Tandisque anti- et pro-Fessenheim manifestaient sĂ©parĂ©ment Ă lâextĂ©rieur, EDF a prĂ©sentĂ© hier Ă Colmar devant la commission locale dâinformation et de surveillance ses propositions pour
SaharamĂ©dias - Les ministĂšres de la santĂ© et de lĂąâŹâąindustrie, du commerce et du tourisme ont annoncĂ© la crĂ©ation dĂąâŹâąune commission mixte chargĂ©e de faire lĂąâŹâąĂ©tat de la situation de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires, de rencontrer tous les acteurs et services techniques concernĂ©s et de prĂ©senter son rapport dans les meilleurs dĂ©lais. Cette dĂ©cision a Ă©tĂ© annoncĂ©e lors dĂąâŹâąune rĂ©union tenue mardi par les ministres de la santĂ© et de lĂąâŹâąindustrie, du commerce et du tourisme, Nadhirou O. Hamed et Naha mint Hamdi O. Mouknass, dans le cadre de la coordination entre les deux dĂ©partements Ă propos de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires. Cette rĂ©union Ă©tait destinĂ©e Ă dynamiser les mĂ©canismes et dĂ©terminer les mesures pratiques afin de garantir la surveillance de ces produits dans le cadre de lĂąâŹâąapplication de la loi. Lors de cette rĂ©union les deux ministres ont insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de mettre en place des mesures Ă mĂÂȘme de durer et de surveiller ces produits de façon efficace et pĂ© articles, commentaires et propos sont la propriĂ©tĂ© de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilitĂ© Commentaires 3 Lus 1293 Postez un commentaire Charte des commentairesA lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les dĂ©bats passionnants sur Cridem Commentez pour enrichir Le but des commentaires est d'instaurer des Ă©changes enrichissants Ă partir des articles publiĂ©s sur Cridem. Respectez vos interlocuteurs Pour assurer des dĂ©bats de qualitĂ©, un maĂtre-mot le respect des participants. Donnez Ă chacun le droit d'ĂÂȘtre en dĂ©saccord avec vous. Appuyez vos rĂ©ponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives. Contenus illicites Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et rĂ©glementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisĂ©mites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives Ă la vie privĂ©e d'une personne, utilisant des oeuvres protĂ©gĂ©es par les droits d'auteur textes, photos, vidĂ©os.... Cridem se rĂ©serve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir Ă la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation Ă Cridem! Les commentaires et propos sont la propriĂ©tĂ© de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilitĂ©. Identification Pour poster un commentaire il faut ĂÂȘtre membre . Si vous avez dĂ©jĂ un accĂšs membre . Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut Ă droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI . Vous n'ĂÂȘtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI . En Ă©tant membre vous accĂšderez Ă TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .
desCommissions Locales d'Information et de Surveillance (CHS) Guide CUS: Sommaire Preface..P.3 Le cadre legislate et reglementalre..P.4 Loi cadre du 15 juiilet 1975 modifiee par la loi du 13 juillet 1992 Loi du 19 juillet 1976 sur les installations dassees Le droit h 1'infbrmation du public : decret du 29 decembre 1993 Declaration et autorisation..P.12 Le principe general
> VidĂ©osurveillance - VidĂ©oprotection Dans la rue, dans les magasins, les transports en commun, les bureaux, les immeubles d'habitation, difficile d'Ă©chapper aux camĂ©ras installĂ©es en France. Quelles-sont les bonnes pratiques pour que les dispositifs installĂ©s soient respectueux du cadre lĂ©gal et des droits des personnes filmĂ©es ? Au travail LâĂ©quipement des lieux de travail en camĂ©ra de surveillance est dĂ©sormais largement partagĂ©. Sâils sont lĂ©gitimes pour assurer la sĂ©curitĂ© des biens et des personnes, de tels outils ne peuvent pas conduire Ă placer les employĂ©s sous ... Dans les commerces Les commerçants ont recours Ă des camĂ©ras pour lutter contre les vols de marchandises par les clients ou les employĂ©s. Ces dispositifs sont soumis Ă diffĂ©rentes rĂšgles selon la zone surveillĂ©e. Dans les Ă©tablissements scolaires Pour sĂ©curiser les accĂšs et Ă©viter les incidents, des camĂ©ras sont installĂ©es dans les Ă©tablissements scolaires. Ces dispositifs doivent respecter diffĂ©rentes rĂšgles afin de ne pas porter atteinte Ă la vie privĂ©e des personnes filmĂ©es. Sur la voie publique Le nombre de camĂ©ras filmant la voie publique a fortement augmentĂ©, notamment sous lâimpulsion des pouvoirs publics, pour lutter contre lâinsĂ©curitĂ©. Des textes spĂ©cifiques encadrent ces dispositifs soumis Ă une autorisation du prĂ©fet. Chez soi Les particuliers ont rĂ©guliĂšrement recours Ă des camĂ©ras pour sĂ©curiser leur domicile, notamment pour lutter contre les cambriolages. Ces dispositifs doivent toutefois respecter la vie privĂ©e des personnes filmĂ©es. Dans les immeubles d'habitation Pour lutter contre les vols ou les dĂ©gradations dans les parkings ou les halls dâentrĂ©e de plus en plus dâimmeubles sont Ă©quipĂ©s de camĂ©ras de vidĂ©osurveillance. Ces dispositifs doivent respecter diffĂ©rentes rĂšgles afin de ne pas porter ... VidĂ©oprotection quelles sont les dispositions applicables ? LâentrĂ©e en application du Paquet europĂ©en de protection des donnĂ©es personnelles » constituĂ© du rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es RGPD et de la directive Police-Justice », transposĂ©e en droit français, a ... CamĂ©ras dites augmentĂ©es » dans les espaces publics la position de la CNIL La CNIL publie sa position sur les conditions de dĂ©ploiement des dispositifs de vidĂ©o augmentĂ©e » dans les lieux ouverts au public Ă lâissue dâune consultation publique. Reconnaissance faciale pour un dĂ©bat Ă la hauteur des enjeux La CNIL souhaite aujourdâhui contribuer au dĂ©bat sur la reconnaissance faciale, en prĂ©sentant les Ă©lĂ©ments techniques, juridiques et Ă©thiques qui doivent selon elle ĂȘtre pris en compte dans lâapproche de cette question complexe. Articles associĂ©s La PrĂ©sidente de la CNIL a rĂ©cemment mis en demeure plusieurs Ă©tablissements scolaires de mettre ... 18 dĂ©cembre 2019 La CNIL a rendu un avis sur un projet dâarrĂȘtĂ© encadrant la mise en Ćuvre par ... 14 juin 2016 Documents associĂ©s
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CommissionLocale dâInformation et de Surveillance (CLIS) du Centre NuclĂ©aire de Production dâElectricitĂ© (CNPE) de FESSENHEIM RĂ©union de la CLIS de FESSENHEIM 29 avril 2022 Ă 14h30 (CollectivitĂ© europĂ©enne dâAlsace Salle de lâAssemblĂ©e 100 avenue dâAlsace - COLMAR) Ordre du jour 1. Approbation du compte-rendu de la rĂ©union du 15 novembre 2021
L'AutoritĂ© de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration doit ĂȘtre renforcĂ©e. AprĂšs avoir passĂ© Ă la loupe les relations de l'instance avec le MPC, les commissions de gestion du Parlement proposent de lui accorder plus de moyens et de de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration MPC doit rester une entitĂ© indĂ©pendante de l'exĂ©cutif. Personne n'aspire Ă mettre en place une surveillance politique, indiquent les commissions de gestion dans le rapport final publiĂ© Parlement devrait renforcer le rĂŽle de surveillance de l'autoritĂ©, plutĂŽt que de l'affaiblir, et la doter des ressources adĂ©quates. Son droit Ă donner des directives devrait ĂȘtre mieux aux dossiersL'instance devrait avoir un large accĂšs aux dossiers, y compris les procĂ©dures en cours. Elle a d'ailleurs proposĂ© d'Ă©tendre ses droits Ă l'information en s'inspirant du pouvoir des autoritĂ©s exerçant la haute surveillance parlementaire. Le Parlement devrait lĂ©gifĂ©rer en ce sens, selon le rapport de surveillance du MinistĂšre public de la ConfĂ©dĂ©ration devrait en outre conserver son pouvoir disciplinaire. En effet, ni lâAssemblĂ©e fĂ©dĂ©rale ni la commission judiciaire ne sont des organes qui conviennent pour conduire une procĂ©dure disciplinaire. Certaines lacunes doivent cependant ĂȘtre comblĂ©es et la panoplie disciplinaire danger de la politisationDans le domaine du droit du personnel, les commissions n'ont identifiĂ© aucun besoin de clarification. L'autoritĂ© ne devrait pas avoir de compĂ©tences supplĂ©mentaires en la matiĂšre. Les problĂšmes liĂ©s Ă lâĂ©lection, la réélection et la rĂ©vocation des personnes Ă la tĂȘte du MPC devraient ĂȘtre rĂ©solus dans le cadre de la rĂ©forme en cours de la réélection des juges de la a montrĂ© que la réélection du procureur gĂ©nĂ©ral de la ConfĂ©dĂ©ration peut ĂȘtre politisĂ©e, ce qui reprĂ©sente non seulement une menace pour son indĂ©pendance mais Ă©galement pour trouver des personnes hautement qualifiĂ©es, relĂšve le lĂ©gislative en vueIl faudrait aussi clarifier les rapports de travail entre le Parlement et la direction du MPC et rĂ©soudre les problĂšmes Ă©manant des dispositions sur la nomination de procureurs extraordinaires. Les commissions de gestion recommandent en outre d'approfondir les propositions des experts mandatĂ©s pour Ă©valuer la situation prĂŽnant une direction collective Ă la tĂȘte du de surveillance devrait ĂȘtre professionnalisĂ©e. Une indemnisation adĂ©quate des membres ainsi quâun Ă©toffement des ressources Ă disposition devraient ĂȘtre prĂ©vus. Il serait aussi judicieux de la rattacher Ă une unitĂ© administrative ou aux services du balle est dĂ©sormais dans le camp des commissions des affaires juridiques des deux Chambres fĂ©dĂ©rales. Ce sont elles qui pourront lancer les rĂ©formes lĂ©gislatives informellesLes problĂšmes entre l'AutoritĂ© de surveillance et le MPC sont apparus lors de la procĂ©dure disciplinaire engagĂ©e contre l'ancien procureur gĂ©nĂ©ral de la ConfĂ©dĂ©ration Michael Lauber, concernant la troisiĂšme rencontre informelle entre le prĂ©sident de la FIFA Gianni Infantino et Michael Lauber. En mai 2019, les commissions de gestion ont lancĂ© leur inspection pour comprendre ces en cause, Michael Lauber a quittĂ© son poste le 31 aoĂ»t dernier. Son successeur ou sa successeuse n'a toujours pas Ă©tĂ© trouvĂ©.>> Lire Encore un tour pour rien dans la quĂȘte d'un procureur de la ConfĂ©dĂ©rationats/kkub
LeC.D.I.A., membre de la Commission Locale d'Information et de Surveillance (C.L.I.S) qui réglemente le fonctionnement de l'usine, milite pour des contrÎles plus nombreux, plus rigoureux et plus "transparents" des rejets de l'incinérateur. l'incinérateur dans la vallée du Paillon : Depuis 2006, nous avons obtenu un plan annuel de suivi des taux de dioxines (dans les olives, les
PubliĂ© le dimanche 10 fĂ©vrier 2013 Ă 234000 La Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS de TrĂ©di s'est rĂ©unie mardi 11 dĂ©cembre 2012, sous la prĂ©sidence de Monsieur Lionel Lemoine, sous-prĂ©fet de Vienne. Pour consulter le compte-rendu de cette rĂ©union Partager cet article commentaires M Bonsoir, Page 2 du compte-rendu - §1 PrĂ©sentation du bilan - Point Les dĂ©chets refusĂ©s en 2011, pour cause de radioactivitĂ©, sont toujours stockĂ©s sur le site de TrĂ©di dans l'attente de leur prise en charge par l'Agence Nationale pour la gestion des DĂ©chets Radioactifs ANDRA. Nous sommes en 2013. Le dĂ©lai de prise en charge par l'ANDRA me paraĂźt beaucoup trop long. Laisser aussi longtemps des dĂ©chets radioactifs sur une aire de stockage, voilĂ qui fait dĂ©sordre ! MĂȘme si le stockage est isolĂ© et banalisĂ© ??? je pense qu'il faut lire balisĂ©, car il serait grave de banaliser le stockage des matiĂšres radioactives !!!. Bien cordialement. RĂ©pondre
Pourfaire suite à notre dernier article, notre association met en ligne le rapport de la CLIS du 17 décembre 2010. Les participants étaient au nombre de 12 dont : - Deux représentants du sous-préfet de Senlis ; - Trois responsables de la société K20
Ătats des lieux radiologique, Points ZĂ©ro, Suivis pluriannuels, Investigations ponctuelles, Ătudes de dossiers techniques, LâACRO possĂšde 25 ans dâexpĂ©rience sur le terrain, des prĂ©lĂšvements Ă lâinterprĂ©tation des rĂ©sultats, en passant par lâanalyse choix des indicateurs, prĂ©lĂšvements, traitement des Ă©chantillons, analyse de la radioactivitĂ© ; commentaire des rĂ©sultats. Voici quelques exemples SURVEILLANCE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITĂ AUTOUR DE LA CENTRALE NUCLĂAIRE DE GRAVELINES 2009-2010 et 2014 La surveillance mise en place Ă la demande de la Commission Locale dâInformation de Gravelines, est basĂ©e sur le suivi semestriel de quatre sites marins rĂ©partis de part et dâautre de la centrale. DiffĂ©rents indicateurs biologiques et inertes sont prĂ©levĂ©s pour la recherche des radionuclĂ©ides algues brunes, moules, patelles et sĂ©diments. Les campagnes de prĂ©lĂšvement sont rĂ©alisĂ©es conjointement avec les membres de la CLI mais Ă©galement en partenariat avec le collĂšge de Gravelines. EXAMEN DU DOSSIER DâENQUĂTE PUBLIQUE RELATIF Ă LA DEMANDE DâAUTORISATION DE DĂMANTĂLEMENT DE LA CENTRALE DE BRENNILIS [2009] La Commission Locale dâInformation CLI de Brennilis 29 a chargĂ© lâACRO de lâassister dans lâexamen du dossier. Il sâagissait dâidentifier les Ă©tapes du dĂ©mantĂšlement qui pourrait faire lâobjet dâobservation ou de demandes de prĂ©cisions et dâidentifier les points considĂ©rĂ©s Ă enjeux » et les risques pour les populations, les travailleurs et lâenvironnement. ANALYSE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITĂ DANS LES ENVIRONS DU CENTRE DE STOCKAGE DE LâAUBE [2007 et 2012-2013] Ă la demande de la Commission Locale dâInformation de Soulaines Dhuys, lâACRO a effectuĂ© en 2007 un bilan radioĂ©cologique autour du site de stockage des dĂ©chets radioactifs FMA de lâANDRA situĂ© dans lâAube. ĂlaborĂ©e en collaboration avec la CLI, la stratĂ©gie dâinvestigation a pris en compte certains aspects Ă©conomiques rĂ©gionaux, comme le vignoble ou encore lâexploitation forestiĂšre. En 2012, une nouvelle campagne de mesure a Ă©tĂ© menĂ©e afin de suivre lâĂ©volution des niveaux de radioactivitĂ© et dâĂ©largir le rĂ©fĂ©rentiel par de nouvelles donnĂ©es. ĂVALUATION DES RETOMBĂES EN FRANCE CONSĂCUTIVES AU PASSAGE DU NUAGE RADIOACTIF EN PROVENANCE DU JAPON [MARS-AVRIL 2011] DĂšs lâannonce de lâarrivĂ©e de gaz et de particules radioactifs en provenance du Japon, lâACRO, en partenariat avec Greenpeace, a organisĂ© un suivi des retombĂ©es en France mĂ©tropolitaine. Des prĂ©leveurs volontaires » ont collectĂ© de lâherbe de façon mĂ©thodique et rĂ©guliĂšre en divers points du territoire national afin de les analyser. Lâobjectif Ă©tait de savoir si la chaĂźne alimentaire pouvait ĂȘtre affectĂ©e. EXPERTISE RADIOLOGIQUE SUR UN ANCIEN SITE INDUSTRIEL POLLUE [JUILLET â SEPTEMBRE 2010] RĂ©alisĂ©e Ă la demande du Conseil RĂ©gional dâAquitaine, cette Ă©tude avait pour principal objectif dâĂ©laborer une cartographie radiologique prĂ©cise de la contamination radioactive des terrains dâun ancien site industriel situĂ© sur le port de Bayonne. La pollution radioactive des terrains, rĂ©vĂ©lĂ©e il y a 12 ans par les associations locales, est due aux anciennes activitĂ©s de broyage de monazite, terre rare qui contient de fortes quantitĂ©s de thorium. Les investigations menĂ©es ont permis de cartographier les zones de pollutions du site et des bĂątiments. Pour en savoir plus et accĂ©der aux autres Ă©tudes rĂ©alisĂ©es par lâACRO, cliquez ici.
LeComitĂ© Local dâinformation et de Surveillance du laboratoire de Bure â CLIS de Bure. La Commission SpĂ©ciale et Permanente dâInformation de La Hague â CSPI de La Hague. La Commission Locale dâInformation de Golfech â CLI Golfech. La Commission Locale dâInformation de Gravelines â CLI de Gravelines
A la centrale de Chooz, ce sont 1000 hommes et femmes, agents et salariĂ©s dâEDF et des entreprises partenaires, qui se relaient jour et nuit pour produire de lâĂ©lectricitĂ© et rĂ©pondre ainsi aux besoins des clients dâEDF. Par ailleurs, lâancienne centrale de Chooz A est en cours de production dâĂ©lectricitĂ© dâorigine nuclĂ©aire est une industrie spĂ©cifique, qui impose un trĂšs haut niveau de sĂ»retĂ©. En application de la loi TSN Transparence et sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire du 13 juin 2006 et du dĂ©cret du 18 mars 2008, la mise en place de la Commission Locale dâInformation CLI assure une mission de suivi, dâinformation et de concertation en matiĂšre de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire. Elle est un relais local dâinformation pour le grand est constituĂ©e la CLI ? La mise en place de la CLI incombe au prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental. Philippe Dazin, ChargĂ© de mission Ă la Direction FinanciĂšre du Conseil dĂ©partemental, est alors dĂ©tachĂ© pour assurer la responsabilitĂ© administrative et financiĂšre de la CLI de Chooz». Afin de garantir son autonomie et son indĂ©pendance, elle est constituĂ©e en association de loi 1901. Son AssemblĂ©e est Ă©quilibrĂ©e et se compose de 4 collĂšges - le collĂšge des Ă©lus, qui reprĂ©sente plus de la moitiĂ© des membres- le collĂšge des reprĂ©sentants dâassociations de protection de lâenvironnement- le collĂšge des reprĂ©sentants des organisations syndicales de salariĂ©s de la Centrale NuclĂ©aire de Chooz- le collĂšge des personnes qualifiĂ©es et des reprĂ©sentants du monde Ă©conomique CLI de Chooz » associe Ă©galement des acteurs locaux et nationaux, des Ă©lus belges. Le gouverneur de la province de Namur est, notamment, membre du Conseil dâAdministration de la est le fonctionnement de la CLI ?ConcrĂštement, la CLI a pour missions de comprendre la vie et le fonctionnement dâune installation de production dâĂ©lectricitĂ© nuclĂ©aire, dâavoir un regard externe pertinent, dâĂ©mettre des questionnements et avis et dâĂȘtre un relais dâinformation vers le grand public. Elle reçoit des informations de la part de lâexploitant EDF, de lâAutoritĂ© de SĂ»retĂ© NuclĂ©aire et des services dâEtat. Des membres de la CLI sont Ă©galement invitĂ©s Ă assister aux inspections des installations nuclĂ©aires. La Commission Locale dâInformation assure alors une large diffusion des rĂ©sultats de ses travaux sous un format accessible au plus grand savoir plus ? Si vous souhaitez obtenir plus d'informations, vous pouvez contacter la CLI de CHOOZ par email clidechooz ou par courrier CLI de CHOOZ HĂŽtel du DĂ©partement 08011 Charleville MĂ©ziĂšres.
clisdu centre de stockage de dechets du bois des blettes â st cyr des gats (Commission Locale dâInformation et de Surveillance) Titulaire : Jean-NoĂ«l DUGAS
29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 1337 Cette commission la CLIS sâest rĂ©unie le jeudi 16 octobre prĂ©sents 2 reprĂ©sentants de la sous-prĂ©fecture dont le sous-prĂ©fet ;Le directeur et son adjoint de lâISDND ;2 reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ;Le maire le LĂ©vignen ;Le conseiller gĂ©nĂ©ral du canton ;2 membres de lâassociation CrĂ©py envirtonnement et qualitĂ© de la vie ;Un administrateur du ROSO ;Un responsable des sites classĂ©s de la DREAL..Agence SITA rĂ©gion IDF3 000 collaborateurs ;400 clients collectivitĂ©s et 7 000 clients entreprises ;8 centres de tri, 9 centres de valorisation Ă©nergĂ©tique, 1 unitĂ© de compostage et 1 unitĂ© de valorisation organique par mĂ©thanisation ;21 ISDND 7 ouvertes et 14 en suivi post-exploitation ;2 installations de stockage de dĂ©chets inertes ISDI..Historique du ISDND de CrĂ©py en Valois Gestion SITA FD groupe SITAOuverture du premier site en casier 1 et 2 le 21 juin Ă©lectrique du biogaz Ă partir du 18 avril mise en conformitĂ© Ă lâ par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 22 avril 2003 et la 2Ăšme mise en conformitĂ© par AP du 30janvier2008..Gestion K2O groupe SITADemande de changement dâexploitant en juin temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets le 30 juin dâun 1er dossier de mise en conformitĂ© des conditions dâexploitation le 14 aoĂ»t 2009 puis dâun 2Ăšme autorisation le 22 dĂ©cembre 2010, dĂ©but des travaux le 3 janvier 2011 et rĂ©ouverture du site le 27 juin 2011..Lâexploitation des dĂ©chets doit se poursuivre jusquâen 2019 mais une demande de prolongation est en cours jusquâen 2022 et une surveillance pendant 30 ans du centre dâenfouissement aprĂšs fermeture qui peut aller jusquâĂ 50 ans..Description de lâinstallation de stockage de CrĂ©py en Valois6 personnes travaillent sur le site actuellement, dâune superficie de 40 hectares dont 6,5 en exploitation. La capacitĂ© totale dâenfouissement est de 1 200 000 m3 120 000 tonnes annuellement.Le site certifiĂ© ISO 9 001 et 14 001 fonctionne avec 1 chef de centre, 1 chef dâĂ©quipe, 3 conducteurs dâengins et une compacteur Ă dĂ©chets de 47 tonnes et un chargeur Ă chenilles permettent le maniement et le dĂ©blaiement des horaires dâouvertures actuels sâĂ©talent du lundi au jeudi de 6h30 Ă 14h45 et le vendredi de 6h30 Ă 13h45 ainsi que le dimanche matin.. Vue aĂ©rienne de l'ISDND Principe dâexploitation Un contrĂŽle et un suivi des dĂ©chets sont effectuĂ©s depuis leur acceptation sur le site jusquâĂ leur stockage dĂ©finitif. Il existe Ă©galement un contrĂŽle visuel. Une gestion rigoureuse des conditions dâapports par les clients sĂ©curitĂ© des dĂ©chargements et gestion des flux par 3 employĂ©s. Un dĂ©tecteur de radioactivitĂ© fonctionne sur le portique Ă lâentrĂ©e. Un rĂ©amĂ©nagement progressif et traitement des effluents existe pour une protection optimale de lâenvironnement traitement du biogaz et des lixiviats. Un moteur Ă gaz produit jusquâĂ 7 GW dâĂ©lectricitĂ© suffisant pour alimenter une commune de 9000 habitants et vendus directement Ă EDF. La production de biogaz est en baisse actuellement Ă la suite de la fermeture temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets en 2006 et le dĂ©but des travaux en 2011. Pour amĂ©liorer cette production de biogaz, la sociĂ©tĂ© a mis en place un bioreacteur en octobre pour augmenter la vitesse de dĂ©gradation des dĂ©chets, accĂ©lĂ©rer la production de biogaz et dâĂ©lectricitĂ©, diminuer les Ă©missions de gaz Ă effets de serre et enfin rĂ©duire la production de lixiviats eaux pluviales ayant percolĂ© dans les dĂ©chets. Lâinstallation dâun moteur Ă gaz plus petit est prĂ©vue pour sâadapter Ă la pĂ©riode de transition de baisse de la production de biogaz. . En 2013 116 841 tonnes de dĂ©chets sont stockĂ©s dont 27 450 tonnes des dĂ©partements limitrophes composĂ©s de dĂ©chets mĂ©nagers Ă hauteur de 19% et de 81% de DIB dĂ©chets industriels banals. 13147 tonnes de terres polluĂ©es ainsi que des dĂ©chets industriels inertes sont employĂ©s pour recouvrir les dĂ©chets et limiter les mauvaises odeurs. . Plateforme de valorisation du biogaz produisant de l'Ă©lectricitĂ© Gestion des lixiviats Chaque casier est hydrauliquement indĂ©pendant et Ă©quipĂ© dâun puits de pompage. Les lixiviats sont ensuite acheminĂ©s vers un bassin tampon puis rejetĂ©s dans le rĂ©seau dâassainissement de la commune afin dâĂȘtre traitĂ©s en STEP urbaine Station dâĂ©puration des eaux usĂ©es. . Gestion du biogaz Captage Ă lâavancĂ© par 87 puits forĂ©s dans le massif de dĂ©chets et par des tranchĂ©es drainantes. Lâensemble des points de mesures sont contrĂŽlĂ©es hebdomadairement par une entreprise spĂ©cialisĂ©e. Un moteur de combustion du biogaz dâune capacitĂ© de 750M3/h, produit 1,2MWh dâĂ©lectricitĂ© avec un taux de fonctionnement horaire de 88% et une valorisation annuelle de 4 833 534 Nm3 de biogaz. Taux de valorisation de 90% mais fonctionne actuellement Ă 50% de ses capacitĂ©s. Une torchĂšre de capacitĂ© de 1000M3/h peut brĂ»ler la totalitĂ© du biogaz si une panne se produit sur le gĂ©nĂ©rateur dâĂ©lectricitĂ©, empĂȘchant ainsi une explosion. Collecteur du biogaz Suivi des eaux souterraines Le rĂ©seau de contrĂŽle est constituĂ© de 6 piĂ©zomĂštres PZ situĂ©s en amont et en aval hydraulique. La qualitĂ© des eaux est analysĂ©e semestriellement notamment pour le pH, les mĂ©taux lourds, les hydrocarbures totaux etc⊠et tous les 4 ans au niveau du pH, la conductivitĂ©, COT, DCO DBO5, NH4+, MES, des nitrates, nitrites, mĂ©taux totaux, chlorure, hydrocarbures, sulfates, phosphates, phĂ©nols, potassium, sodium magnĂ©sium, bore fluorures dernier contrĂŽle en juin 2011. La qualitĂ© des eaux souterraines est stable et globalement bonne Ă trĂšs bonne par rapport au systĂšme Ă©valuation de la qualitĂ© des eaux souterraines pour la protection de lâeau potable hormis sur le PZ5 situĂ© en aval immĂ©diat de lâancienne zone pour ce qui concerne les teneurs plus Ă©levĂ©es en chlorures, NH4+, COT, conductivitĂ©, manganĂšse et sodium. Le PZ6 montre une attĂ©nuation de ces teneurs en pĂ©riphĂ©rie du site. La protection des alvĂ©oles LâamĂ©nagement est composĂ© du bas vers le haut Dâun gĂ©otextile de renforcement visant Ă assurer la parfaite stabilitĂ© dans le temps de lâensemble ; Dâune couche dâ1 mĂštre dâargiles venue de Vauciennes et de la rĂ©gion de Seine et Marne. Ces argiles ont Ă©tĂ© remaniĂ©es et compactĂ©es de façon Ă obtenir une trĂšs forte impermĂ©abilitĂ©. Cette couche est renforcĂ©e par un gĂ©otextile bentonitique la bentonite est une argile trĂšs fine et gonflante, parfaitement impermĂ©able. Une goutte dâeau mettrait 30 ans pour traverser cette Ă©paisseur ; Dâune gĂ©omembrane en polyĂ©thylĂšne haute densitĂ© ; Dâun gĂ©ocomposite de protection et drainage. . Coupes de l'ISDND de CrĂ©py en Valois Les observations Yves Mouny, prĂ©sident de notre association est intervenu pour exprimer son dĂ©saccord sur le principe dâun forage Ă la limite du bois de Tillet Ă moins dâun km du casier non protĂ©gĂ© de la dĂ©charge Etude prĂ©alable avec un coĂ»t de 64 500âŹ. Il craint une pollution Ă long terme de la nappe phrĂ©atique malgrĂ© les dĂ©nĂ©gations de certains participants Ă la rĂ©union. Il a indiquĂ© que plusieurs forages ont Ă©tĂ© effectuĂ©s au bois du roi avec une eau dâexcellente qualitĂ© et que la faisabilitĂ© des raccordements au circuit dâeau potable nâest pas un problĂšme puisque la commune de Levignen puise son eau potable Ă partir dâun forage pratiquĂ© au bois du roi. . Le reprĂ©sentant de la DREAL a rĂ©pondu quâen cas de pollution avĂ©rĂ©e et afin quâelle ne sâĂ©tende pas il sera possible de mettre en Ćuvre une barriĂšre hydraulique qui consiste Ă pomper rapidement et dâune façon importante et soutenue les eaux polluĂ©es de la nappe phrĂ©atique. Pour Yves Mouny, il est prĂ©fĂ©rable dâĂ©viter de genre de problĂšme. . Les reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ont rĂ©pondu quâils prendront les renseignements nĂ©cessaires pour ĂŽter les doutes sur les risques de pollution de la nappe phrĂ©atique situĂ©e Ă lâorĂ©e du bois de Tillet. . LâinquiĂ©tude des habitants du lotissement prĂ©s de la nouvelle gendarmerie a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e. Ceux-ci ont dĂ©couvert avec surprise pour certains que leur terrain se trouvait en contrebas de lâancienne alvĂ©ole de la dĂ©charge non protĂ©gĂ©e et craignent la pollution de leur terrain. . Les enjeux Ă©cologiques Sâinscrire dans la continuitĂ© Ă©cologique locale avec le choix dâessences locales et la prĂ©servation des haies et bosquets existants ; Diversifier les milieux pour lâaccueil dâune faune et flore remarquable ; Favoriser lâimplantation naturelle de la faune locale, par lâadoption de semis lĂ©gers anti-Ă©rosion avec fauche tardive, par une fauche diffĂ©renciĂ©e et la prĂ©servation de zones refuges pour la flore et la faune. Pas dâemploi de phytosanitaires. . ComitĂ© de rĂ©daction de lâassociation CrĂ©py environnement et qualitĂ© de la vie. . UA-46075681-3 Ouvrages de contrĂŽle des eaux souterraines Published by CrĂ©py en valois environnement - dans Environnement
MadameâMonsieur,! JâaiâleâplaisirâdeâvousinviterâĂ âlaârĂ©unionâpubliqueâdeâlaCommission LocaleâdâInformationâetâdeâSurveillance
La CME est consultĂ©e et informĂ©e, notamment sur les orientations stratĂ©giques de lâĂ©tablissement, son plan de financement, la politique de recrutement des emplois contribue Ă lâĂ©laboration de la politique dâamĂ©lioration continue de la qualitĂ© et de la sĂ©curitĂ© des soins ainsi que des conditions dâaccueil et de prise en charge des est chargĂ©e dâĂ©laborer le projet consultative, le comitĂ© technique dâĂ©tablissement associe les personnels hospitaliers Ă la gestion de lâ est composĂ© de reprĂ©sentants Ă©lus du personnel non mĂ©dical relevant du statut de la fonction publique est amenĂ© Ă Ă©mettre des avis et des vĆux sur toutes les questions ayant trait Ă lâorganisation et au fonctionnement de lâ CHSCT a pour mission de contribuer Ă la protection de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© des travailleurs ainsi quâĂ lâamĂ©lioration des conditions de commission des soins infirmiers, de rééducation et mĂ©dico-Techniques est consultĂ©e sur lâorganisation gĂ©nĂ©rale des soins, la recherche dans le domaine des soins infirmiers, lâĂ©valuation de ces soins et lâĂ©laboration dâune politique de comitĂ© de gestion des signalements se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement pour faire lâanalyse des Ă©vĂšnements indĂ©sirables et faire le lien avec les professionnels pour mettre en place les actions CREX existent sur des thĂ©matiques câest quoi ?Câ est lâĂ©tude thĂ©orique des principes qui guide lâaction humaine dans les contextes ou le choix est possible, vise Ă rĂ©pondre Ă la question Que faire pour bien faire ? »RĂ©flexion qui vise Ă dĂ©terminer les rĂšgles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives Ă des situations Ă©tablit les critĂšres pour agir librement dans une situation pratique et faire le choix dâun comportement dans le respect de soi mĂȘme et dâ CHAL, le ComitĂ© Local dâEthique, câest â Une instance Ă votre serviceâ Une rĂ©ponse aux demandes des professionnels destinĂ©e Ă faciliter leur prise de dĂ©cisionâ Une sensibilisation aux questions Ă©thiques au sein de lâ par le Dr AndrĂ© Dartiguepeyrou mĂ©decin gĂ©riatre, le ComitĂ© Local dâEthique a pour missions â Favoriser la connaissance, la diffusion et la mise en oeuvre de la charte de la personne hospitalisĂ©eâ AmĂ©liorer la communication et la prise de dĂ©cision au sein des Ă©quipes de professionnelsâ RĂ©pondre aux demandes des professionnels en leur apportant un Ă©clairage multidisciplinaire destinĂ© Ă faciliter leur prise de dĂ©cisionâ DĂ©battre des situations pour guider les cliniciens dans leurs dĂ©cisionsâ Emettre des recommandations dans les domaines oĂč des conflits dâordre Ă©thique sont prĂ©sentsâ Augmenter la sensibilitĂ© aux questions Ă©thiques dans lâ situation, une singularitĂ© Les questions indispensables que se pose lâĂ©quipe soignante â La dĂ©cision envisagĂ©e est-elle lĂ©gale ?â Est-elle respectueuse du patient ? des autres acteurs de la situation ?â Est-elle conforme aux intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux et Ă la mission de lâĂ©tablissement ?â Peut-elle ĂȘtre aisĂ©ment communiquĂ©e et gĂ©nĂ©ralisĂ©e ?â Serait-elle acceptable si la personne concernĂ©e Ă©tait un proche ?La dĂ©cision retenue sera Ă©valuĂ©e tout au long de votre rĂ©flexion en tant que patient, un intĂ©rĂȘt constantâ Respect de ma volontĂ© de patient quant au traitement proposĂ©â Respect de ma capacitĂ© de discernementâ Prise en compte et respect de ma dĂ©cisionâ Puis je Ă tout moment changer de dĂ©cision ?â Le contrat de confiance sera-t-il respectĂ© ?â Les Directives AnticipĂ©es, une expression de votre volontĂ© *****************************************************LES DIRECTIVES ANTICIPEES â Une dĂ©marche Ă©thique de respect et de protection du patient.â Une dĂ©marche de concertation et de dialogue entre les soignants et le que câest ?â Câest un document officiel qui permet dâexprimer, si vous en ressentez le besoin, votre volontĂ©, quant Ă votre fin de vie.â Vous pouvez y Ă©crire ce que vous souhaitez ou pas en terme dâexamens ou de sujets aborder ?â Votre attente face Ă la douleur et Ă ses traitementsâ Le souhait ou le refus de certains traitements et/ou interventions chirurgicales et/ou examens invasifsâ Lâalimentation et lâhydratation artificiellesâ Les mesures de rĂ©animationâ Les personnes auxquelles communiquer des informations mĂ©dicalesâ Lâaccompagnement spirituel souhaitĂ©â La dĂ©signation de votre personne de confianceMais, il nâest pas possible de â Formuler une demande illĂ©gale demande dâeuthanasieâ PrĂ©tendre Ă des traitements non reconnusâ Mentionner des positions testamentairesA quoi servent les directives anticipĂ©es ?â Dans lâhypothĂšse oĂč vous ne seriez plus en mesure dâexprimer votre volontĂ©, elles permettent Ă lâĂ©quipe soignante et notamment au mĂ©decin de connaĂźtre vos souhaits quant Ă la limite ou lâarrĂȘt des traitements qui vous sont dispensĂ©s.â Le mĂ©decin reste libre dâapprĂ©cier les conditions dans lesquelles il convient dâappliquer vos directives compte tenu de votre Ă©tat clinique et de lâĂ©ventuelle Ă©volution des connaissances de validitĂ© des directives anticipĂ©esâ Elle est de 3 ans Ă compter de leur date de rĂ©daction, au terme desquels il est nĂ©cessaire de les renouveler.â Les directives anticipĂ©es sont rĂ©vocables Ă tout moment par le patient sans formalitĂ© ou annulation des directives anticipĂ©esâ A tout moment, il est possible de revenir sur ses dĂ©cisions soit en les modifiant, soit en les adaptant.â Elles resteront valables Ă nouveau pour une durĂ©e de trois ans Ă compter de la date de qui les donner ?Les directives anticipĂ©es doivent ĂȘtre aisĂ©ment accessibles Ă tout mĂ©decin qui doit les consulter notamment dans le cadre de la prise de dĂ©cision dâune limitation ou dâun arrĂȘt de possible, au choix de la personne concernĂ©e â dans le dossier dâun mĂ©decin de ville quâelle dĂ©signe mĂ©decin traitant ou nonâ en cas dâhospitalisation, dans le dossier mĂ©dical de lâĂ©tablissementâ ou conservation par leur auteur, la personne de confiance, ou Ă dĂ©faut, par un membre de la famille ou un comitĂ© de lutte contre les infections nosocomiales organise la surveillance et la prĂ©vention des infections nosocomiales au sein de lâĂ©tablissement. Il sâinscrit dans une organisation instance sâattache Ă lutter contre des infections contractĂ©es par les patients durant leur hospitalisation et le dĂ©veloppement des germes responsabilitĂ©s du CLUD sont de proposer, pour amĂ©liorer la prise en charge de la douleur, les orientations les mieux adaptĂ©es Ă la situation locale ; elles doivent figurer dans le projet dâĂ©tablissement ;de coordonner au niveau de lâensemble des services toute action visant Ă mieux organiser la prise en charge de la douleur ;dâaider au dĂ©veloppement de la formation continue des personnels mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux de lâĂ©tablissement ;de susciter le dĂ©veloppement de plans dâamĂ©lioration de la qualitĂ© pour lâĂ©valuation et le traitement de la pratique, les CLUD coordonnent les actions, recueillent les informations cliniques et les besoins de lâĂ©tablissement, afin de proposer une stratĂ©gie cohĂ©rente et adaptĂ©e devant aboutir Ă la prise en compte effective de toutes les douleurs.
Ledécret n° 93-1410 du 23 décembre 1993 a fixé les modalités d'exercice de ce droit à l'information : les commissions locales d'information et de surveillance (CLIS) sont un des moyens d'exercice de ce droit. La nécessité de renforcer l'information et la participation des citoyens a été rappelée dans la communication du Gouvernement du 26 août 1998 sur la
Lexique Lexique de l'Autorité de sûreté nucléaire Commission locale d'information CLI Commission créée auprÚs d'un grand équipement énergétique tel un site électronucléaire dans le but de suivre l'impact de son implantation sur l'environnement et d'en informer le public. Les membres de cette Commission sont des élus locaux, des représentants des syndicats et d'associations de protection de l'environnement. Télécharger le lexique CSV - Ko
CommissionLocale dâInformationet de Surveillance du 24/11/2011 Impact Environnemental âą ThĂšme AIR â Rejets AciĂ©rie 2011 : Saturation et micro brĂ»lure des manches filtrantes
Le droit Ă la participation des citoyens aux dĂ©cisions locales, expressĂ©ment consacrĂ© par les textes, sâexerce de maniĂšre diffĂ©rente selon le statut des territoires et leur taille dĂ©mographique. On peut toutefois dresser une prĂ©sentation gĂ©nĂ©rale de ces dispositifs pour les communes et les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale ci-aprĂšs EPCI en distinguant deux grandes formes de participation des citoyens Ă la dĂ©cision publique les modes de consultation directeles structures participatives I - Les modes de consultation directe Sâagissant des communes, lâarticle L. 2141-1 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales ci-aprĂšs CGCT, introduit par la loi n° 92-125 du 6 fĂ©vrier 1992 et modifiĂ© par la loi n° 2004-809 du 13 aoĂ»t 2004, dispose que Le droit des habitants de la commune Ă ĂȘtre informĂ©s des affaires de celle-ci et Ă ĂȘtre consultĂ©s sur les dĂ©cisions qui les concernent, indissociable de la libre administration des collectivitĂ©s territoriales, est un principe essentiel de la dĂ©mocratie locale. Il sâexerce sans prĂ©judice des dispositions en vigueur relatives notamment Ă la publicitĂ© des actes des autoritĂ©s territoriales ainsi quâĂ la libertĂ© dâaccĂšs aux documents administratifs ». A. Le referendum local art et suivants du CGCT La loi constitutionnelle n° 2003-276 du 28 mars 2003 modifiĂ©e par la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 relative Ă l'organisation dĂ©centralisĂ©e de la RĂ©publique a introduit un nouvel article 72-1 au sein de la Constitution tendant Ă faciliter la participation des Ă©lecteurs aux affaires de leur collectivitĂ©. Le principe d'un referendum local a Ă©tĂ© introduit Ă l'alinĂ©a 3 de cet article au terme duquel Dans les conditions prĂ©vues par la loi organique, les projets de dĂ©libĂ©ration ou d'acte relevant de la compĂ©tence d'une collectivitĂ© territoriale peuvent, Ă son initiative, ĂȘtre soumis, par la voie du referendum, Ă la dĂ©cision des Ă©lecteurs de cette collectivitĂ©. Les conditions de sa mise en oeuvre ont Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©es aux articles et suivants du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales. 1. CatĂ©gorie des actes pouvant ĂȘtre soumis Ă un referendum local Deux types d'actes peuvent faire l'objet d'un referendum les projets de dĂ©libĂ©ration des conseils municipaux,les projets d'acte relevant des attributions du maire Ă lâexception des projets dâacte individuel. Dans ce cas, il appartient Ă lâĂ©dile de proposer Ă lâorgane dĂ©libĂ©rant de soumettre Ă rĂ©fĂ©rendum local un acte relevant de sa compĂ©tence. Dans ce dernier cas, câest aux maires, aux prĂ©sidents de conseils gĂ©nĂ©raux et aux prĂ©sidents de conseils rĂ©gionaux quâil appartient de proposer Ă leur conseil municipal, gĂ©nĂ©ral ou rĂ©gional de soumettre Ă referendum local un acte relevant de leur compĂ©tence. Lâinitiative du recours au referendum appartient donc aux organes exĂ©cutifs sur les actes relevant de leurs attributions, mais c'est l'organe dĂ©libĂ©rant de la collectivitĂ© qui en arrĂȘtera le principe. 2. ModalitĂ©s dâorganisation du scrutin C'est au conseils municipal qu'il revient de fixer les conditions d'organisation du referendum local, le jour du scrutin, et de convoquer les Ă©lecteurs. Un dossier dâinformation sur lâobjet du referendum doit ĂȘtre mis Ă la disposition du public. Le projet soumis Ă rĂ©fĂ©rendum local est adoptĂ© si la moitiĂ© au moins des Ă©lecteurs inscrits a pris part au scrutin et sâil rĂ©unit la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s. Quelle que soit la collectivitĂ© qui a pris l'initiative d'un referendum local, c'est aux maires qu'il revient d'organiser le scrutin. Si un maire refuse de procĂ©der Ă cette organisation, le prĂ©fet, aprĂšs l'en avoir requis, peut y procĂ©der d'office. Le recours Ă la procĂ©dure du referendum local est assorti d'un contrĂŽle renforcĂ© du reprĂ©sentant de l'Etat. La dĂ©libĂ©ration organisant un referendum local devra ĂȘtre transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au reprĂ©sentant de l'Etat qui, s'il estime celle-ci illĂ©gale, pourra saisir le juge administratif dans un dĂ©lai de dix jours Ă compter de la rĂ©ception de cette derniĂšre. Le cas Ă©chĂ©ant, le prĂ©fet pourra assortir son recours d'une demande de suspension. 3. Financement Les dĂ©penses liĂ©es Ă l'organisation du scrutin constituent une dĂ©pense obligatoire Ă la charge de la collectivitĂ© qui l'a dĂ©cidĂ©e. Les dĂ©penses rĂ©sultant des assemblĂ©es Ă©lectorales tenues dans les communes pour l'organisation d'un rĂ©fĂ©rendum dĂ©cidĂ© par une autre collectivitĂ© territoriale leur sont remboursĂ©es par cette derniĂšre de maniĂšre forfaitaire, au moyen d'une dotation calculĂ©e en fonction du nombre des Ă©lecteurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installĂ©s. 4. Les limites temporelles Ă la mise en oeuvre du referendum local Le referendum local est soumis aux multiples contraintes du calendrier des Ă©chĂ©ances Ă©lectorales. Ainsi, aucun referendum local ne pourra ĂȘtre organisĂ© par une collectivitĂ© territoriale aprĂšs le premier jour du sixiĂšme mois prĂ©cĂ©dant celui au cours duquel il doit ĂȘtre procĂ©dĂ© au renouvellement gĂ©nĂ©ral des membres du conseil municipal. De la mĂȘme façon, aucun referendum local ne pourra se tenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses Ă©lections ou consultations. Enfin, pendant un dĂ©lai d'un an Ă compter de la tenue d'un referendum Ă l'initiative d'une commune, celle-ci ne pourra recourir Ă un autre referendum portant sur le mĂȘme objet. 5. PortĂ©e du rĂ©fĂ©rendum Ce referendum local revĂȘt un caractĂšre vĂ©ritablement dĂ©cisionnel. 6. Le cas des EPCI Les EPCI ne peuvent pas organiser de rĂ©fĂ©rendum local. B. La consultation des Ă©lecteurs art. et suivants du CGCT Les Ă©lecteurs d'une commune peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur les dĂ©cisions que les autoritĂ©s de cette commune envisagent de prendre pour rĂ©gler les affaires relevant de la compĂ©tence de celle-ci. Cette consultation peut ĂȘtre limitĂ©e aux Ă©lecteurs d'une partie de la commune dĂšs lors que lâobjet de la consultation ne concerne quâune partie de la ailleurs, lâalinĂ©a 3 nouveau de lâarticle 72-1 de la Constitution prĂ©voit que la modification des limites territoriales peut Ă©galement donner lieu Ă la consultation des Ă©lecteurs dans les conditions prĂ©vues par la loi. 1. Initiative de la consultation La dĂ©cision de recourir Ă une consultation appartient au conseil municipal. Lâinitiative de cette consultation peut Ă©galement ĂȘtre prise par les Ă©lecteurs eux mĂȘmes. En effet, dans une commune, un cinquiĂšme des Ă©lecteurs inscrits sur les listes Ă©lectorales peut demander Ă ce que soit inscrite Ă l'ordre du jour de l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante l'organisation d'une consultation sur toute affaire relevant de la dĂ©cision de cette assemblĂ©e. 2. ModalitĂ©s dâorganisation du scrutin Dans l'annĂ©e, un Ă©lecteur ne peut signer qu'une seule demande tendant Ă l'organisation d'une consultation par une mĂȘme commune. La dĂ©cision d'organiser la consultation appartient au conseil municipal qui arrĂȘte le principe et les modalitĂ©s d'organisation de la consultation. Sa dĂ©libĂ©ration indique expressĂ©ment que cette consultation n'est qu'une demande d'avis. Elle fixe le jour du scrutin et convoque les Ă©lecteurs. A lâinstar du rĂ©fĂ©rendum local, le recours Ă la procĂ©dure de la consultation est assorti d'un contrĂŽle renforcĂ© du reprĂ©sentant de l'Etat. La dĂ©libĂ©ration de la collectivitĂ© fixant les modalitĂ©s dâorganisation de la consultation est transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au reprĂ©sentant de l'Etat. Si celui-ci l'estime illĂ©gale, il dispose d'un dĂ©lai de dix jours Ă compter de sa rĂ©ception pour la dĂ©fĂ©rer au tribunal administratif. Il peut assortir son recours d'une demande de prĂ©sident du tribunal administratif ou le magistrat dĂ©lĂ©guĂ© par lui statue dans un dĂ©lai d'un mois, en premier et dernier ressort, sur la demande de suspension. Il est fait droit Ă cette demande si l'un des moyens invoquĂ©s paraĂźt, en l'Ă©tat de l'instruction, propre Ă crĂ©er un doute sĂ©rieux quant Ă la lĂ©galitĂ© du projet soumis Ă la dĂ©libĂ©ration organisant la consultation est de nature Ă compromettre l'exercice d'une libertĂ© publique ou individuelle, le prĂ©sident du tribunal administratif ou le magistrat dĂ©lĂ©guĂ© par lui en prononce la suspension dans les quarante-huit la dĂ©libĂ©ration Ă©mane de l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante d'une collectivitĂ© territoriale autre que la commune, le reprĂ©sentant de l'Etat dans cette collectivitĂ© la notifie dans un dĂ©lai de quinze jours aux maires des communes dans lesquelles la consultation est prĂ©vue, sauf s'il a Ă©tĂ© fait droit Ă sa demande de maires organisent le scrutin. Si un maire refuse de procĂ©der Ă cette organisation, le reprĂ©sentant de l'Etat, aprĂšs l'en avoir requis, y procĂšde d'office. 3. Financement de la consultation Les dĂ©penses liĂ©es Ă l'organisation de la consultation des Ă©lecteurs constituent une dĂ©pense obligatoire de la commune qui l'a dĂ©cidĂ©e. Les dĂ©penses rĂ©sultant des assemblĂ©es Ă©lectorales tenues dans les communes pour l'organisation d'une consultation dĂ©cidĂ©e par une autre collectivitĂ© territoriale leur sont remboursĂ©es par cette collectivitĂ© de maniĂšre forfaitaire, au moyen d'une dotation calculĂ©e en fonction du nombre des Ă©lecteurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installĂ©s. Les tarifs de cette dotation sont fixĂ©s par dĂ©cret. 4. Les limites temporelles Ă lâorganisation dâune consultation Comme pour le referendum local, lâorganisation dâune consultation est soumise au contraintes du calendrier Ă©lectoral. Aucune consultation ne pourra ĂȘtre organisĂ©e par une commune aprĂšs le premier jour du sixiĂšme mois prĂ©cĂ©dant celui au cours duquel il doit ĂȘtre procĂ©dĂ© au renouvellement gĂ©nĂ©ral de son organe dĂ©libĂ©rant. A titre dâexemple, lors des Ă©lections municipales qui se sont dĂ©roulĂ©es les dimanches 9 et 16 mars 2008, lâorganisation de toute consultation a Ă©tĂ© prohibĂ©e Ă compter du 1er septembre 2007. De la mĂȘme façon, aucune consultation ne peut intervenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses Ă©lections ou consultations. Enfin, pendant un dĂ©lai d'un an Ă compter de la tenue d'une consultation Ă l'initiative d'une collectivitĂ© territoriale, celle-ci ne pourra recourir Ă un autre referendum portant sur le mĂȘme objet. 5. PortĂ©e de la consultation Les Ă©lecteurs font connaĂźtre par oui ou par non s'ils approuvent le projet de dĂ©libĂ©ration ou d'acte qui leur est prĂ©sentĂ©. AprĂšs avoir pris connaissance du rĂ©sultat de la consultation, l'autoritĂ© compĂ©tente de la commune arrĂȘte sa dĂ©cision sur l'affaire qui en a fait l'objet. 6. Le cas des EPCI Lâarticle L. 5211-49 du CGCT permet la consultation des Ă©lecteurs des communes membres dâun EPCI sur les dĂ©cisions que le conseil communautaire ou le prĂ©sident de cet Ă©tablissement sont appelĂ©s Ă prendre pour rĂ©gler les affaires de la compĂ©tence de lâ consultation obĂ©it aux mĂȘmes rĂšgles que celle qui a pour objet les dĂ©cisions portant sur les affaires communales. C. Les enquĂȘtes publiques LâenquĂȘte publique a pour objet dâassurer lâinformation et la participation du public ainsi que la prise en compte des intĂ©rĂȘts des tiers lors de lâĂ©laboration des dĂ©cisions susceptibles dâaffecter lâenvironnement mentionnĂ©es Ă lâarticle L. 123-2 du code de lâenvironnement. Les observations et propositions recueillies au cours de lâenquĂȘte sont prises en considĂ©ration par le maĂźtre dâouvrage et par lâautoritĂ© compĂ©tente pour prendre la dĂ©cision article L. 123-1 du code de lâenvironnement.La loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour lâenvironnement, dite loi Grenelle II », a rĂ©formĂ© lâenquĂȘte publique en mettant un terme Ă la multiplicitĂ© des types dâenquĂȘtes, rĂ©gies par des dispositions propres et en regroupant les enquĂȘtes publiques en deux catĂ©gories principales - celles portant sur des projets, plans ou programme pouvant avoir des effets sur lâenvironnement ICPE, Eau, DĂ©chets, Urbanisme ;- celles dĂ©diĂ©es Ă lâ quatre sortes de projets, dĂ©cisions et travaux qui nĂ©cessitent une enquĂȘte publique ont Ă©galement Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©s. Il sâagit des projets de travaux, dâouvrages ou dâamĂ©nagements exĂ©cutĂ©s par des personnes publiques ou privĂ©es devant comporter une Ă©tude dâimpact Ă lâexception des projets de crĂ©ation dâune zone dâamĂ©nagement concertĂ© et des projets Ă caractĂšre temporaire ou de faible importance dont la liste est Ă©tablie par dĂ©cret en Conseil dâEtat ; des plans, schĂ©mas, programmes et autres documents de planification soumis Ă une Ă©valuation environnementale pour lesquels une enquĂȘte publique est requise en application des lĂ©gislations en vigueur ; des projets de crĂ©ation dâun parc national, dâun parc naturel marin, les projets de charte dâun parc national ou dâun parc naturel rĂ©gional, les projets dâinscription ou de classement de sites et les projets de classement en rĂ©serve naturelle et de dĂ©termination de leur pĂ©rimĂštre de protection ; des autres documents dâurbanisme et des dĂ©cisions portant sur des travaux, ouvrages, amĂ©nagements, plans, schĂ©mas et programmes soumises par les dispositions particuliĂšres qui leur sont applicables Ă une enquĂȘte publique. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, un dossier dâenquĂȘte doit ĂȘtre constituĂ©, consultable en mairie Ă tout moment. La loi nâimpose pas, en revanche, de pĂ©riodes privilĂ©giĂ©es pour lâorganisation de lâenquĂȘte. Les personnes intĂ©ressĂ©es peuvent faire leurs observations au commissaire enquĂȘteur par Ă©crit ou par dispositions sont applicables aux rappel, en 2006, lâAssociation des maires de France a Ă©tĂ© associĂ©e Ă la Commission consultative des enquĂȘtes publiques créée par le ministĂšre de lâEcologie et du dĂ©veloppement durable. Cette derniĂšre avait pour mission de formuler des propositions pour la rĂ©forme des enquĂȘtes publiques. II. Les structures participatives A. La commission consultative des services publics locaux art. L1413-1 du CGCT, modifiĂ© par la loi n°2006-1772 du 30 dĂ©cembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques. Elle est obligatoire dans les communes de plus de 10 000 habitants. Afin dâassocier davantage les citoyens Ă la gestion des services publics communaux, il a Ă©tĂ© prĂ©vu la crĂ©ation dâune commission consultative compĂ©tente pour un ou plusieurs services publics locaux exploitĂ©s en rĂ©gie dotĂ©es de lâautonomie financiĂšre ou dans le cadre dâune convention de gestion par le maire, cette commission comprend des membres du conseil municipal, dĂ©signĂ©s dans le respect du principe de la reprĂ©sentation proportionnelle, et des reprĂ©sentants dâassociations locales nommĂ©s par le conseil proposition de son prĂ©sident et si son audition paraĂźt utile, la commission pourra inviter toute personne Ă participer avec voix consultative Ă ses la demande de la majoritĂ© de ses membres, la commission a la possibilitĂ© de demander lâinscription Ă lâordre du jour de toute proposition relative Ă lâamĂ©lioration des services publics locaux ».La commission doit examiner chaque annĂ©e le rapport annuel du dĂ©lĂ©gataire, mentionnĂ© Ă lâarticle du CGCT, comportant, notamment, les comptes retraçant la totalitĂ© des opĂ©rations affĂ©rentes Ă lâexĂ©cution de la dĂ©lĂ©gation de service public et une analyse de la qualitĂ© du service,les rapports sur le prix et la qualitĂ© du service public dâeau potable, sur les services dâassainissement et sur les services de collecte, dâĂ©vacuation ou de traitement des ordures mĂ©nagĂšres visĂ©s Ă lâarticle bilan dâactivitĂ© des services exploitĂ©s en rĂ©gie dotĂ©e de lâautonomie financiĂšre,le rapport Ă©tabli par le contractant de la collectivitĂ© lorsque celle-ci a conclu un contrat de partenariat. La commission est Ă©galement consultĂ©e par lâorgane dĂ©libĂ©rant sur tout projet de dĂ©lĂ©gation de service public, avant que lâassemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou lâorgane dĂ©libĂ©rant se prononce sur ce mĂȘme projet,tout projet de crĂ©ation dâune rĂ©gie dotĂ©e de lâautonomie financiĂšre, avant la dĂ©cision portant crĂ©ation de la rĂ©gie,tout projet de partenariat avant que lâorgane dĂ©libĂ©rant de la collectivitĂ© ne se projet de participation du service de l'eau ou de l'assainissement Ă un programme de recherche et de dĂ©veloppement, avant la dĂ©cision d'y engager le service. Par ailleurs, le prĂ©sident de la commission consultative des services publics locaux prĂ©sente Ă son assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou Ă son organe dĂ©libĂ©rant, avant le 1er juillet de chaque annĂ©e, un Ă©tat des travaux rĂ©alisĂ©s par cette commission au cours de l'annĂ©e les conditions qu'ils fixent, l'assemblĂ©e dĂ©libĂ©rante ou l'organe dĂ©libĂ©rant peuvent charger, par dĂ©lĂ©gation, l'organe exĂ©cutif de saisir pour avis la commission des projets dispositions prĂ©cĂ©dentes sâappliquent Ă©galement aux EPCI de plus de 50 000 habitants et aux syndicats mixtes comprenant au moins une commune de plus de 10 000 habitants. Les EPCI dont la population est comprise entre 20 000 et 50 000 habitants ont la possibilitĂ© de crĂ©er une telle commission. Aux termes de lâarticle le conseil municipal peut crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme dâintĂ©rĂȘt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comitĂ©s comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des reprĂ©sentants des associations locales.⊠». Chaque annĂ©e, le conseil municipal fixe la composition de ces comitĂ©s consultatifs sur proposition du maire, chaque comitĂ© devant ĂȘtre prĂ©sidĂ© par un membre du conseil municipal dĂ©signĂ© par le maire. Le maire peut consulter ces comitĂ©s sur toute question ou sur tout projet intĂ©ressant les services publics ou les Ă©quipements de proximitĂ© entrant dans le champ dâactivitĂ© des associations membres de ces comitĂ©s. B. Les comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme dâintĂ©rĂȘt communal article et suivants du CGCT Aux termes de lâarticle du CGCT, le conseil municipal peut crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur tout problĂšme dâintĂ©rĂȘt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comitĂ©s comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des reprĂ©sentants des associations locales.⊠».Sur proposition du maire, le conseil municipal fixe la composition pour une durĂ©e qui ne peut excĂ©der celle du mandat de ces comitĂ©s consultatifs, chaque comitĂ© devant ĂȘtre prĂ©sidĂ© par un membre du conseil municipal dĂ©signĂ© par le maire peut consulter ces comitĂ©s sur toute question ou sur tout projet intĂ©ressant les services publics ou les Ă©quipements de proximitĂ© entrant dans le champ dâactivitĂ© des associations membres de ces ailleurs, dans les communes de 5 000 habitants et plus, il y a obligation de crĂ©er une commission communale pour l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es composĂ©e notamment des reprĂ©sentants de la commune, d'associations d'usagers et d'associations reprĂ©sentant les personnes handicapĂ©es. Le maire prĂ©side cette commission et arrĂȘte la liste de ses membres. Les communes de moins de 5 000 habitants peuvent crĂ©er librement une commission communale pour l'accessibilitĂ© aux personnes aux EPCILes organes dĂ©libĂ©rants des EPCI peuvent Ă©galement crĂ©er des comitĂ©s consultatifs sur toutes affaires d'intĂ©rĂȘt intercommunal relevant de leur compĂ©tence sur tout ou partie du territoire communautaire article L. 5211-49-1 du CGCT.En outre, la crĂ©ation d'une commission intercommunale pour l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es est obligatoire pour les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tents en matiĂšre de transports ou d'amĂ©nagement de l'espace, dĂšs lors qu'ils regroupent 5 000 habitants et plus. C. Les commissions extramunicipales Ces commissions qui ne sont pas rĂ©glementĂ©es par le CGCT, sont créées Ă lâinitiative du conseil municipal JO AN Elles peuvent ĂȘtre formĂ©es Ă tout moment et pour une durĂ©e variable. Elles sont librement constituĂ©es par le conseil municipal qui dĂ©termine lui-mĂȘme leur objet, leur composition et les conditions de leur fonctionnement. Il sâagit dâinstances consultatives permettant dâassocier les administrĂ©s Ă la prĂ©paration des dĂ©cisions prises par le conseil JO AN D. Les conseils de quartier article du CGCT La loi n° 2002-276 du 27 fĂ©vrier 2002 relative Ă la dĂ©mocratie de proximitĂ© a rendu obligatoire lâinstitution de conseils de quartier dans les villes de plus de 80 000 habitants. La crĂ©ation de conseils de quartier dans les communes de 20 000 Ă 79 999 habitants demeure facultative. Toutefois, dans les deux cas, le conseil municipal conserve toute libertĂ© dâapprĂ©ciation quant Ă la dĂ©nomination, la composition et le fonctionnement de ces conseils de quartier. Le conseil municipal doit dĂ©terminer le pĂ©rimĂštre de chacun dâentre eux, tout le territoire de la commune devant ĂȘtre couvert par ce dĂ©coupage. Il peut Ă©galement affecter aux conseils de quartier un local et leur allouer chaque annĂ©e des crĂ©dits de conseils ont un rĂŽle consultatif et peuvent Ă©mettre des propositions sur toute question concernant le quartier ou la chargĂ© de quartier doit connaĂźtre de toute question intĂ©ressant les quartiers dont il a la charge. Il doit Ă©galement veiller Ă lâinformation des habitants et favoriser leur participation Ă la vie du dispositions ne sâappliquent pas aux EPCI.
LaCommission de Suivi des Sites (CSS) remplace depuis 2013, la Commission Locale dâInformation et de Surveillance (CLIS) de lâusine de Briec. Ses principales compĂ©tences sont : Le suivi de lâactivitĂ© du site, La promotion de lâinformation du public sur lâincinĂ©ration des dĂ©chets en ce qui concerne lâenvironnement et la santĂ© humaine.
Une commission locale d'information et de surveillance installĂ©e Ă Saint-Pierre PubliĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă 08H00 / ActualisĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă 08H00 Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. La premiĂšre rĂ©union, qui s'est tenue aujourd'hui, a permis d'Ă©voquer les conditions d'organisation et de fonctionnement de l'ISDND. Ă l'ordre du jour, Ă©galement, la transparence sur les questions relatives Ă la gestion et au traitement des dĂ©chets. Un sujet de prĂ©occupation majeur Ă la RĂ©union puisque la saturation des centres d'enfouissement techniques est prĂ©vue Ă l'horizon 2012-2014. PrĂ©sidĂ©e par le prĂ©fet, la CLIS est composĂ©e de 16 membres, Ă savoir, des reprĂ©sentants des services de l'Ătat, des collectivitĂ©s locales, des associations reprĂ©sentatives dans le domaine environnementale et de l'exploitant. Une prochaine rĂ©union est programmĂ©e au mois de novembre.
CommissionLocale dâInformation et de Surveillance CTVD AZALYS CARRIERES SOUS POISSY, le 23/04/2013 SOMMAIRE 1/ Bilan de lâactivitĂ© 2012 2/ Performances
Les formes imposĂ©es aux divers actes dâenquĂȘte ont pour but de garantir la rĂ©gularitĂ© des opĂ©rations et de protĂ©ger les droits de la lutte contre la criminalitĂ© et la dĂ©linquance organisĂ©es nĂ©cessite que les enquĂȘteurs disposent de prĂ©rogatives plus de garantir lâexercice des libertĂ©s individuelles, leur mise en Ćuvre est alors soumise Ă un formalisme particuliĂšrement actes dâenquĂȘte de droit communLes auditionsCâest lâacte par lequel un policier va recueillir, par procĂšs-verbal et dans les formes requises par la loi, les dĂ©clarations dâun tĂ©moin ou celles dâune personne soupçonnĂ©e dâavoir commis une auditions peuvent se faire sur convocation de lâintĂ©ressĂ© qui comparaĂźt volontairement en qualitĂ© de tĂ©moin ou dans le cadre coercitif de la garde-Ă -vue lorsquâil existe Ă lâencontre dâune personne une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner quâelle a commis ou tentĂ© de commettre une ce second cas de figure, la personne entendue ne peut se soustraire Ă lâaudition qui prend la forme de questions-rĂ©ponses, mais elle peut garder le silence, mĂȘme sâil sâagit lĂ dâun droit que la loi nâexige plus de le premier cas de figure, la personne entendue en qualitĂ© de tĂ©moin peut ĂȘtre retenue le temps strictement nĂ©cessaire Ă son perquisitionsOn appelle ainsi lâacte par lequel un magistrat ou un policier, agissant dans le cadre dâune information judiciaire, dâune enquĂȘte de flagrance ou dâune enquĂȘte prĂ©liminaire, recherche dans un lieu occupĂ© par une personne suspect ou tĂ©moin des documents et objets utiles Ă la manifestation de la pouvoirs et obligations de la police en ce domaine tiennent, pour lâessentiel, dans les rĂšgles gĂ©nĂ©rales suivantes Au cours dâune enquĂȘte prĂ©liminaire, de flagrance ou de lâexĂ©cution dâune commission rogatoire, lâ peut retenir sur place, pendant le temps de la perquisition, les personnes prĂ©sentes susceptibles de fournir des renseignements sur les objets et documents enquĂȘte prĂ©liminaire, les officiers et les agents de police judiciaire qui les secondent peuvent perquisitionner Ă la condition dâavoir obtenu lâassentiment manuscrit de lâintĂ©ressĂ©, donnĂ© en connaissance de cause. Il est cependant possible de passer outre le consentement de lâintĂ©ressĂ© pour la recherche et la constatation des infractions punies dâune peine dâau moins cinq ans dâemprisonnement, Ă condition que la perquisition soit indispensable Ă lâenquĂȘte et quâelle soit autorisĂ©e par un magistrat du perquisitions contre le grĂ© de lâintĂ©ressĂ© ne peuvent donc ĂȘtre faites par un quâen enquĂȘte de flagrance, en exĂ©cution dâune commission rogatoire dĂ©livrĂ©e par un juge dâinstruction et, en enquĂȘte prĂ©liminaire, dans les hypothĂšses prĂ©cĂ©demment envisagĂ©es. Les perquisitions doivent ĂȘtre menĂ©es en la prĂ©sence constante de la personne au domicile de laquelle elle a lieu ou, Ă dĂ©faut, en prĂ©sence de son reprĂ©sentant ou, Ă dĂ©faut encore, de deux tĂ©moins choisis par lâ en dehors de ses sont effectuĂ©es dans certains locaux, des formalitĂ©s supplĂ©mentaires doivent ĂȘtre respectĂ©es. Les perquisitions dans le cabinet ou le domicile dâun avocat, dans le cabinet dâun mĂ©decin, dâun notaire, dâun avouĂ© ou dâun huissier ne peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es que par un magistrat et en prĂ©sence de la personne responsable de lâordre ou de lâorganisation professionnelle de lâintĂ©ressĂ©. Les perquisitions dans les locaux dâune entreprise de presse ou de communication audiovisuelle ne peuvent Ă©galement ĂȘtre opĂ©rĂ©es que par un perquisitions ne peuvent pas ĂȘtre commencĂ©es avant 6 heures ni aprĂšs 21 heures mais elles peuvent se poursuivre aprĂšs 21 heures, lorsquâelles sont effectuĂ©es au domicile dâune les perquisitions et saisies sont autorisĂ©es, de jour comme de nuit pour la recherche et la constatation des dĂ©lits de proxĂ©nĂ©tisme, de recours Ă la prostitution de mineurs ou de personnes vulnĂ©rables et de participation Ă une association de malfaiteurs en vue de commettre ces dĂ©lits, Ă lâintĂ©rieur de tout hĂŽtel, maison meublĂ©e, pension, dĂ©bit de boissons, club, cercle, dancing, lieu de spectacle et leurs annexes et en tout autre lieu ouvert au public ou utilisĂ© par le public, lorsquâil est constatĂ© que des personnes se livrant Ă la prostitution y sont reçues habituellement,pour la recherche et la constatation des infractions de trafic de stupĂ©fiants et de participation Ă une association de malfaiteurs en vue de commettre ces infractions, Ă lâintĂ©rieur des locaux, autres que dâhabitation, oĂč lâon use en sociĂ©tĂ© de stupĂ©fiants ou dans lesquels sont fabriquĂ©s, transformĂ©s ou entreposĂ©s illicitement des saisiesLes saisies sont lâacte de police judiciaire par lequel des objets ou documents sont placĂ©s sous main de justice pour servir Ă la manifestation de la peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es sur les lieux de lâinfraction, lors de la perquisition effectuĂ©e au domicile de la personne suspectĂ©e ou mise en examen, voire au domicile de tĂ©moins ou encore Ă lâoccasion dâune fouille rĂ©alisĂ©e sur un individu. Elles obĂ©issent donc au mĂȘme rĂ©gime que la la saisie nâest possible, en enquĂȘte prĂ©liminaire, quâavec lâassentiment exprĂšs de la personne intĂ©ressĂ©e dans les mĂȘmes formes de droit que pour la perquisition. Elle est, au contraire, de droit en enquĂȘte de flagrance, en enquĂȘte prĂ©liminaire dans les cas oĂč la perquisition est possible sans lâassentiment de lâintĂ©ressĂ©, et en exĂ©cution dâune commission les objets et documents saisis doivent ĂȘtre immĂ©diatement inventoriĂ©s et placĂ©s sous constatationsLa recherche dâĂ©lĂ©ments matĂ©riels dans le cadre dâune enquĂȘte judiciaire nĂ©cessite gĂ©nĂ©ralement le recours Ă des constatations peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©es par des policiers qui peuvent se faire seconder par des spĂ©cialistes de police technique et peuvent porter sur des Ă©lĂ©ments dâenvironnement, tels que les scĂšnes dâinfraction » ou sur des Ă©lĂ©ments prĂ©cis, tels que des traces ou des documents placĂ©s sous scellĂ©s et qui servent dâĂ©lĂ©ments de preuve afin que la justice Ă©tablisse la culpabilitĂ© dâune personne ou au contraire la constatations sont dâordre matĂ©riel et nĂ©cessitent toujours une mĂ©thodologie adaptĂ©e et une grande garde Ă vueLa garde Ă vue est une mesure de contrainte, dâune durĂ©e maximale de 24 heures, dĂ©cidĂ©e par lâofficier de police judiciaire, sous le contrĂŽle de lâautoritĂ© judiciaire procureur de la RĂ©publique ou juge dâinstruction pour maintenir un suspect Ă la disposition des garde Ă vue ne peut concerner que les personnes Ă lâencontre desquelles il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner quâelles ont commis ou tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit puni dâune peine dâemprisonnement, et si câest lâunique moyen de parvenir Ă lâun au moins des objectifs visĂ©s par la loi prĂ©sence requise de la personne pour la poursuite des investigations, prĂ©servation des preuves ou indices, prĂ©sentation de la personne au magistrat, etcâŠSi le crime ou le dĂ©lit est puni dâau moins un an dâemprisonnement, cette mesure peut ĂȘtre prolongĂ©e de 24 heures maximum sur dĂ©cision du loi reconnaĂźt au gardĂ© Ă vue plusieurs droits essentiels faire prĂ©venir un proche et son employeur, et le cas Ă©chĂ©ant les autoritĂ©s consulaires, sous rĂ©serve des nĂ©cessitĂ©s de lâenquĂȘte ; ĂȘtre examinĂ© par un mĂ©decin ; lors des auditions, aprĂšs avoir dĂ©clinĂ© son identitĂ©, faire des dĂ©clarations, rĂ©pondre aux questions ou garder le silence ; ĂȘtre assistĂ© par un avocat entretien au dĂ©but de la mesure, voire au dĂ©but de la prolongation, prĂ©sence aux auditions et accĂšs partiel au dossier ; A titre exceptionnel, un report partiel de cette intervention de lâavocat assistance aux auditions, consultation des piĂšces peut ĂȘtre autorisĂ© par un magistrat, pour des raisons impĂ©rieuses tenant aux circonstances particuliĂšres de lâenquĂȘte ou de lâinstruction. La durĂ©e maximale du report est de 24 outre, les interrogatoires des mineurs et, en matiĂšre de crime, des majeurs, placĂ©s en garde Ă vue font lâobjet dâun enregistrement interceptions tĂ©lĂ©phoniquesCommunĂ©ment dĂ©signĂ©es sous le terme dâ Ă©coutes », les interceptions tĂ©lĂ©phoniques consistent en l'interception, l'enregistrement et la transcription de correspondances Ă©mises par la voie des l'autoritĂ© publique, en cas de nĂ©cessitĂ© d'intĂ©rĂȘt public, peut porter atteinte au secret des correspondances dans les deux hypothĂšses suivantes, hors les cas de criminalitĂ© organisĂ©e - les interceptions ordonnĂ©es par l'autoritĂ© judiciaire sont prescrites aux par le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention, sur requĂȘte du procureur de la RĂ©publique, pour rechercher et dĂ©couvrir une personne en fuite, pour une durĂ©e de 2 mois renouvelable, dans la limite de 6 mois en matiĂšre correctionnelle ; par commission rogatoire du juge d'instruction, en matiĂšre criminelle et dĂ©lictuelle lorsque la peine encourue est Ă©gale ou supĂ©rieure Ă 2 ans d'emprisonnement durĂ©e maximum de 4 mois, renouvelable, ou lors dâune information pour recherche des causes de la mort ou des causes dâune disparition ; - les interceptions de sĂ©curitĂ© qui sont autorisĂ©es Ă titre exceptionnel, par dĂ©cision du Premier ministre et sous le contrĂŽle d'une commission nationale indĂ©pendante, pour la recherche de renseignements intĂ©ressant la sĂ©curitĂ© nationale, la sauvegarde des Ă©lĂ©ments essentiels du potentiel scientifique et Ă©conomique de la France, la prĂ©vention du terrorisme, de la criminalitĂ© et de la dĂ©linquance organisĂ©es durĂ©e maximum de 4 mois, renouvelable.Les rĂ©quisitionsLes rĂ©quisitions sont les actes de procĂ©dure par lesquels les ou un magistrat enjoignent une personne de lui fournir les documents ou des informations quâelle dans le but dâobtenir des documents ou des actes intĂ©ressant lâenquĂȘte, y compris lorsque ces documents sont issus dâun fichier informatique, lâ peut adresser une rĂ©quisition Ă toute personne, tout Ă©tablissement ou organisme privĂ© ou public, toute administration publique. Toutefois, lorsque ces rĂ©quisitions sont adressĂ©es Ă un avocat, un mĂ©decin, un notaire, un avouĂ©, un huissier ou une entreprise de presse ou de communication audiovisuelle, la remise de documents ne peut intervenir quâavec leur accord. Les personnes requises ne peuvent pas opposer, sans motif lĂ©gitime, le secret professionnel Ă lâ enquĂȘte prĂ©liminaire, lâ ne peut dĂ©livrer une telle rĂ©quisition quâaprĂšs avoir obtenu lâaccord prĂ©alable du magistrat du et indicateursLes autoritĂ©s administratives et judiciaires peuvent bĂ©nĂ©ficier de renseignements utiles Ă leur action dont la communication est suscitĂ©e par certaines dispositions incitatives du code pĂ©nal, telles que lâexemption ou la rĂ©duction de peine en faveur des repentis et la rĂ©munĂ©ration des ou rĂ©duction de peine des repentisLâexemption de peine bĂ©nĂ©ficie, dans les cas spĂ©cifiquement prĂ©vus par la loi, Ă la personne qui, ayant tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit, a averti lâautoritĂ© administrative ou judiciaire et a permis dâĂ©viter la rĂ©alisation de lâinfraction et dâidentifier, le cas Ă©chĂ©ant, les autres auteurs ou de peine est prĂ©vue par la loi, notamment en matiĂšre dâassociation de malfaiteurs, de terrorisme, de faux monnayage, dâĂ©vasion, de fausse monnaie, dâassassinat, dâempoisonnement, de tortures ou actes de barbarie, de trafic de stupĂ©fiants, dâenlĂšvement et de sĂ©questration, de dĂ©tournement dâaĂ©ronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, de traite des ĂȘtres humains, de vol et dâextorsion en bande organisĂ©e et de rĂ©duction de la peine dâemprisonnement rĂ©duction de moitiĂ© ou peine ramenĂ©e Ă 20 ans de rĂ©clusion criminelle lorsque la perpĂ©tuitĂ© est encourue bĂ©nĂ©ficie, dans les cas spĂ©cifiquement prĂ©vus par la loi, Ă lâauteur dâun crime ou dâun dĂ©lit qui, ayant averti lâautoritĂ© administrative ou judiciaire, a permis de faire cesser lâinfraction, dâĂ©viter que lâinfraction ne produise un dommage ou dâen identifier, le cas Ă©chĂ©ant, les autres coupables. Cette disposition sâapplique Ă©galement Ă lâauteur dâun crime ou dâun dĂ©lit dĂ©nonçant une infraction connexe de mĂȘme nature que celle pour laquelle il est rĂ©duction de peine est prĂ©vue par la loi, notamment en matiĂšre de faux monnayage, de terrorisme, de trafic de stupĂ©fiants, dâassassinat ou dâempoisonnement, de tortures ou dâactes de barbarie, dâenlĂšvement et de sĂ©questration, de dĂ©tournement dâaĂ©ronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, de traite des ĂȘtres humains, de proxĂ©nĂ©tisme, de vol et dâextorsion en bande organisĂ©e, de fabrication ou de dĂ©tention illĂ©gale dâarmes, de trafic dâexplosifs ou dâarmes biologiques. Lâarticle 706-63-1 du relatif au dispositif de protection des repentis prĂ©voit que des mesures de protection par exemple usage dâune identitĂ© dâemprunt et de rĂ©insertion peuvent ĂȘtre prononcĂ©es par lâautoritĂ© judiciaire au bĂ©nĂ©fice des repentis. Un dĂ©cret doit prĂ©ciser les modalitĂ©s dâapplication de ces dĂ©clarations des repentis ne suffisent pas, Ă elles seules, au prononcĂ© dâune des indicateursLa loi permet aux services de police et de gendarmerie de rĂ©tribuer toute personne qui leur a fourni des renseignements permettant de dĂ©couvrir un crime ou un dĂ©lit ou dâen identifier lâ actes dâenquĂȘte dans le cadre de la lutte contre le crime organisĂ©La spĂ©cificitĂ© de la lutte contre la criminalitĂ© et la dĂ©linquance organisĂ©es justifie que les enquĂȘteurs disposent de moyens adaptĂ©s, soit par le renforcement des actes dâenquĂȘte classiques, soit par lâutilisation de prĂ©rogatives relevant de la criminalitĂ© organisĂ©eLe donne une liste dâinfractions relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e pour lesquelles une procĂ©dure spĂ©cifique est applicable, en distinguant deux catĂ©gories La premiĂšre catĂ©gorie comprend les infractions les plus graves au sens de lâarticle 706-73 du code de procĂ©dure pĂ©nale pour lesquelles les moyens dâinvestigation dĂ©rogatoires sont systĂ©matiquement applicables. Il sâagit, dâune part, dâinfractions qui ne sont soumises au rĂ©gime du crime organisĂ© que si elles sont commises en bande organisĂ©e meurtre, tortures et actes de barbarie, enlĂšvement et sĂ©questration, destruction, dĂ©gradation et dĂ©tĂ©rioration dâun bien, vol, escroquerie, trafic dâarmes et aide Ă lâentrĂ©e, Ă la circulation et au sĂ©jour irrĂ©guliers dâun Ă©tranger en France et, dâautre part, dâinfractions en matiĂšre de trafic de stupĂ©fiants, de traite des ĂȘtres humains, de proxĂ©nĂ©tisme, dâextorsion, de fausse monnaie, de terrorisme, dâassociation de malfaiteurs, de blanchiment et de non justification des ressources. Des actes dâenquĂȘte spĂ©cifiques sont prĂ©vus par la loi sonorisation de lieux et vĂ©hicules, infiltrations, interceptions tĂ©lĂ©phoniques, rĂ©gime particulier de la garde Ă vue et des perquisitions, surveillance seconde catĂ©gorie infractions relevant de lâarticle 706-74 du comprend les infractions dâassociation de malfaiteurs et les crimes et dĂ©lits commis en bande organisĂ©e autres que ceux prĂ©cĂ©demment citĂ©s, pour lesquels les actes dâenquĂȘte de cette procĂ©dure spĂ©cifique peuvent Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©s lorsque la loi le prĂ©voit expressĂ©ment en fait, uniquement les opĂ©rations de surveillance et des mesures dâenquĂȘte renforcĂ©sEn matiĂšre de perquisition Perquisitions de nuit Pour la recherche dâune infraction relevant du crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie, les perquisitions et saisies peuvent ĂȘtre effectuĂ©es de jour, dans les conditions de droit commun. En outre, les perquisitions et saisies de nuit sont autorisĂ©es, mais obĂ©issent Ă un formalisme diffĂ©rent selon quâelles sont effectuĂ©es, ou non, dans des locaux dâ les perquisitions et saisies ne concernent pas des locaux dâhabitation, elles sont possibles de nuit, sur autorisation de lâautoritĂ© judiciaire, en enquĂȘte de flagrance, en enquĂȘte prĂ©liminaire et en exĂ©cution dâune commission contre, les perquisitions et saisies de nuit, dans les locaux dâhabitation, ne sont possibles quâen enquĂȘte de flagrance ou, dans certaines hypothĂšses et seulement en cas dâurgence, en exĂ©cution dâune commission rogatoire crime ou dĂ©lit flagrant, risque immĂ©diat de disparition des preuves, soupçons concernant la commission de crimes ou dĂ©lits relevant du crime organisĂ©.Lâautorisation de procĂ©der Ă une perquisition de nuit doit prĂ©ciser lâinfraction recherchĂ©e, les Ă©lĂ©ments de fait justifiant lâopĂ©ration, ainsi que lâadresse des lieux en lâabsence de lâintĂ©ressĂ© Dans le cadre dâune enquĂȘte de flagrance, dâune enquĂȘte prĂ©liminaire ou de lâexĂ©cution dâune commission rogatoire relative Ă lâune des infractions relevant du crime organisĂ©, la perquisition au domicile du mis en cause peut ĂȘtre effectuĂ©e sans sa prĂ©sence, mais avec celle de deux tĂ©moins requis, lorsquâil est gardĂ© Ă vue ou dĂ©tenu en un autre lieu et que son transport sur place doit ĂȘtre Ă©vitĂ© en raison de risques graves troubles Ă lâordre public, Ă©vasion ou disparition de preuves durant le temps du transport.Cette possibilitĂ©, qui suppose lâaccord prĂ©alable du procureur de la RĂ©publique ou du juge dâinstruction, est Ă©galement offerte dans le cadre dâune enquĂȘte prĂ©liminaire effectuĂ©e sans lâassentiment de la personne concernĂ©e. Lâaccord est alors donnĂ© par le juge des libertĂ©s et de la matiĂšre de garde Ă vueDurĂ©e de la mesure en rĂ©gime dĂ©rogatoire rĂ©gime applicable aux infractions entrant dans le champ de la criminalitĂ© et de la dĂ©linquance organisĂ©es Quel que soit le cadre dâenquĂȘte, la mesure de garde Ă vue peut, en matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e et Ă titre exceptionnel, faire lâobjet de deux prolongations supplĂ©mentaires de 24 heures chacune, ou dâune seule prolongation de 48 heures. Ces prolongations sont autorisĂ©es par dĂ©cisions Ă©crites et motivĂ©es de lâautoritĂ© judiciaire juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention sur requĂȘte du procureur de la RĂ©publique, ou juge dâinstruction.Sâil existe un risque sĂ©rieux de l'imminence d'une action terroriste, le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention peut en outre autoriser une prolongation supplĂ©mentaire de 24 heures, renouvelable une durĂ©es spĂ©cifiques prĂ©vues par les rĂ©gimes dĂ©rogatoires de garde Ă vue ne sont applicables que pour les mineurs de plus de 16 ans soupçonnĂ©s dâavoir commis ou tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit entrant dans le champ de la criminalitĂ© organisĂ©e, et Ă condition que la participation dâun majeur Ă lâinfraction soit de lâavocat En matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e dont trafic de stupĂ©fiant et terrorisme, le gardĂ© Ă vue peut bĂ©nĂ©ficier dâun entretien de 30 minutes au dĂ©but de chaque pĂ©riode de 24 heures, ainsi que de la prĂ©sence de lâavocat aux auditions et de la consultation par celui-ci de certaines piĂšces de de lâavocat peut toutefois ĂȘtre reportĂ©e totalement, sur dĂ©cision Ă©crite et motivĂ©e du procureur de la RĂ©publique, pendant les 24 premiĂšres heures ; du juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention, au-delĂ de 24 heures et jusquâĂ 48 heures voire 72 heures en matiĂšre de terrorisme et de trafic de stupĂ©fiants. Au cours dâune information judiciaire diligentĂ©e en matiĂšre de criminalitĂ© organisĂ©e, le juge dâinstruction est seul compĂ©tent pour autoriser ces report ne peut intervenir quâen considĂ©ration de raisons impĂ©rieuses tenant aux circonstances particuliĂšres de lâenquĂȘte ou de lâ les personnes mineures gardĂ©es Ă vue, lâintervention de lâavocat peut faire lâobjet dâun report partiel assistance aux auditions, consultation de certaines piĂšces de procĂ©dure pour une durĂ©e maximale de 24 heures rĂšgles de droit commun. Aucun report nâest possible pour les personnes mineures en dâenquĂȘte spĂ©cifiquesSurveillances nationalesLes surveillances sont des opĂ©rations typiquement policiĂšres ayant pour objectif une investigation directe au contact des individus dont lâactivitĂ©, les dĂ©placements sont observĂ©s afin de dĂ©montrer lâexistence dâune officiers et agents de police judiciaire peuvent Ă©tendre Ă lâensemble du territoire national leur surveillance des personnes soupçonnĂ©es dâavoir commis un crime ou dĂ©lit relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e infractions des premiĂšre et seconde catĂ©gories,de lâacheminement ou du transport des biens, objets ou produits tirĂ©s de la commission de ces infractions, ou servant Ă les procureur de la RĂ©publique, prĂ©alablement informĂ© de cette extension territoriale, peut sây consiste, pour un officier ou un agent de police judiciaire spĂ©cialement habilitĂ©, Ă surveiller des personnes suspectĂ©es de commettre un crime ou un dĂ©lit relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e infractions de la premiĂšre catĂ©gorie en se faisant passer, auprĂšs de celles-ci, pour lâun de leurs coauteurs, complices ou peut ĂȘtre mise en Ćuvre dans le cadre dâune enquĂȘte de flagrance, dâune enquĂȘte prĂ©liminaire ou en exĂ©cution dâune commission actes dâinfiltrationLâagent infiltrĂ© est autorisĂ© Ă faire usage dâune identitĂ© dâemprunt, Ă opĂ©rer sur lâensemble du territoire national et, sans ĂȘtre pĂ©nalement responsable, Ă effectuer certains actes dont la liste est fixĂ©e par le code de procĂ©dure pĂ©nale par exemple acquisition, dĂ©tention, transport et livraison de substances ou informations tirĂ©es de la commission des infractions ou mise Ă disposition des personnes se livrant Ă ces infractions de moyens juridiques, financiers, de transport ou dâhĂ©bergement. Les actes de lâagent infiltrĂ© ne doivent pas constituer une incitation Ă commettre lâ nĂ©cessitĂ© dâune autorisation prĂ©alableLâautorisation dâinfiltration, dĂ©livrĂ©e par lâautoritĂ© judiciaire, doit ĂȘtre Ă©crite et spĂ©cialement motivĂ©e, mentionner les infractions recherchĂ©es, lâidentitĂ© de lâ responsable de lâopĂ©ration et la durĂ©e de lâinfiltration 4 mois au maximum, renouvelable. Cette autorisation est versĂ©e au dossier de la procĂ©dure aprĂšs lâachĂšvement de lâ magistrat peut interrompre lâopĂ©ration Ă tout cessation de lâinfiltrationAfin dâassurer sa sortie du rĂ©seau criminel en toute sĂ©curitĂ©, lâagent infiltrĂ© peut poursuivre ses activitĂ©s, sans en ĂȘtre pĂ©nalement responsable, pendant le temps qui lui est strictement nĂ©cessaire. Ce dĂ©lai ne peut, cependant, pas excĂ©der 4 mois Ă©ventuellement renouvelĂ©s. Le magistrat ayant autorisĂ© lâinfiltration en est informĂ© dans les meilleurs suites de lâinfiltrationLâ responsable de lâinfiltration rĂ©dige un rapport comprenant les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires Ă la constatation des infractions, tout en veillant Ă prĂ©server la sĂ©curitĂ© de lâagent infiltrĂ© et des personnes requises pour lâ principe est que seul lâ responsable de lâinfiltration peut ĂȘtre entendu en qualitĂ© de tĂ©moin sur lâopĂ©ration. Toutefois, en cas de mise en cause fondĂ©e directement sur les constatations de lâagent infiltrĂ©, lâintĂ©ressĂ© peut demander Ă ĂȘtre confrontĂ© avec celui-ci. Dans ce cas, la confrontation est rĂ©alisĂ©e Ă distance par lâintermĂ©diaire dâun dispositif technique et la voix de lâagent infiltrĂ© est rendue non identifiable. Cette confrontation ne doit pas rĂ©vĂ©ler, directement ou indirectement, la vĂ©ritable identitĂ© de lâ dĂ©clarations de lâagent infiltrĂ© ne suffisent pas, Ă elles seules, Ă fonder une condamnation, sauf sâil a Ă©tĂ© procĂ©dĂ© Ă une confrontation dans les conditions Ă©voquĂ©es prĂ©cĂ©demment ou si lâagent infiltrĂ© a dĂ©posĂ© sous sa vĂ©ritable tĂ©lĂ©phoniques Comme en matiĂšre de droit commun, il sâagit de lâinterception, lâenregistrement et la transcription de correspondances Ă©mises par la voie des tĂ©lĂ©communications. Les Ă©coutes tĂ©lĂ©phoniques peuvent ĂȘtre opĂ©rĂ©es lors dâune enquĂȘte de flagrance ou dâune enquĂȘte prĂ©liminaire portant sur une infraction relevant du crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie, sur autorisation de lâautoritĂ© judiciaire, pour une durĂ©e de quinze jours au maximum renouvelable une fois.Lorsquâelles concernent des parlementaires, avocats ou magistrats, les Ă©coutes tĂ©lĂ©phoniques ne peuvent intervenir quâaprĂšs que le juge dâinstruction en ait averti le responsable de lâordre ou de lâorganisation professionnelle de lâ sonorisation consiste Ă capter, fixer, transmettre et enregistrer, sans le consentement des intĂ©ressĂ©s les paroles prononcĂ©es par une ou plusieurs personnes, Ă titre privĂ© ou confidentiel, dans des lieux ou vĂ©hicules privĂ©s ou publics ; lâimage dâune ou plusieurs personnes dans un lieu privĂ©. Toutefois, certains lieux ne peuvent pas faire lâobjet dâune sonorisation. Il sâagit des locaux dâune entreprise de presse ou de communication audiovisuelle et des cabinets dâun mĂ©decin, dâun notaire, dâun avouĂ© ou dâun huissier ; du vĂ©hicule, du bureau et du domicile dâun dĂ©putĂ©, dâun sĂ©nateur, dâun magistrat ou dâun avocat. La sonorisation nâest possible quâen exĂ©cution dâune commission rogatoire en matiĂšre de crime organisĂ© infractions de la premiĂšre catĂ©gorie. Elle est autorisĂ©e, par lâautoritĂ© judiciaire, pour une durĂ©e maximum de 4 mois renouvelable.Afin de mettre en place le dispositif technique de sonorisation, il est possible, sur autorisation du magistrat, de sâintroduire de jour comme de nuit dans des lieux des opĂ©rations de sonorisation fait lâobjet dâun procĂšs-verbal. Les enregistrements sont placĂ©s sous scellĂ©s et les conversations ou images enregistrĂ©es sont transcrites ou dĂ©crites dans un procĂšs-verbal versĂ© au dossier. Les enregistrements sont dĂ©truits Ă lâexpiration du dĂ©lai de prescription de lâaction publique.
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COMMISSIONLOCALE D'INFORMATION ET DE SURVEILLANCE DOSSIER: ACTIVITES DE TRAITEMENT ET DE TRANSIT DES DECHETS VERTS ET DES DRECHES DE PARFUMERIE PAR LA SOCIETE O.R.E.D.U.1. PRESENTS: Monsieur RAIFAU-D - Sous-préfet de GRASSE Monsieur LAPIERRE - Adjoint au Maire délégué à l'Environnement et à l'Urbanisme -
25/04/2017La loi dite loi travail » du 8 aoĂ»t 2016 et son dĂ©cret dâapplication du 27 dĂ©cembre 2016 a profondĂ©ment rĂ©formĂ© les rĂšgles de surveillance mĂ©dicale Ă la suite dâun rapport aptitude et mĂ©decine du travail » qui mettait lâaccent sur la surcharge des services de santĂ© au lâoccasion de la JournĂ©e mondiale de la sĂ©curitĂ© et de la santĂ© au travail, voici les modifications apportĂ©es en matiĂšre de santĂ© au de la surveillance le 1er janvier 2017, il nây a plus de visite mĂ©dicale dâembauche visite dâinformation et de remplace la visite dâembauche et les visites pĂ©riodiques. La premiĂšre visite doit se dĂ©rouler dans un dĂ©lai maximal de 3 mois Ă compter de la prise effective du poste. Le dĂ©lai de renouvellement de cette visite est dans un dĂ©lai de 5 ans maximum. Un suivi adaptĂ© pour certaines catĂ©gories de salariĂ©s Le lĂ©gislateur a prĂ©vu un suivi adaptĂ© » pour les travailleurs handicapĂ©s, les personnes titulaires dâune pension dâinvaliditĂ©, les travailleurs de nuit, les salariĂ©s de moins de 18 ans et les femmes enceintes, venant dâaccoucher ou procĂ©dure dâinaptitude * La procĂ©dure de constatation de lâinaptitude est allĂ©gĂ©e puisquâil nâest plus obligatoire pour le mĂ©decin du travail de rĂ©aliser deux examens mĂ©dicaux espacĂ©s de 15 jours.* Le recours contre les avis Ă©mis par le mĂ©decin du travail est aussi rĂ©visĂ©, celui-ci sera dĂ©sormais portĂ© devant la formation de rĂ©fĂ©rĂ© du conseil des Prudâhommes.* Les procĂ©dures de reclassement quand elles sâimposent sont unifiĂ©es quâelles soient dâorigine professionnelle ou non. Lâobligation de reclassement sâimposera Ă lâemployeur mĂȘme lorsque lâinaptitude a Ă©tĂ© constatĂ©e en cours dâexĂ©cution du contrat de travail jusquâĂ prĂ©sent, seulement en cas dâarrĂȘt de travail.* Lâobligation de reclassement sâimposera Ă lâemployeur mĂȘme lorsque lâinaptitude a Ă©tĂ© constatĂ©e en cours dâexĂ©cution du contrat de travail.* En cas dâinaptitude constatĂ©e par le mĂ©decin du travail lorsque le maintien du salariĂ© dans lâentreprise constitue un risque grave pour sa santĂ©, lâemployeur est alors dispensĂ© de toute obligation de reclassement pour tous les salariĂ©s. * Lâemployeur doit, avant de proposer un emploi de reclassement, consulter les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel DP lorsquâils existent quelle que soit lâorigine de lâaffection. Pour en savoir plus Article revue Equilibre mai-juin 2017 Le service social et juridique de la FĂ©dĂ©ration
UneCommission Locale d'Information et de Surveillance (CLIS) a été installée ce mardi 6 juillet 2010 auprÚs de l'Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux (ISDND) de Saint-Pierre.
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LesCommissions Locales dâInformation et de Surveillance (CLIS) issues du dĂ©cret n° 93-1410 du 29 dĂ©cembre 1993, fixant les modalitĂ©s d'exercice du droit Ă l'information en matiĂšre de dĂ©chets prĂ©vues Ă l'article 3-1 de la loi du 15 juillet 1975, concernaient les centres collectifs de stockage de dĂ©chets ultimes.Les CLIS avaient pour objet de promouvoir
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Leministre de la justice dĂ©cide, au vu des avis Ă©mis par la commission locale DPS puis par la commission nationale DPS, de lâinscription au rĂ©pertoire des DPS. Les dĂ©cisions dâinscription sont transmises aux autoritĂ©s consultĂ©es au plan national et local. 1.2.2. Commission locale DPS a) Composition Les membres de cette commission sont :
de tout site comprenant une ou plusieurs installations nuclĂ©aires de base telles que dĂ©finies Ă l'article 28 est instituĂ©e une commission locale d'information chargĂ©e d'une mission gĂ©nĂ©rale de suivi, d'information et de concertation en matiĂšre de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire, de radioprotection et d'impact des activitĂ©s nuclĂ©aires sur les personnes et l'environnement pour ce qui concerne les installations du site. La commission locale d'information assure une large diffusion des rĂ©sultats de ses travaux sous une forme accessible au plus grand nombre. La commission peut ĂȘtre créée dĂšs lors qu'une installation nuclĂ©aire de base a fait l'objet d'une demande d'autorisation de crĂ©ation en application de l'article 29. Une mĂȘme commission locale d'information peut ĂȘtre créée pour plusieurs installations nuclĂ©aires de base proches. Une commission peut aussi ĂȘtre créée auprĂšs d'un site sur lequel a Ă©tĂ© implantĂ©e une installation nuclĂ©aire de base. commission locale d'information comprend des reprĂ©sentants des conseils gĂ©nĂ©raux, des conseils municipaux ou des assemblĂ©es dĂ©libĂ©rantes des groupements de communes et des conseils rĂ©gionaux intĂ©ressĂ©s, des membres du Parlement Ă©lus dans le dĂ©partement, des reprĂ©sentants d'associations de protection de l'environnement, des intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et d'organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives et des professions mĂ©dicales, ainsi que des personnalitĂ©s qualifiĂ©es. Les reprĂ©sentants de l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire , de l'agence rĂ©gionale de santĂ© territorialement compĂ©tente et des services de l'Etat concernĂ©s, ainsi que des reprĂ©sentants de l'exploitant peuvent assister, avec voix consultative, aux sĂ©ances de la commission locale d'information. Ils ont accĂšs de plein droit Ă ses travaux. commission locale d'information est créée par dĂ©cision du prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral du dĂ©partement dans lequel s'Ă©tend le pĂ©rimĂštre de l'installation ou des installations concernĂ©es ou par dĂ©cision conjointe des prĂ©sidents des conseils gĂ©nĂ©raux si le pĂ©rimĂštre s'Ă©tend sur plusieurs dĂ©partements. Le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral nomme les membres de la commission. La commission est prĂ©sidĂ©e par le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral ou par un Ă©lu local du dĂ©partement nommĂ© par lui parmi ses membres. Si le pĂ©rimĂštre de l'installation nuclĂ©aire de base comprend une installation d'Ă©limination ou de stockage de dĂ©chets, la commission mentionnĂ©e au prĂ©sent article se substitue Ă la commission locale d'information et de surveillance mentionnĂ©e Ă l'article L. 125-1 du code de l'environnement. commission locale d'information peut ĂȘtre dotĂ©e de la personnalitĂ© juridique avec un statut d' l'exercice de ses missions, la commission locale d'information peut faire rĂ©aliser des expertises, y compris des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques, et faire procĂ©der Ă toute mesure ou analyse dans l'environnement relative aux Ă©missions ou rejets des installations du site. La commission locale d'information est informĂ©e par l'exploitant des demandes qui lui sont adressĂ©es conformĂ©ment aux dispositions de l'article 19 dans les huit jours suivant leur rĂ©ception. Dans les mĂȘmes conditions, l'exploitant lui adresse les rĂ©ponses apportĂ©es Ă ces l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et les autres services de l'Etat lui communiquent tous documents et informations nĂ©cessaires Ă l'accomplissement de ses missions. Selon le cas, les dispositions de l'article 19 de la prĂ©sente loi ou celles du chapitre IV du titre II du livre Ier du code de l'environnement et de la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 prĂ©citĂ©e sont applicables Ă cette informe la commission de tout incident ou accident mentionnĂ© Ă l'article 54 de la prĂ©sente loi dans les meilleurs de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire, les ministres chargĂ©s de la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire ou de la radioprotection peuvent consulter la commission sur tout projet concernant le pĂ©rimĂštre de l'installation nuclĂ©aire de base. Cette consultation est obligatoire pour tout projet faisant l'objet d'une enquĂȘte publique dĂšs lors que la commission est rĂ©guliĂšrement constituĂ©e. La commission peut saisir l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et les ministres chargĂ©s de la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire ou de la radioprotection de toute question relative Ă la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire et Ă la radioprotection intĂ©ressant le site. La commission locale d'information peut ĂȘtre saisie pour avis sur toute question relevant de son domaine de compĂ©tence par la commission dĂ©partementale compĂ©tente en matiĂšre d'environnement, de risques sanitaires et technologiques. La commission locale d'information et le Haut ComitĂ© pour la transparence et l'information sur la sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire mentionnĂ© Ă l'article 23 se communiquent tous renseignements utiles Ă l'exercice de leurs missions et concourent Ă des actions communes d'information. Les reprĂ©sentants dĂ©signĂ©s par le comitĂ© d'hygiĂšne, de sĂ©curitĂ© et des conditions de travail d'un Ă©tablissement comprenant une ou plusieurs des installations nuclĂ©aires de base mentionnĂ©es au I sont auditionnĂ©s Ă leur demande par les commissions locales d'information Ă chaque fois qu'ils l'estiment nĂ©cessaire. Les commissions locales d'information peuvent Ă©galement les solliciter. dĂ©penses de la commission locale d'information sont financĂ©es par -l'Etat ;-les collectivitĂ©s territoriales et leurs groupements. Si la commission est dotĂ©e de la personnalitĂ© juridique, outre les subventions qui peuvent lui ĂȘtre attribuĂ©es par l'Etat, ces collectivitĂ©s et ces groupements, elle peut recevoir une partie du produit de la taxe instituĂ©e par l'article 43 de la loi de finances pour 2000 n° 99-1172 du 30 dĂ©cembre 1999 dans les conditions dĂ©finies en loi de finances. Les comptes de la commission sont soumis au contrĂŽle de la chambre rĂ©gionale des comptes. commissions locales d'information peuvent constituer une fĂ©dĂ©ration, sous la forme d'une association, chargĂ©e de les reprĂ©senter auprĂšs des autoritĂ©s nationales et europĂ©ennes et d'apporter une assistance aux commissions pour les questions d'intĂ©rĂȘt commun. Les ressources de cette fĂ©dĂ©ration proviennent notamment de subventions versĂ©es par l'Etat et de cotisations des commissions qui en sont membres. dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©termine les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent chapitre. Il peut dĂ©finir des clauses appartenant Ă celles devant obligatoirement figurer dans les statuts des commissions dotĂ©es de la personnalitĂ© juridique.
Voustrouverez, ci-joint au format PDF, le document prĂ©sentĂ© par le SIBA lors de la CLIS sur la qualitĂ© des eaux du Bassin sâest tenue le 15 octobre 2010 au LycĂ©e de la Mer Ă Gujan-Mestras. Commission Locale dâInformation et de Surveillance (CLIS) sur la QualitĂ© des Eaux du Bassin dâArcachon | Siba - Syndicat Intercommunal du Bassin d'Arcachon
Burkina Faso SociĂ©tĂ© Cliquez pour agrandir l'image Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e 2149 Vues 0 Commentaires Il y a 11 mois © - lundi 06 septembre 2021 - 1948Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© La PrĂ©sidente de la Commission de lâinformatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© a indiquĂ© lundi que lâinstallation et lâusage des camĂ©ras de surveillance doivent faire lâobjet dâune dĂ©claration auprĂšs de son institution, une disposition lĂ©gale majoritairement ignorĂ©e des populations. La CIL tient donc Ă rappeler que lâinstallation et lâusage des camĂ©ras de surveillance, doivent impĂ©rativement faire lâobjet dâune dĂ©claration Ă son niveau ; leur usage doit respecter lâintimitĂ© de la vie privĂ©e des personnes dans les lieux de travail et les domiciles, respecter les droits des personnes concernĂ©es, notamment le droit Ă lâinformation sur ses donnĂ©es collectĂ©es, le droit dâaccĂšs, le droit dâopposition », a dĂ©clarĂ© lors PrĂ©sidente de la Commission de lâinformatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Selon elle, la CIL procĂšde Ă©galement Ă des contrĂŽles Ă priori et Ă posteriori des traitements de donnĂ©es, pour sâassurer de leur conformitĂ© aux dispositions de la loi. Ainsi, 123 contrĂŽles ont Ă©tĂ© effectuĂ©s en 2020, des manquements ont Ă©tĂ© relevĂ©s, qui ont trait notamment au non-accomplissement des formalitĂ©s prĂ©alables, Ă lâinsuffisance des mesures de sĂ©curitĂ© des donnĂ©es, au non-respect des droits des personnes, Ă lâemplacement des camĂ©ras de surveillance, Ă la disproportionnalitĂ© dans la collette des donnĂ©es par rapport aux finalitĂ©s poursuivies », a-t-elle prĂ©cisĂ©. La CIL reçoit et traite rĂ©guliĂšrement des cas de plaintes relatifs Ă la violation des droits des personnes dans le traitement de leurs donnĂ©es Ă caractĂšre personnel. Ces plaintes sont, la plupart du temps, liĂ©es Ă leurs activitĂ©s sur internet et les rĂ©seaux sociaux. Environ 855 plaintes ont Ă©tĂ© traitĂ©es en 2020. » Au cours de lâannĂ©e 2020, la CIL, nâayant pas un pouvoir dâinvestigation, a transfĂ©rĂ© Ă la brigade de lutte contre la cybercriminalitĂ© BCLCC avec qui elle est en partenariat, une centaine de plaintes relatives Ă lâarnaque en ligne, Ă lâespionnage tĂ©lĂ©phonique, au piratage des Ă©quipements informatiques, Ă lâusurpation dâidentitĂ©s, au piratage de comptes, Ă la diffamation sur les rĂ©seaux sociaux, au chantage Ă la webcam et Ă la divulgation des donnĂ©es personnelles sur les rĂ©seaux sociaux, en vue dâapprĂ©hender les auteurs de certaines infractions, a soulignĂ© Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Il est important de souligner que la violation des droits des personnes sur le Net a pris de lâampleur, surtout avec la digitalisation des services. Avec lâusage abusif des nouvelles technologies, les internautes volontairement ou non, exposent leurs donnĂ©es personnelles et leur vie privĂ©e sur la toile, sans pour autant savoir Ă quoi elles serviront plus tard », a-t-elle indiquĂ©. A cela, sâajoute la mainmise des gĂ©ants du web GAFAM sur les informations qui sont postĂ©es sur ces plateformes, quâils exploitent Ă leur guise, Ă travers des services quâils offrent, qui requiĂšrent le consentement forcĂ©, si je puis le dire, des internautes, avant quâils nâen bĂ©nĂ©ficient. Des conditions dâadhĂ©sion sont soumises aux internautes qui nâont autre choix que dâaccepter.», selon Mme Ouedraogo /BonanĂ©. La Commission de lâinformatique et des libertĂ©s entend poursuivre, voir renforcer ses campagnes dâinformation/sensibilisation, pour engendrer un changement notable de comportements face aux aspects nĂ©fastes des nouvelles technologies sur nos donnĂ©es personnelles et notre vie privĂ©e. Depuis 2014, au regard des dĂ©rives constatĂ©es dans lâutilisation des TIC par les jeunes, la CIL a mis en place un programme spĂ©cifique dâĂ©ducation au numĂ©rique au profit des Ă©lĂšves et Ă©tudiants, pour les prĂ©munir et les protĂ©ger des actes cybercriminels. Ă travers ce programme, elle a sensibilisĂ© environ 29 760 Ă©lĂšves et Ă©tudiants Ă une utilisation saine et responsable des TIC. Avec le ministĂšre en charge de lâĂ©ducation nationale, elle travaille Ă inclure dans les curricula de lâenseignement, un module sur la protection des donnĂ©es personnelles et la vie privĂ©e. Boa, Ouagadougou Par Koaci RESTEZ CONNECTĂ En tĂ©lĂ©chargeant l'application KOACI. 0 Commentaires Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e Veuillez vous connecter pour commenter ce contenu. Votre avis nous intĂ©resse. Soyez le premier Ă commenter cet article
Lescommissions locales dâinformation et de surveillance (CLIS) ont Ă©tĂ© initiĂ©es par le dĂ©cret du 29 dĂ©cembre 1993 ; leur prĂ©sidence est exercĂ©e par le prĂ©fet ou son reprĂ©sentant (en gĂ©nĂ©ral la DREAL), le secrĂ©tariat est assurĂ© dans la plupart des cas par la
Nous demandons la crĂ©ation d'une Commission Locale dâInformation et de SurveillanceCLIS, conformĂ©ment aux articles L 125-1 et R 125-5 du Code de lâenvironnement et au dĂ©cret n° 97-517 du 15 mai 1997 qui classe les D3E comme dĂ©chets dangereux. La CLIS a pour but dâinformer le public sur les effets des activitĂ©s dâinstallation de traitement de dĂ©chets sur la santĂ© et lâenvironnement. L'objectif et les missions de la CLIS sont De promouvoir lâinformation du public en favorisant le dialogue entre la population avoisinante reprĂ©sentĂ©e par ses Ă©lus et des membres dâassociations. Lâadministration et lâexploitant du site. De faire des recommandations Ă lâexploitant. Dâaider lâexploitant Ă assurer la transparence de son activitĂ© en organisant, en coordonnant avec lui des actions de formation ou dâinformation au profit du public riverains, scolairesâŠ.
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