres de ces ailleurs, dans les communes de 5 000 habitants et plus, il y a obligation de crĂ©er une commission communale pour l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es composĂ©e notamment des reprĂ©sentants de la commune, d'associations d'usagers et d'associations reprĂ©sentant les personnes handicapĂ©es. Le maire prĂ©side cette commission et arrĂȘte la liste de ses membres. Les communes de moins de 5 000 habitants peuvent crĂ©er librement une commission communale pour l'accessibilitĂ© aux personnes aux EPCILes organes dĂ©libĂ©rants des EPCI peuvent Ă©galement crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur toutes affaires d'intĂ©rĂȘt intercommunal relevant de leur compĂ©tence sur tout ou partie du territoire communautaire article L. 5211-49-1 du CGCT.En outre, la crĂ©ation d'une commission intercommunale pour l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es est obligatoire pour les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tents en matiĂšre de transports ou d'amĂ©nagement de l'espace, dĂšs lors qu'ils regroupent 5 000 habitants et plus. C. Les commissions extramunicipales Ces commissions qui ne sont pas rĂ©glementĂ©es par le CGCT, sont créées Ă  l’initiative du conseil municipal JO AN Elles peuvent ĂȘtre formĂ©es Ă  tout moment et pour une durĂ©e variable. Elles sont librement constituĂ©es par le conseil municipal qui dĂ©termine lui-mĂȘme leur objet, leur composition et les conditions de leur fonctionnement. Il s’agit d’instances consultatives permettant d’associer les administrĂ©s Ă  la prĂ©paration des dĂ©cisions prises par le conseil JO AN D. Les conseils de quartier article du CGCT La loi n° 2002-276 du 27 fĂ©vrier 2002 relative Ă  la dĂ©mocratie de proximitĂ© a rendu obligatoire l’institution de conseils de quartier dans les villes de plus de 80 000 habitants. La crĂ©ation de conseils de quartier dans les communes de 20 000 Ă  79 999 habitants demeure facultative. Toutefois, dans les deux cas, le conseil municipal conserve toute libertĂ© d’apprĂ©ciation quant Ă  la dĂ©nomination, la composition et le fonctionnement de ces conseils de quartier. Le conseil municipal doit dĂ©terminer le pĂ©rimĂštre de chacun d’entre eux, tout le territoire de la commune devant ĂȘtre couvert par ce dĂ©coupage. Il peut Ă©galement affecter aux conseils de quartier un local et leur allouer chaque annĂ©e des crĂ©dits de conseils ont un rĂŽle consultatif et peuvent Ă©mettre des propositions sur toute question concernant le quartier ou la chargĂ© de quartier doit connaĂźtre de toute question intĂ©ressant les quartiers dont il a la charge. Il doit Ă©galement veiller Ă  l’information des habitants et favoriser leur participation Ă  la vie du dispositions ne s’appliquent pas aux EPCI.
LaCommission de Suivi des Sites (CSS) remplace depuis 2013, la Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) de l’usine de Briec. Ses principales compĂ©tences sont : Le suivi de l’activitĂ© du site, La promotion de l’information du public sur l’incinĂ©ration des dĂ©chets en ce qui concerne l’environnement et la santĂ© humaine.
Une commission locale d'information et de surveillance installĂ©e Ă  Saint-Pierre PubliĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă  08H00 / ActualisĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă  08H00 Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă  informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă  informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. La premiĂšre rĂ©union, qui s'est tenue aujourd'hui, a permis d'Ă©voquer les conditions d'organisation et de fonctionnement de l'ISDND. À l'ordre du jour, Ă©galement, la transparence sur les questions relatives Ă  la gestion et au traitement des dĂ©chets. Un sujet de prĂ©occupation majeur Ă  la RĂ©union puisque la saturation des centres d'enfouissement techniques est prĂ©vue Ă  l'horizon 2012-2014. PrĂ©sidĂ©e par le prĂ©fet, la CLIS est composĂ©e de 16 membres, Ă  savoir, des reprĂ©sentants des services de l'État, des collectivitĂ©s locales, des associations reprĂ©sentatives dans le domaine environnementale et de l'exploitant. Une prochaine rĂ©union est programmĂ©e au mois de novembre.
CommissionLocale d’Information et de Surveillance CTVD AZALYS CARRIERES SOUS POISSY, le 23/04/2013 SOMMAIRE 1/ Bilan de l’activitĂ© 2012 2/ Performances
Les formes imposĂ©es aux divers actes d’enquĂȘte ont pour but de garantir la rĂ©gularitĂ© des opĂ©rations et de protĂ©ger les droits de la lutte contre la criminalitĂ© et la dĂ©linquance organisĂ©es nĂ©cessite que les enquĂȘteurs disposent de prĂ©rogatives plus de garantir l’exercice des libertĂ©s individuelles, leur mise en Ɠuvre est alors soumise Ă  un formalisme particuliĂšrement actes d’enquĂȘte de droit communLes auditionsC’est l’acte par lequel un policier va recueillir, par procĂšs-verbal et dans les formes requises par la loi, les dĂ©clarations d’un tĂ©moin ou celles d’une personne soupçonnĂ©e d’avoir commis une auditions peuvent se faire sur convocation de l’intĂ©ressĂ© qui comparaĂźt volontairement en qualitĂ© de tĂ©moin ou dans le cadre coercitif de la garde-Ă -vue lorsqu’il existe Ă  l’encontre d’une personne une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tentĂ© de commettre une ce second cas de figure, la personne entendue ne peut se soustraire Ă  l’audition qui prend la forme de questions-rĂ©ponses, mais elle peut garder le silence, mĂȘme s’il s’agit lĂ  d’un droit que la loi n’exige plus de le premier cas de figure, la personne entendue en qualitĂ© de tĂ©moin peut ĂȘtre retenue le temps strictement nĂ©cessaire Ă  son perquisitionsOn appelle ainsi l’acte par lequel un magistrat ou un policier, agissant dans le cadre d’une information judiciaire, d’une enquĂȘte de flagrance ou d’une enquĂȘte prĂ©liminaire, recherche dans un lieu occupĂ© par une personne suspect ou tĂ©moin des documents et objets utiles Ă  la manifestation de la pouvoirs et obligations de la police en ce domaine tiennent, pour l’essentiel, dans les rĂšgles gĂ©nĂ©rales suivantes Au cours d’une enquĂȘte prĂ©liminaire, de flagrance ou de l’exĂ©cution d’une commission rogatoire, l’ peut retenir sur place, pendant le temps de la perquisition, les personnes prĂ©sentes susceptibles de fournir des renseignements sur les objets et documents enquĂȘte prĂ©liminaire, les officiers et les agents de police judiciaire qui les secondent peuvent perquisitionner Ă  la condition d’avoir obtenu l’assentiment manuscrit de l’intĂ©ressĂ©, donnĂ© en connaissance de cause. Il est cependant possible de passer outre le consentement de l’intĂ©ressĂ© pour la recherche et la constatation des infractions punies d’une peine d’au moins cinq ans d’emprisonnement, Ă  condition que la perquisition soit indispensable Ă  l’enquĂȘte et qu’elle soit autorisĂ©e par un magistrat du perquisitions contre le grĂ© de l’intĂ©ressĂ© ne peuvent donc ĂȘtre faites par un qu’en enquĂȘte de flagrance, en exĂ©cution d’une commission rogatoire dĂ©livrĂ©e par un juge d’instruction et, en enquĂȘte prĂ©liminaire, dans les hypothĂšses prĂ©cĂ©demment envisagĂ©es. Les perquisitions doivent ĂȘtre menĂ©es en la prĂ©sence constante de la personne au domicile de laquelle elle a lieu ou, Ă  dĂ©faut, en prĂ©sence de son reprĂ©sentant ou, Ă  dĂ©faut encore, de deux tĂ©moins choisis par l’ en dehors de ses sont effectuĂ©es dans certains locaux, des formalitĂ©s supplĂ©mentaires doivent ĂȘtre respectĂ©es. Les perquisitions dans le cabinet ou le domicile d’un avocat, dans le cabinet d’un mĂ©decin, d’un notaire, d’un avouĂ© ou d’un huissier ne peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es que par un magistrat et en prĂ©sence de la personne responsable de l’ordre ou de l’organisation professionnelle de l’intĂ©ressĂ©. Les perquisitions dans les locaux d’une entreprise de presse ou de communication audiovisuelle ne peuvent Ă©galement ĂȘtre opĂ©rĂ©es que par un perquisitions ne peuvent pas ĂȘtre commencĂ©es avant 6 heures ni aprĂšs 21 heures mais elles peuvent se poursuivre aprĂšs 21 heures, lorsqu’elles sont effectuĂ©es au domicile d’une les perquisitions et saisies sont autorisĂ©es, de jour comme de nuit pour la recherche et la constatation des dĂ©lits de proxĂ©nĂ©tisme, de recours Ă  la prostitution de mineurs ou de personnes vulnĂ©rables et de participation Ă  une association de malfaiteurs en vue de commettre ces dĂ©lits, Ă  l’intĂ©rieur de tout hĂŽtel, maison meublĂ©e, pension, dĂ©bit de boissons, club, cercle, dancing, lieu de spectacle et leurs annexes et en tout autre lieu ouvert au public ou utilisĂ© par le public, lorsqu’il est constatĂ© que des personnes se livrant Ă  la prostitution y sont reçues habituellement,pour la recherche et la constatation des infractions de trafic de stupĂ©fiants et de participation Ă  une association de malfaiteurs en vue de commettre ces infractions, Ă  l’intĂ©rieur des locaux, autres que d’habitation, oĂč l’on use en sociĂ©tĂ© de stupĂ©fiants ou dans lesquels sont fabriquĂ©s, transformĂ©s ou entreposĂ©s illicitement des saisiesLes saisies sont l’acte de police judiciaire par lequel des objets ou documents sont placĂ©s sous main de justice pour servir Ă  la manifestation de la peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es sur les lieux de l’infraction, lors de la perquisition effectuĂ©e au domicile de la personne suspectĂ©e ou mise en examen, voire au domicile de tĂ©moins ou encore Ă  l’occasion d’une fouille rĂ©alisĂ©e sur un individu. Elles obĂ©issent donc au mĂȘme rĂ©gime que la la saisie n’est possible, en enquĂȘte prĂ©liminaire, qu’avec l’assentiment exprĂšs de la personne intĂ©ressĂ©e dans les mĂȘmes formes de droit que pour la perquisition. Elle est, au contraire, de droit en enquĂȘte de flagrance, en enquĂȘte prĂ©liminaire dans les cas oĂč la perquisition est possible sans l’assentiment de l’intĂ©ressĂ©, et en exĂ©cution d’une commission les objets et documents saisis doivent ĂȘtre immĂ©diatement inventoriĂ©s et placĂ©s sous constatationsLa recherche d’élĂ©ments matĂ©riels dans le cadre d’une enquĂȘte judiciaire nĂ©cessite gĂ©nĂ©ralement le recours Ă  des constatations peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es par des policiers qui peuvent se faire seconder par des spĂ©cialistes de police technique et peuvent porter sur des Ă©lĂ©ments d’environnement, tels que les scĂšnes d’infraction » ou sur des Ă©lĂ©ments prĂ©cis, tels que des traces ou des documents placĂ©s sous scellĂ©s et qui servent d’élĂ©ments de preuve afin que la justice Ă©tablisse la culpabilitĂ© d’une personne ou au contraire la constatations sont d’ordre matĂ©riel et nĂ©cessitent toujours une mĂ©thodologie adaptĂ©e et une grande garde Ă  vueLa garde Ă  vue est une mesure de contrainte, d’une durĂ©e maximale de 24 heures, dĂ©cidĂ©e par l’officier de police judiciaire, sous le contrĂŽle de l’autoritĂ© judiciaire procureur de la RĂ©publique ou juge d’instruction pour maintenir un suspect Ă  la disposition des garde Ă  vue ne peut concerner que les personnes Ă  l’encontre desquelles il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elles ont commis ou tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit puni d’une peine d’emprisonnement, et si c’est l’unique moyen de parvenir Ă  l’un au moins des objectifs visĂ©s par la loi prĂ©sence requise de la personne pour la poursuite des investigations, prĂ©servation des preuves ou indices, prĂ©sentation de la personne au magistrat, etc
Si le crime ou le dĂ©lit est puni d’au moins un an d’emprisonnement, cette mesure peut ĂȘtre prolongĂ©e de 24 heures maximum sur dĂ©cision du loi reconnaĂźt au gardĂ© Ă  vue plusieurs droits essentiels faire prĂ©venir un proche et son employeur, et le cas Ă©chĂ©ant les autoritĂ©s consulaires, sous rĂ©serve des nĂ©cessitĂ©s de l’enquĂȘte ; ĂȘtre examinĂ© par un mĂ©decin ; lors des auditions, aprĂšs avoir dĂ©clinĂ© son identitĂ©, faire des dĂ©clarations, rĂ©pondre aux questions ou garder le silence ; ĂȘtre assistĂ© par un avocat entretien au dĂ©but de la mesure, voire au dĂ©but de la prolongation, prĂ©sence aux auditions et accĂšs partiel au dossier ; A titre exceptionnel, un report partiel de cette intervention de l’avocat assistance aux auditions, consultation des piĂšces peut ĂȘtre autorisĂ© par un magistrat, pour des raisons impĂ©rieuses tenant aux circonstances particuliĂšres de l’enquĂȘte ou de l’instruction. La durĂ©e maximale du report est de 24 outre, les interrogatoires des mineurs et, en matiĂšre de crime, des majeurs, placĂ©s en garde Ă  vue font l’objet d’un enregistrement interceptions tĂ©lĂ©phoniquesCommunĂ©ment dĂ©signĂ©es sous le terme d’ Ă©coutes », les interceptions tĂ©lĂ©phoniques consistent en l'interception, l'enregistrement et la transcription de correspondances Ă©mises par la voie des l'autoritĂ© publique, en cas de nĂ©cessitĂ© d'intĂ©rĂȘt public, peut porter atteinte au secret des correspondances dans les deux hypothĂšses suivantes, hors les cas de criminalitĂ© organisĂ©e - les interceptions ordonnĂ©es par l'autoritĂ© judiciaire sont prescrites aux par le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention, sur requĂȘte du procureur de la RĂ©publique, pour rechercher et dĂ©couvrir une personne en fuite, pour une durĂ©e de 2 mois renouvelable, dans la limite de 6 mois en matiĂšre correctionnelle ; par commission rogatoire du juge d'instruction, en matiĂšre criminelle et dĂ©lictuelle lorsque la peine encourue est Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  2 ans d'emprisonnement durĂ©e maximum de 4 mois, renouvelable, ou lors d’une information pour recherche des causes de la mort ou des causes d’une disparition ; - les interceptions de sĂ©curitĂ© qui sont autorisĂ©es Ă  titre exceptionnel, par dĂ©cision du Premier ministre et sous le contrĂŽle d'une commission nationale indĂ©pendante, pour la recherche de renseignements intĂ©ressant la sĂ©curitĂ© nationale, la sauvegarde des Ă©lĂ©ments essentiels du potentiel scientifique et Ă©conomique de la France, la prĂ©vention du terrorisme, de la criminalitĂ© et de la dĂ©linquance organisĂ©es durĂ©e maximum de 4 mois, renouvelable.Les rĂ©quisitionsLes rĂ©quisitions sont les actes de procĂ©dure par lesquels les ou un magistrat enjoignent une personne de lui fournir les documents ou des informations qu’elle dans le but d’obtenir des documents ou des actes intĂ©ressant l’enquĂȘte, y compris lorsque ces documents sont issus d’un fichier informatique, l’ peut adresser une rĂ©quisition Ă  toute personne, tout Ă©tablissement ou organisme privĂ© ou public, toute administration publique. Toutefois, lorsque ces rĂ©quisitions sont adressĂ©es Ă  un avocat, un mĂ©decin, un notaire, un avouĂ©, un huissier ou une entreprise de presse ou de communication audiovisuelle, la remise de documents ne peut intervenir qu’avec leur accord. Les personnes requises ne peuvent pas opposer, sans motif lĂ©gitime, le secret professionnel Ă  l’ enquĂȘte prĂ©liminaire, l’ ne peut dĂ©livrer une telle rĂ©quisition qu’aprĂšs avoir obtenu l’accord prĂ©alable du magistrat du et indicateursLes autoritĂ©s administratives et judiciaires peuvent bĂ©nĂ©ficier de renseignements utiles Ă  leur action dont la communication est suscitĂ©e par certaines dispositions incitatives du code pĂ©nal, telles que l’exemption ou la rĂ©duction de peine en faveur des repentis et la rĂ©munĂ©ration des ou rĂ©duction de peine des repentisL’exemption de peine bĂ©nĂ©ficie, dans les cas spĂ©cifiquement prĂ©vus par la loi, Ă  la personne qui, ayant tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit, a averti l’autoritĂ© administrative ou judiciaire et a permis d’éviter la rĂ©alisation de l’infraction et d’identifier, le cas Ă©chĂ©ant, les autres auteurs ou de peine est prĂ©vue par la loi, notamment en matiĂšre d’association de malfaiteurs, de terrorisme, de faux monnayage, d’évasion, de fausse monnaie, d’assassinat, d’empoisonnement, de tortures ou actes de barbarie, de trafic de stupĂ©fiants, d’enlĂšvement et de sĂ©questration, de dĂ©tournement d’aĂ©ronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, de traite des ĂȘtres humains, de vol et d’extorsion en bande organisĂ©e et de rĂ©duction de la peine d’emprisonnement rĂ©duction de moitiĂ© ou peine ramenĂ©e Ă  20 ans de rĂ©clusion criminelle lorsque la perpĂ©tuitĂ© est encourue bĂ©nĂ©ficie, dans les cas spĂ©cifiquement prĂ©vus par la loi, Ă  l’auteur d’un crime ou d’un dĂ©lit qui, ayant averti l’autoritĂ© administrative ou judiciaire, a permis de faire cesser l’infraction, d’éviter que l’infraction ne produise un dommage ou d’en identifier, le cas Ă©chĂ©ant, les autres coupables. Cette disposition s’applique Ă©galement Ă  l’auteur d’un crime ou d’un dĂ©lit dĂ©nonçant une infraction connexe de mĂȘme nature que celle pour laquelle il est rĂ©duction de peine est prĂ©vue par la loi, notamment en matiĂšre de faux monnayage, de terrorisme, de trafic de stupĂ©fiants, d’assassinat ou d’empoisonnement, de tortures ou d’actes de barbarie, d’enlĂšvement et de sĂ©questration, de dĂ©tournement d’aĂ©ronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, de traite des ĂȘtres humains, de proxĂ©nĂ©tisme, de vol et d’extorsion en bande organisĂ©e, de fabrication ou de dĂ©tention illĂ©gale d’armes, de trafic d’explosifs ou d’armes biologiques. L’article 706-63-1 du relatif au dispositif de protection des repentis prĂ©voit que des mesures de protection par exemple usage d’une identitĂ© d’emprunt et de rĂ©insertion peuvent ĂȘtre prononcĂ©es par l’autoritĂ© judiciaire au bĂ©nĂ©fice des repentis. Un dĂ©cret doit prĂ©ciser les modalitĂ©s d’application de ces dĂ©clarations des repentis ne suffisent pas, Ă  elles seules, au prononcĂ© d’une des indicateursLa loi permet aux services de police et de gendarmerie de rĂ©tribuer toute personne qui leur a fourni des renseignements permettant de dĂ©couvrir un crime ou un dĂ©lit ou d’en identifier l’ actes d’enquĂȘte dans le cadre de la lutte contre le crime organisĂ©La spĂ©cificitĂ© de la lutte contre la criminalitĂ© et la dĂ©linquance organisĂ©es justifie que les enquĂȘteurs disposent de moyens adaptĂ©s, soit par le renforcement des actes d’enquĂȘte classiques, soit par l’utilisation de prĂ©rogatives relevant de la criminalitĂ© organisĂ©eLe donne une liste d’infractions relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e pour lesquelles une procĂ©dure spĂ©cifique est applicable, en distinguant deux catĂ©gories La premiĂšre catĂ©gorie comprend les infractions les plus graves au sens de l’article 706-73 du code de procĂ©dure pĂ©nale pour lesquelles les moyens d’investigation dĂ©rogatoires sont systĂ©matiquement applicables. Il s’agit, d’une part, d’infractions qui ne sont soumises au rĂ©gime du crime organisĂ© que si elles sont commises en bande organisĂ©e meurtre, tortures et actes de barbarie, enlĂšvement et sĂ©questration, destruction, dĂ©gradation et dĂ©tĂ©rioration d’un bien, vol, escroquerie, trafic d’armes et aide Ă  l’entrĂ©e, Ă  la circulation et au sĂ©jour irrĂ©guliers d’un Ă©tranger en France et, d’autre part, d’infractions en matiĂšre de trafic de stupĂ©fiants, de traite des ĂȘtres humains, de proxĂ©nĂ©tisme, d’extorsion, de fausse monnaie, de terrorisme, d’association de malfaiteurs, de blanchiment et de non justification des ressources. Des actes d’enquĂȘte spĂ©cifiques sont prĂ©vus par la loi sonorisation de lieux et vĂ©hicules, infiltrations, interceptions tĂ©lĂ©phoniques, rĂ©gime particulier de la garde Ă  vue et des perquisitions, surveillance seconde catĂ©gorie infractions relevant de l’article 706-74 du comprend les infractions d’association de malfaiteurs et les crimes et dĂ©lits commis en bande organisĂ©e autres que ceux prĂ©cĂ©demment citĂ©s, pour lesquels les actes d’enquĂȘte de cette procĂ©dure spĂ©cifique peuvent Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©s lorsque la loi le prĂ©voit expressĂ©ment en fait, uniquement les opĂ©rations de surveillance et des mesures d’enquĂȘte renforcĂ©sEn matiĂšre de perquisition Perquisitions de nuit Pour la recherche d’une infraction relevant du crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie, les perquisitions et saisies peuvent ĂȘtre effectuĂ©es de jour, dans les conditions de droit commun. En outre, les perquisitions et saisies de nuit sont autorisĂ©es, mais obĂ©issent Ă  un formalisme diffĂ©rent selon qu’elles sont effectuĂ©es, ou non, dans des locaux d’ les perquisitions et saisies ne concernent pas des locaux d’habitation, elles sont possibles de nuit, sur autorisation de l’autoritĂ© judiciaire, en enquĂȘte de flagrance, en enquĂȘte prĂ©liminaire et en exĂ©cution d’une commission contre, les perquisitions et saisies de nuit, dans les locaux d’habitation, ne sont possibles qu’en enquĂȘte de flagrance ou, dans certaines hypothĂšses et seulement en cas d’urgence, en exĂ©cution d’une commission rogatoire crime ou dĂ©lit flagrant, risque immĂ©diat de disparition des preuves, soupçons concernant la commission de crimes ou dĂ©lits relevant du crime organisĂ©.L’autorisation de procĂ©der Ă  une perquisition de nuit doit prĂ©ciser l’infraction recherchĂ©e, les Ă©lĂ©ments de fait justifiant l’opĂ©ration, ainsi que l’adresse des lieux en l’absence de l’intĂ©ressĂ© Dans le cadre d’une enquĂȘte de flagrance, d’une enquĂȘte prĂ©liminaire ou de l’exĂ©cution d’une commission rogatoire relative Ă  l’une des infractions relevant du crime organisĂ©, la perquisition au domicile du mis en cause peut ĂȘtre effectuĂ©e sans sa prĂ©sence, mais avec celle de deux tĂ©moins requis, lorsqu’il est gardĂ© Ă  vue ou dĂ©tenu en un autre lieu et que son transport sur place doit ĂȘtre Ă©vitĂ© en raison de risques graves troubles Ă  l’ordre public, Ă©vasion ou disparition de preuves durant le temps du transport.Cette possibilitĂ©, qui suppose l’accord prĂ©alable du procureur de la RĂ©publique ou du juge d’instruction, est Ă©galement offerte dans le cadre d’une enquĂȘte prĂ©liminaire effectuĂ©e sans l’assentiment de la personne concernĂ©e. L’accord est alors donnĂ© par le juge des libertĂ©s et de la matiĂšre de garde Ă  vueDurĂ©e de la mesure en rĂ©gime dĂ©rogatoire rĂ©gime applicable aux infractions entrant dans le champ de la criminalitĂ© et de la dĂ©linquance organisĂ©es Quel que soit le cadre d’enquĂȘte, la mesure de garde Ă  vue peut, en matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e et Ă  titre exceptionnel, faire l’objet de deux prolongations supplĂ©mentaires de 24 heures chacune, ou d’une seule prolongation de 48 heures. Ces prolongations sont autorisĂ©es par dĂ©cisions Ă©crites et motivĂ©es de l’autoritĂ© judiciaire juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention sur requĂȘte du procureur de la RĂ©publique, ou juge d’instruction.S’il existe un risque sĂ©rieux de l'imminence d'une action terroriste, le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention peut en outre autoriser une prolongation supplĂ©mentaire de 24 heures, renouvelable une durĂ©es spĂ©cifiques prĂ©vues par les rĂ©gimes dĂ©rogatoires de garde Ă  vue ne sont applicables que pour les mineurs de plus de 16 ans soupçonnĂ©s d’avoir commis ou tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit entrant dans le champ de la criminalitĂ© organisĂ©e, et Ă  condition que la participation d’un majeur Ă  l’infraction soit de l’avocat En matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e dont trafic de stupĂ©fiant et terrorisme, le gardĂ© Ă  vue peut bĂ©nĂ©ficier d’un entretien de 30 minutes au dĂ©but de chaque pĂ©riode de 24 heures, ainsi que de la prĂ©sence de l’avocat aux auditions et de la consultation par celui-ci de certaines piĂšces de de l’avocat peut toutefois ĂȘtre reportĂ©e totalement, sur dĂ©cision Ă©crite et motivĂ©e du procureur de la RĂ©publique, pendant les 24 premiĂšres heures ; du juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention, au-delĂ  de 24 heures et jusqu’à 48 heures voire 72 heures en matiĂšre de terrorisme et de trafic de stupĂ©fiants. Au cours d’une information judiciaire diligentĂ©e en matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e, le juge d’instruction est seul compĂ©tent pour autoriser ces report ne peut intervenir qu’en considĂ©ration de raisons impĂ©rieuses tenant aux circonstances particuliĂšres de l’enquĂȘte ou de l’ les personnes mineures gardĂ©es Ă  vue, l’intervention de l’avocat peut faire l’objet d’un report partiel assistance aux auditions, consultation de certaines piĂšces de procĂ©dure pour une durĂ©e maximale de 24 heures rĂšgles de droit commun. Aucun report n’est possible pour les personnes mineures en d’enquĂȘte spĂ©cifiquesSurveillances nationalesLes surveillances sont des opĂ©rations typiquement policiĂšres ayant pour objectif une investigation directe au contact des individus dont l’activitĂ©, les dĂ©placements sont observĂ©s afin de dĂ©montrer l’existence d’une officiers et agents de police judiciaire peuvent Ă©tendre Ă  l’ensemble du territoire national leur surveillance des personnes soupçonnĂ©es d’avoir commis un crime ou dĂ©lit relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e infractions des premiĂšre et seconde catĂ©gories,de l’acheminement ou du transport des biens, objets ou produits tirĂ©s de la commission de ces infractions, ou servant Ă  les procureur de la RĂ©publique, prĂ©alablement informĂ© de cette extension territoriale, peut s’y consiste, pour un officier ou un agent de police judiciaire spĂ©cialement habilitĂ©, Ă  surveiller des personnes suspectĂ©es de commettre un crime ou un dĂ©lit relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e infractions de la premiĂšre catĂ©gorie en se faisant passer, auprĂšs de celles-ci, pour l’un de leurs coauteurs, complices ou peut ĂȘtre mise en Ɠuvre dans le cadre d’une enquĂȘte de flagrance, d’une enquĂȘte prĂ©liminaire ou en exĂ©cution d’une commission actes d’infiltrationL’agent infiltrĂ© est autorisĂ© Ă  faire usage d’une identitĂ© d’emprunt, Ă  opĂ©rer sur l’ensemble du territoire national et, sans ĂȘtre pĂ©nalement responsable, Ă  effectuer certains actes dont la liste est fixĂ©e par le code de procĂ©dure pĂ©nale par exemple acquisition, dĂ©tention, transport et livraison de substances ou informations tirĂ©es de la commission des infractions ou mise Ă  disposition des personnes se livrant Ă  ces infractions de moyens juridiques, financiers, de transport ou d’hĂ©bergement. Les actes de l’agent infiltrĂ© ne doivent pas constituer une incitation Ă  commettre l’ nĂ©cessitĂ© d’une autorisation prĂ©alableL’autorisation d’infiltration, dĂ©livrĂ©e par l’autoritĂ© judiciaire, doit ĂȘtre Ă©crite et spĂ©cialement motivĂ©e, mentionner les infractions recherchĂ©es, l’identitĂ© de l’ responsable de l’opĂ©ration et la durĂ©e de l’infiltration 4 mois au maximum, renouvelable. Cette autorisation est versĂ©e au dossier de la procĂ©dure aprĂšs l’achĂšvement de l’ magistrat peut interrompre l’opĂ©ration Ă  tout cessation de l’infiltrationAfin d’assurer sa sortie du rĂ©seau criminel en toute sĂ©curitĂ©, l’agent infiltrĂ© peut poursuivre ses activitĂ©s, sans en ĂȘtre pĂ©nalement responsable, pendant le temps qui lui est strictement nĂ©cessaire. Ce dĂ©lai ne peut, cependant, pas excĂ©der 4 mois Ă©ventuellement renouvelĂ©s. Le magistrat ayant autorisĂ© l’infiltration en est informĂ© dans les meilleurs suites de l’infiltrationL’ responsable de l’infiltration rĂ©dige un rapport comprenant les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires Ă  la constatation des infractions, tout en veillant Ă  prĂ©server la sĂ©curitĂ© de l’agent infiltrĂ© et des personnes requises pour l’ principe est que seul l’ responsable de l’infiltration peut ĂȘtre entendu en qualitĂ© de tĂ©moin sur l’opĂ©ration. Toutefois, en cas de mise en cause fondĂ©e directement sur les constatations de l’agent infiltrĂ©, l’intĂ©ressĂ© peut demander Ă  ĂȘtre confrontĂ© avec celui-ci. Dans ce cas, la confrontation est rĂ©alisĂ©e Ă  distance par l’intermĂ©diaire d’un dispositif technique et la voix de l’agent infiltrĂ© est rendue non identifiable. Cette confrontation ne doit pas rĂ©vĂ©ler, directement ou indirectement, la vĂ©ritable identitĂ© de l’ dĂ©clarations de l’agent infiltrĂ© ne suffisent pas, Ă  elles seules, Ă  fonder une condamnation, sauf s’il a Ă©tĂ© procĂ©dĂ© Ă  une confrontation dans les conditions Ă©voquĂ©es prĂ©cĂ©demment ou si l’agent infiltrĂ© a dĂ©posĂ© sous sa vĂ©ritable tĂ©lĂ©phoniques Comme en matiĂšre de droit commun, il s’agit de l’interception, l’enregistrement et la transcription de correspondances Ă©mises par la voie des tĂ©lĂ©communications. Les Ă©coutes tĂ©lĂ©phoniques peuvent ĂȘtre opĂ©rĂ©es lors d’une enquĂȘte de flagrance ou d’une enquĂȘte prĂ©liminaire portant sur une infraction relevant du crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie, sur autorisation de l’autoritĂ© judiciaire, pour une durĂ©e de quinze jours au maximum renouvelable une fois.Lorsqu’elles concernent des parlementaires, avocats ou magistrats, les Ă©coutes tĂ©lĂ©phoniques ne peuvent intervenir qu’aprĂšs que le juge d’instruction en ait averti le responsable de l’ordre ou de l’organisation professionnelle de l’ sonorisation consiste Ă  capter, fixer, transmettre et enregistrer, sans le consentement des intĂ©ressĂ©s les paroles prononcĂ©es par une ou plusieurs personnes, Ă  titre privĂ© ou confidentiel, dans des lieux ou vĂ©hicules privĂ©s ou publics ; l’image d’une ou plusieurs personnes dans un lieu privĂ©. Toutefois, certains lieux ne peuvent pas faire l’objet d’une sonorisation. Il s’agit des locaux d’une entreprise de presse ou de communication audiovisuelle et des cabinets d’un mĂ©decin, d’un notaire, d’un avouĂ© ou d’un huissier ; du vĂ©hicule, du bureau et du domicile d’un dĂ©putĂ©, d’un sĂ©nateur, d’un magistrat ou d’un avocat. La sonorisation n’est possible qu’en exĂ©cution d’une commission rogatoire en matiĂšre de crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie. Elle est autorisĂ©e, par l’autoritĂ© judiciaire, pour une durĂ©e maximum de 4 mois renouvelable.Afin de mettre en place le dispositif technique de sonorisation, il est possible, sur autorisation du magistrat, de s’introduire de jour comme de nuit dans des lieux des opĂ©rations de sonorisation fait l’objet d’un procĂšs-verbal. Les enregistrements sont placĂ©s sous scellĂ©s et les conversations ou images enregistrĂ©es sont transcrites ou dĂ©crites dans un procĂšs-verbal versĂ© au dossier. Les enregistrements sont dĂ©truits Ă  l’expiration du dĂ©lai de prescription de l’action publique.
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COMMISSIONLOCALE D'INFORMATION ET DE SURVEILLANCE DOSSIER: ACTIVITES DE TRAITEMENT ET DE TRANSIT DES DECHETS VERTS ET DES DRECHES DE PARFUMERIE PAR LA SOCIETE O.R.E.D.U.1. PRESENTS: Monsieur RAIFAU-D - Sous-préfet de GRASSE Monsieur LAPIERRE - Adjoint au Maire délégué à l'Environnement et à l'Urbanisme -
25/04/2017La loi dite loi travail » du 8 aoĂ»t 2016 et son dĂ©cret d’application du 27 dĂ©cembre 2016 a profondĂ©ment rĂ©formĂ© les rĂšgles de surveillance mĂ©dicale Ă  la suite d’un rapport aptitude et mĂ©decine du travail » qui mettait l’accent sur la surcharge des services de santĂ© au l’occasion de la JournĂ©e mondiale de la sĂ©curitĂ© et de la santĂ© au travail, voici les modifications apportĂ©es en matiĂšre de santĂ© au de la surveillance le 1er janvier 2017, il n’y a plus de visite mĂ©dicale d’embauche visite d’information et de remplace la visite d’embauche et les visites pĂ©riodiques. La premiĂšre visite doit se dĂ©rouler dans un dĂ©lai maximal de 3 mois Ă  compter de la prise effective du poste. Le dĂ©lai de renouvellement de cette visite est dans un dĂ©lai de 5 ans maximum. Un suivi adaptĂ© pour certaines catĂ©gories de salariĂ©s Le lĂ©gislateur a prĂ©vu un suivi adaptĂ© » pour les travailleurs handicapĂ©s, les personnes titulaires d’une pension d’invaliditĂ©, les travailleurs de nuit, les salariĂ©s de moins de 18 ans et les femmes enceintes, venant d’accoucher ou procĂ©dure d’inaptitude * La procĂ©dure de constatation de l’inaptitude est allĂ©gĂ©e puisqu’il n’est plus obligatoire pour le mĂ©decin du travail de rĂ©aliser deux examens mĂ©dicaux espacĂ©s de 15 jours.* Le recours contre les avis Ă©mis par le mĂ©decin du travail est aussi rĂ©visĂ©, celui-ci sera dĂ©sormais portĂ© devant la formation de rĂ©fĂ©rĂ© du conseil des Prud’hommes.* Les procĂ©dures de reclassement quand elles s’imposent sont unifiĂ©es qu’elles soient d’origine professionnelle ou non. L’obligation de reclassement s’imposera Ă  l’employeur mĂȘme lorsque l’inaptitude a Ă©tĂ© constatĂ©e en cours d’exĂ©cution du contrat de travail jusqu’à prĂ©sent, seulement en cas d’arrĂȘt de travail.* L’obligation de reclassement s’imposera Ă  l’employeur mĂȘme lorsque l’inaptitude a Ă©tĂ© constatĂ©e en cours d’exĂ©cution du contrat de travail.* En cas d’inaptitude constatĂ©e par le mĂ©decin du travail lorsque le maintien du salariĂ© dans l’entreprise constitue un risque grave pour sa santĂ©, l’employeur est alors dispensĂ© de toute obligation de reclassement pour tous les salariĂ©s. * L’employeur doit, avant de proposer un emploi de reclassement, consulter les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel DP lorsqu’ils existent quelle que soit l’origine de l’affection. Pour en savoir plus Article revue Equilibre mai-juin 2017 Le service social et juridique de la FĂ©dĂ©ration
UneCommission Locale d'Information et de Surveillance (CLIS) a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux (ISDND) de Saint-Pierre. For faster navigation, this Iframe is preloading the Wikiwand page for Commission Locale d’Information et de Surveillance. Connected to {{ aus Wikipedia, der freien EnzyklopĂ€die {{bottomLinkPreText}} {{bottomLinkText}} This page is based on a Wikipedia article written by contributors read/edit. Text is available under the CC BY-SA license; additional terms may apply. Images, videos and audio are available under their respective licenses. Please click Add in the dialog above Please click Allow in the top-left corner, then click Install Now in the dialog Please click Open in the download dialog, then click Install Please click the "Downloads" icon in the Safari toolbar, open the first download in the list, then click Install {{$
LesCommissions Locales d’Information et de Surveillance (CLIS) issues du dĂ©cret n° 93-1410 du 29 dĂ©cembre 1993, fixant les modalitĂ©s d'exercice du droit Ă  l'information en matiĂšre de dĂ©chets prĂ©vues Ă  l'article 3-1 de la loi du 15 juillet 1975, concernaient les centres collectifs de stockage de dĂ©chets ultimes.Les CLIS avaient pour objet de promouvoir

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Leministre de la justice dĂ©cide, au vu des avis Ă©mis par la commission locale DPS puis par la commission nationale DPS, de l’inscription au rĂ©pertoire des DPS. Les dĂ©cisions d’inscription sont transmises aux autoritĂ©s consultĂ©es au plan national et local. 1.2.2. Commission locale DPS a) Composition Les membres de cette commission sont :
de tout site comprenant une ou plusieurs installations nuclĂ©aires de base telles que dĂ©finies Ă  l'article 28 est instituĂ©e une commission locale d'information chargĂ©e d'une mission gĂ©nĂ©rale de suivi, d'information et de concertation en matiĂšre de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire, de radioprotection et d'impact des activitĂ©s nuclĂ©aires sur les personnes et l'environnement pour ce qui concerne les installations du site. La commission locale d'information assure une large diffusion des rĂ©sultats de ses travaux sous une forme accessible au plus grand nombre. La commission peut ĂȘtre créée dĂšs lors qu'une installation nuclĂ©aire de base a fait l'objet d'une demande d'autorisation de crĂ©ation en application de l'article 29. Une mĂȘme commission locale d'information peut ĂȘtre créée pour plusieurs installations nuclĂ©aires de base proches. Une commission peut aussi ĂȘtre créée auprĂšs d'un site sur lequel a Ă©tĂ© implantĂ©e une installation nuclĂ©aire de base. commission locale d'information comprend des reprĂ©sentants des conseils gĂ©nĂ©raux, des conseils municipaux ou des assemblĂ©es dĂ©libĂ©rantes des groupements de communes et des conseils rĂ©gionaux intĂ©ressĂ©s, des membres du Parlement Ă©lus dans le dĂ©partement, des reprĂ©sentants d'associations de protection de l'environnement, des intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et d'organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives et des professions mĂ©dicales, ainsi que des personnalitĂ©s qualifiĂ©es. Les reprĂ©sentants de l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire , de l'agence rĂ©gionale de santĂ© territorialement compĂ©tente et des services de l'Etat concernĂ©s, ainsi que des reprĂ©sentants de l'exploitant peuvent assister, avec voix consultative, aux sĂ©ances de la commission locale d'information. Ils ont accĂšs de plein droit Ă  ses travaux. commission locale d'information est créée par dĂ©cision du prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral du dĂ©partement dans lequel s'Ă©tend le pĂ©rimĂštre de l'installation ou des installations concernĂ©es ou par dĂ©cision conjointe des prĂ©sidents des conseils gĂ©nĂ©raux si le pĂ©rimĂštre s'Ă©tend sur plusieurs dĂ©partements. Le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral nomme les membres de la commission. La commission est prĂ©sidĂ©e par le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral ou par un Ă©lu local du dĂ©partement nommĂ© par lui parmi ses membres. Si le pĂ©rimĂštre de l'installation nuclĂ©aire de base comprend une installation d'Ă©limination ou de stockage de dĂ©chets, la commission mentionnĂ©e au prĂ©sent article se substitue Ă  la commission locale d'information et de surveillance mentionnĂ©e Ă  l'article L. 125-1 du code de l'environnement. commission locale d'information peut ĂȘtre dotĂ©e de la personnalitĂ© juridique avec un statut d' l'exercice de ses missions, la commission locale d'information peut faire rĂ©aliser des expertises, y compris des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques, et faire procĂ©der Ă  toute mesure ou analyse dans l'environnement relative aux Ă©missions ou rejets des installations du site. La commission locale d'information est informĂ©e par l'exploitant des demandes qui lui sont adressĂ©es conformĂ©ment aux dispositions de l'article 19 dans les huit jours suivant leur rĂ©ception. Dans les mĂȘmes conditions, l'exploitant lui adresse les rĂ©ponses apportĂ©es Ă  ces l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et les autres services de l'Etat lui communiquent tous documents et informations nĂ©cessaires Ă  l'accomplissement de ses missions. Selon le cas, les dispositions de l'article 19 de la prĂ©sente loi ou celles du chapitre IV du titre II du livre Ier du code de l'environnement et de la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 prĂ©citĂ©e sont applicables Ă  cette informe la commission de tout incident ou accident mentionnĂ© Ă  l'article 54 de la prĂ©sente loi dans les meilleurs de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire, les ministres chargĂ©s de la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire ou de la radioprotection peuvent consulter la commission sur tout projet concernant le pĂ©rimĂštre de l'installation nuclĂ©aire de base. Cette consultation est obligatoire pour tout projet faisant l'objet d'une enquĂȘte publique dĂšs lors que la commission est rĂ©guliĂšrement constituĂ©e. La commission peut saisir l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et les ministres chargĂ©s de la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire ou de la radioprotection de toute question relative Ă  la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et Ă  la radioprotection intĂ©ressant le site. La commission locale d'information peut ĂȘtre saisie pour avis sur toute question relevant de son domaine de compĂ©tence par la commission dĂ©partementale compĂ©tente en matiĂšre d'environnement, de risques sanitaires et technologiques. La commission locale d'information et le Haut ComitĂ© pour la transparence et l'information sur la sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire mentionnĂ© Ă  l'article 23 se communiquent tous renseignements utiles Ă  l'exercice de leurs missions et concourent Ă  des actions communes d'information. Les reprĂ©sentants dĂ©signĂ©s par le comitĂ© d'hygiĂšne, de sĂ©curitĂ© et des conditions de travail d'un Ă©tablissement comprenant une ou plusieurs des installations nuclĂ©aires de base mentionnĂ©es au I sont auditionnĂ©s Ă  leur demande par les commissions locales d'information Ă  chaque fois qu'ils l'estiment nĂ©cessaire. Les commissions locales d'information peuvent Ă©galement les solliciter. dĂ©penses de la commission locale d'information sont financĂ©es par -l'Etat ;-les collectivitĂ©s territoriales et leurs groupements. Si la commission est dotĂ©e de la personnalitĂ© juridique, outre les subventions qui peuvent lui ĂȘtre attribuĂ©es par l'Etat, ces collectivitĂ©s et ces groupements, elle peut recevoir une partie du produit de la taxe instituĂ©e par l'article 43 de la loi de finances pour 2000 n° 99-1172 du 30 dĂ©cembre 1999 dans les conditions dĂ©finies en loi de finances. Les comptes de la commission sont soumis au contrĂŽle de la chambre rĂ©gionale des comptes. commissions locales d'information peuvent constituer une fĂ©dĂ©ration, sous la forme d'une association, chargĂ©e de les reprĂ©senter auprĂšs des autoritĂ©s nationales et europĂ©ennes et d'apporter une assistance aux commissions pour les questions d'intĂ©rĂȘt commun. Les ressources de cette fĂ©dĂ©ration proviennent notamment de subventions versĂ©es par l'Etat et de cotisations des commissions qui en sont membres. dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©termine les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent chapitre. Il peut dĂ©finir des clauses appartenant Ă  celles devant obligatoirement figurer dans les statuts des commissions dotĂ©es de la personnalitĂ© juridique.
Voustrouverez, ci-joint au format PDF, le document prĂ©sentĂ© par le SIBA lors de la CLIS sur la qualitĂ© des eaux du Bassin s’est tenue le 15 octobre 2010 au LycĂ©e de la Mer Ă  Gujan-Mestras. Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) sur la QualitĂ© des Eaux du Bassin d’Arcachon | Siba - Syndicat Intercommunal du Bassin d'Arcachon

Burkina Faso SociĂ©tĂ© Cliquez pour agrandir l'image Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e 2149 Vues 0 Commentaires Il y a 11 mois © - lundi 06 septembre 2021 - 1948Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© La PrĂ©sidente de la Commission de l’informatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© a indiquĂ© lundi que l’installation et l’usage des camĂ©ras de surveillance doivent faire l’objet d’une dĂ©claration auprĂšs de son institution, une disposition lĂ©gale majoritairement ignorĂ©e des populations. La CIL tient donc Ă  rappeler que l’installation et l’usage des camĂ©ras de surveillance, doivent impĂ©rativement faire l’objet d’une dĂ©claration Ă  son niveau ; leur usage doit respecter l’intimitĂ© de la vie privĂ©e des personnes dans les lieux de travail et les domiciles, respecter les droits des personnes concernĂ©es, notamment le droit Ă  l’information sur ses donnĂ©es collectĂ©es, le droit d’accĂšs, le droit d’opposition », a dĂ©clarĂ© lors PrĂ©sidente de la Commission de l’informatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Selon elle, la CIL procĂšde Ă©galement Ă  des contrĂŽles Ă  priori et Ă  posteriori des traitements de donnĂ©es, pour s’assurer de leur conformitĂ© aux dispositions de la loi. Ainsi, 123 contrĂŽles ont Ă©tĂ© effectuĂ©s en 2020, des manquements ont Ă©tĂ© relevĂ©s, qui ont trait notamment au non-accomplissement des formalitĂ©s prĂ©alables, Ă  l’insuffisance des mesures de sĂ©curitĂ© des donnĂ©es, au non-respect des droits des personnes, Ă  l’emplacement des camĂ©ras de surveillance, Ă  la disproportionnalitĂ© dans la collette des donnĂ©es par rapport aux finalitĂ©s poursuivies », a-t-elle prĂ©cisĂ©. La CIL reçoit et traite rĂ©guliĂšrement des cas de plaintes relatifs Ă  la violation des droits des personnes dans le traitement de leurs donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel. Ces plaintes sont, la plupart du temps, liĂ©es Ă  leurs activitĂ©s sur internet et les rĂ©seaux sociaux. Environ 855 plaintes ont Ă©tĂ© traitĂ©es en 2020. » Au cours de l’annĂ©e 2020, la CIL, n’ayant pas un pouvoir d’investigation, a transfĂ©rĂ© Ă  la brigade de lutte contre la cybercriminalitĂ© BCLCC avec qui elle est en partenariat, une centaine de plaintes relatives Ă  l’arnaque en ligne, Ă  l’espionnage tĂ©lĂ©phonique, au piratage des Ă©quipements informatiques, Ă  l’usurpation d’identitĂ©s, au piratage de comptes, Ă  la diffamation sur les rĂ©seaux sociaux, au chantage Ă  la webcam et Ă  la divulgation des donnĂ©es personnelles sur les rĂ©seaux sociaux, en vue d’apprĂ©hender les auteurs de certaines infractions, a soulignĂ© Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Il est important de souligner que la violation des droits des personnes sur le Net a pris de l’ampleur, surtout avec la digitalisation des services. Avec l’usage abusif des nouvelles technologies, les internautes volontairement ou non, exposent leurs donnĂ©es personnelles et leur vie privĂ©e sur la toile, sans pour autant savoir Ă  quoi elles serviront plus tard », a-t-elle indiquĂ©. A cela, s’ajoute la mainmise des gĂ©ants du web GAFAM sur les informations qui sont postĂ©es sur ces plateformes, qu’ils exploitent Ă  leur guise, Ă  travers des services qu’ils offrent, qui requiĂšrent le consentement forcĂ©, si je puis le dire, des internautes, avant qu’ils n’en bĂ©nĂ©ficient. Des conditions d’adhĂ©sion sont soumises aux internautes qui n’ont autre choix que d’accepter.», selon Mme Ouedraogo /BonanĂ©. La Commission de l’informatique et des libertĂ©s entend poursuivre, voir renforcer ses campagnes d’information/sensibilisation, pour engendrer un changement notable de comportements face aux aspects nĂ©fastes des nouvelles technologies sur nos donnĂ©es personnelles et notre vie privĂ©e. Depuis 2014, au regard des dĂ©rives constatĂ©es dans l’utilisation des TIC par les jeunes, la CIL a mis en place un programme spĂ©cifique d’éducation au numĂ©rique au profit des Ă©lĂšves et Ă©tudiants, pour les prĂ©munir et les protĂ©ger des actes cybercriminels. À travers ce programme, elle a sensibilisĂ© environ 29 760 Ă©lĂšves et Ă©tudiants Ă  une utilisation saine et responsable des TIC. Avec le ministĂšre en charge de l’éducation nationale, elle travaille Ă  inclure dans les curricula de l’enseignement, un module sur la protection des donnĂ©es personnelles et la vie privĂ©e. Boa, Ouagadougou Par Koaci RESTEZ CONNECTÉ En tĂ©lĂ©chargeant l'application KOACI. 0 Commentaires Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e Veuillez vous connecter pour commenter ce contenu. Votre avis nous intĂ©resse. Soyez le premier Ă  commenter cet article

Lescommissions locales d’information et de surveillance (CLIS) ont Ă©tĂ© initiĂ©es par le dĂ©cret du 29 dĂ©cembre 1993 ; leur prĂ©sidence est exercĂ©e par le prĂ©fet ou son reprĂ©sentant (en gĂ©nĂ©ral la DREAL), le secrĂ©tariat est assurĂ© dans la plupart des cas par la
Nous demandons la crĂ©ation d'une Commission Locale d’Information et de SurveillanceCLIS, conformĂ©ment aux articles L 125-1 et R 125-5 du Code de l’environnement et au dĂ©cret n° 97-517 du 15 mai 1997 qui classe les D3E comme dĂ©chets dangereux. La CLIS a pour but d’informer le public sur les effets des activitĂ©s d’installation de traitement de dĂ©chets sur la santĂ© et l’environnement. L'objectif et les missions de la CLIS sont De promouvoir l’information du public en favorisant le dialogue entre la population avoisinante reprĂ©sentĂ©e par ses Ă©lus et des membres d’associations. L’administration et l’exploitant du site. De faire des recommandations Ă  l’exploitant. D’aider l’exploitant Ă  assurer la transparence de son activitĂ© en organisant, en coordonnant avec lui des actions de formation ou d’information au profit du public riverains, scolaires
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