Voilà d’autres fautes des mères dépressives qui tombent sur les enfants. En ce qui me concerne, les juges ont postulé, dans mon divorce, que ma mère était dépressive, ce qui m’amenait à pratiquer et à imposer à mon épouse et à mes enfants (elle est drôlement forte, cette mère dépressive) une « confusion des rôles parentaux », je volais « le rôle de mère à la mère de
Au secours, je suis trop gentille Vous aussi il vous arrive d’être trop gentille? Vous dites oui quand vous voudriez dire non pour faire plaisir? Vous mettez vos besoins de côté pour les autres? J’ai le même problème et je vous partage comment je compte y remédier. Je veux faire ce travail sur moi et je vous donnerai tous les conseils et outils que je pourrais. Dans cet article, je vous partage mon plus gros problème, ce sur quoi je dois travailler pour évoluer, ce qui me bloque pour libérer mon potentiel dans le monde. Pourquoi est-ce que je suis trop gentille? Je suis trop gentille. Voila c’est dit. » Ça parait peu de chose mais c’est juste la pointe de l’iceberg. Derrière ce tout petit défaut de rien du tout, ce cache une myriade de croyances limitantes, de peurs ancrées et de manque d’amour de soi. J’ai toujours appris qu’il fallait être gentille, qu’il ne fallait pas être égoïste et prendre en compte les besoins des autres. On m’a appris à être polie, sage, à cacher mes émotions… Quand je me comporte gentiment, quand j’aide les autres, quand je fais attention à leurs besoins et leurs envies, j’ai l’impression que je suis une bonne personne. Ça valide en moi la croyance que je suis une bonne personne. Ça me rend fière de moi de savoir que j’ai agit selon mes valeurs et ce que l’on m’a appris. Je suis comme une petite fille qui voudrait un bon point. Il y a un temps pour être gentil et un temps pour dire ça suffit! » Pourquoi est-ce un problème? L’envers de la médaille c’est que j’ai du mal à m’affirmer et à savoir dire non. Je suis souvent la bonne poire qui rend service, qui donne son temps et son énergie en s’oubliant un peu en chemin. J’aimerais que ce soit différent, j’aimerais prendre mon envol et évoluer en une nouvelle version de moi-même plus assurée, qui sait dire non quand il le faut et qui a suffisamment confiance en elle pour revendiquer ses idées et pour valoriser ses propres besoins. La conséquence à ce manque d’affirmation c’est que En disant oui à tout le monde, je me dis non à moi-même. Je place mes besoins après ceux des autres et je finis par être frustrée, énervée, déçue. En plus, ensuite j’en veux aux autres. Pourtant la seule personne a blâmer c’est moi-même. C’est bien moi qui décide de dire oui et d’être gentille. On m’a appris que j’étais responsable des sentiments des autres, que j’avais le pouvoir de décevoir, de rendre heureux, de blesser les autres par mon comportement et mes paroles. Pourtant, ce n’est pas vrai et je le sais. Pourquoi ne sommes-nous pas responsables des émotions des autres? Chacun est responsable de ses émotions. Je n’ai pas le pouvoir de créer des émotions chez les autres, ce sont eux à travers leur interprétation de la situation qui génèrent leurs propres émotions. Nous l’avons vu dans l’article concernant le modèle de Brooke. En effet, ce modèle en 5 lignes nous permet de comprendre comment s’articulent les circonstances de la vie, les pensées, les émotions, les actions et les résultats. Les 5 lignes du modèle Circonstances neutres Pensées Émotions Actions Résultats Les circonstances de la vie sont neutres, elles n’ont un sens qu’à travers nos pensées. Ces pensées sont des interprétations des circonstances et elles génèrent des émotions. Ces émotions nous pousse à réagir, agir ou ne pas agir. Ce qui créera les résultats dans nos vies. En sachant cela, je me rend compte que les émotions des autres ne sont pas sous mon contrôle. Même si j’aimerais contrôler ce que les autres pensent de moi, je ne peux pas. Tout ce que je fais, tout ce que je dis est une circonstance neutre dans le modèle de Brooke des autres. Ils décident ensuite de ce qu’ils veulent en penser et c’est cela qui crée leurs émotions. Ces émotions conduiront à leurs actions et leurs résultats. Et c’est là que mon cerveau bug, il est en dissonance cognitive car il pense à la fois deux pensées contradictoires. D’un côté, j’ai appris que je dois être gentille pour que les autres m’apprécient et m’acceptent. Et d’un autre côté, je sais que je n’ai aucun contrôle sur les émotions des autres. Les deux pensées coexistent, la première est plus forte car elle est bien plus ancienne et ancrée que l’autre. En utilisant le modèle de Brooke, je peux travailler pour éliminer la première pensée. Pour cela, je dois me répéter encore et encore la nouvelle pensée dès que l’ancienne se présente pour la renforcer. C’est ce que je vais faire. Les conséquences d’être trop gentille Vous voyez ce problème d’être trop gentille provient de mon éducation, de mon image de moi, de mes croyances limitantes, de ma confiance en moi, de mon manque d’affirmation et de ma peur du rejet. Cela crée un cocktail vraiment épicé qui me pose problème dans ma vie. Ma relation avec les autres en pâtit. En effet, je suis souvent prise pour la bonne poire, je manque d’autorité, je ne gagne pas le respect des autres… Vos relations avec les autres sont le reflet direct de votre relation avec vous-même ». Mon métier est de manager des personnes. Être trop gentille me pose aussi des soucis au travail. J’ai du mal à me faire respecter, à faire preuve d’autorité, à trouver ma place, à dire non… Mais tout ça c’est fini, mon objectif est de changer. Je vais trouver le moyen de devenir plus affirmée, plus assurée, de mieux me connaître pour reconnaître mes besoins, apprendre à dire non, prendre confiance, me sentir bien quand je me passe en priorité. Conclusion Vous voudriez apprendre à vous faire passer en premier? Vous en avez marre d’être trop gentille? Ça tombe bien moi aussi! Je vous partagerai dans les prochains articles, les méthodes que je vais essayer, comment je les applique à ma vie et les résultats que j’obtiendrai. Je vous dirai ce qui marche pour moi et si vous êtes dans une situation similaire à la mienne j’espère que vous y trouverez des outils qui vous aideront. J’ai hâte de tester des méthodes, des outils pour apprendre à m’affirmer et à dire non. J’espère trouver une solution à mon problème et devenir une meilleure version de moi-même. Déceptionau Portugal - forum Portugal - Besoin d'infos sur Portugal ? Posez vos questions et parcourez les 3 200 000 messages actuellement en ligne. Télécharger l'article Télécharger l'article Tout le monde, quelle que soit sa nationalité, grosses ou minces, petits ou grands, blancs ou noirs, peut ressentir un complexe d'infériorité en face de quelqu'un d'autre à un moment ou à un autre de sa vie. Nous nous disons que nous ne sommes pas assez bons, assez beaux ou assez intelligents, mais ces commentaires ne sont pas basés sur des faits. Heureusement, il existe des façons simples de surmonter son complexe d'infériorité. 1 Allez à la racine du problème. Il existe deux sortes de complexes d'infériorité. Le premier trouve sa source dans l'enfance, et le second se développe lorsque l'on n'arrive pas à atteindre ses objectifs. Dans les deux cas, le sentiment peut être plus ou moins fort. S'il provient de la petite enfance, le complexe peut avoir comme origine la négligence des parents, des critiques répétées, des humiliations, du harcèlement, des messages négatifs provenant des médias, ou le manque d'expériences sociales positives. Quand il se développe au cours de la vie adulte, il peut naitre de la sensation de ne pas arriver à atteindre ses buts, ou de harcèlement de la part de membres de la famille, du conjointe ou des collègues de travail. Les deux types sont associés avec un manque de confiance en soi et des comparaisons négatives entre vous et les autres. 2 Recherchez les signes. Parfois, vous pouvez faire des choses sans vous rendre compte qu'elles sont inspirées par votre complexe d'infériorité, car il peut influencer vos actions, votre mode de pensée, et votre comportement de manière insidieuse. Il est possible que vous recherchiez dans le couple à ce que votre partenaire comble un vide en vous. Vous pouvez chercher à cacher vos sentiments réels en faisant bonne figure pour faire penser aux autres que vous allez super bien alors que ce n'est pas le cas. Il se peut que vous cherchiez à vous isoler des autres. Vous pouvez développer un comportement impulsif en faisant des achats inutiles, en buvant trop, en mangeant beaucoup ou en faisant des collections. Vous essayez peut-être de contrôler les autres ou de les culpabiliser, voire de leur faire du mal. Vous pouvez avoir des difficultés à accepter les compliments. On peut vous manipuler facilement, ou vous recherchez à être en conformité. Vous pouvez ressentir de l'anxiété, avoir des difficultés à faire confiance aux autres, vous sentir incompétente et avoir peur d'être rejeté. 3 Essayez de trouver la cause de ces sentiments. Le complexe d'infériorité pourrait être lié à un évènement de votre passé. Pour vous aider à le dépasser, vous devez déterminer la source de ce sentiment. Cela pourrait être une mauvaise expérience pendant votre enfance, un évènement traumatisant ou des personnes qui vous ont rabaissé pendant des années. Réfléchissez à votre passé. Essayez de vous souvenir d'expériences qui auraient pu causer le complexe d'infériorité. Certains de ces éléments pourraient être enfouis très profondément à cause de la douleur qu'ils provoquent [1] . 4 Déterminez le degré de votre complexe d'infériorité. Si vous souffrez d'un complexe d'infériorité, vous vous sentez inférieur par rapport à quelqu'un d'autre. Demandez-vous à qui vous vous sentez inférieur. Essayez d'être le plus précis possible ou commencez large et essayez de réduire au maximum. Vous sentez-vous inférieur aux personnes plus attirantes, qui ont plus d'argent, qui sont plus intelligentes, qui réussissent mieux ? Essayez de passer de ces catégories larges à un nom d'une personne en particulier. Lorsque vous arrivez à trouver le nom de cette personne, demandez-vous en quoi cette personne ne vous est pas supérieure. Sait-elle jouer du piano comme vous ? A-t-elle la même éthique de travail que vous ou le même soin envers les autres ? Prend-elle mieux soin de sa famille que vous [2] ? 5 Décomposez votre complexe. Une des façons de commencer à gérer votre complexe est de le décomposer. Commencez par les caractéristiques qui vous amènent à vous sentir inférieur. Regardez-les à travers le prisme de la logique, pas celui de vos émotions. Les défauts que vous vous trouvez sont-ils si mauvais ? Si votre réponse est encore oui, souvenez-vous que tout le monde aimerait améliorer quelque chose chez lui. Ce que vous voyez comme un défaut pourrait être le rêve de quelqu'un d'autre. Personne ne pourrait remarquer votre grand menton même si vous ne pensez à rien d'autre que cela. Vous pourriez penser que perdre vos cheveux est un défaut, mais certaines femmes trouvent les hommes chauves plus sexys ! Les défauts que vous vous voyez ne vous contrôlent pas. Même si vous avez un grand menton, si vous êtes en surpoids ou si vous êtes chauve, cela ne vous définit pas. Ce n'est qu'une petite partie de vous. Cela ne vous contrôle et ne vous définit que si vous le choisissez [3] . 6 Comprenez que tout le monde est inférieur à quelqu'un d'autre d'une façon ou d'une autre. Il n'existe pas une seule personne qui possède toutes les qualités. Même si quelqu'un pourrait sembler être la personne la plus belle et la plus riche du monde, il y aura toujours quelqu'un de plus intelligent ou de plus compatissant. À l'inverse, tout le monde est supérieur à quelqu'un d'autre d'une façon ou d'une autre. Chaque individu est une combinaison de qualités et de défauts. En comprenant ce concept, vous arriverez à avoir une vue plus réaliste de vous-même. Puisque tout le monde a des défauts, il n'y a pas de raison d'avoir des complexes. Votre complexe d'infériorité est provoqué par une exagération de votre défaut et par le sentiment d'incertitude qui s'en développe. Cette infériorité n'existe que dans votre tête [4] . 1 Arrêtez de vouloir être comme les autres. Le complexe d'infériorité prend sa source dans le désir de vouloir être comme les autres. Ils vous font vouloir être quelqu'un que vous n'êtes pas. Si vous essayez d'être quelqu'un d'autre, vous n'allez plus être vous-même. Cela ne veut pas dire que vous devez vous limiter et ne pas essayer de nouvelles choses. Essayez simplement de ne pas être quelqu'un d'autre. Soyez vous-même. Vous pouvez trouver de l'inspiration chez les autres. Cela signifie que vous pouvez les observer, trouver certains traits que vous voulez adapter à votre personne. La différence la plus importante est que vous restez vous-même. Vous n'essayez pas de copier quelqu'un d'autre ou d'être quelqu'un d'autre. Vous utilisez cette personne pour être un guide positif pour rester authentique [5] . 2 Essayez de ne pas vous inquiéter de ce que pensent les autres. Le complexe d'infériorité provient de l'inquiétude constante de ce que pensent les autres de vous. Vous vous trouvez souvent des problèmes en vous basant sur ce que les autres pourraient trouver ou non de bien chez vous. Ce n'est pas un système de pensée sain. Arrêtez de vous inquiéter autant de ce que pensent les autres de vous. Seule votre opinion compte [6] . Parfois, ces jugements sont réels, mais la plupart du temps, ils sont imaginaires. Concentrez-vous sur votre bonheur sans vous inquiéter de ce que pensent les autres. Et essayez de ne pas inventer ce que les autres pensent de vous. Souvenez-vous que vous ne pouvez pas savoir ce que les autres pensent réellement ou ce qui se passe vraiment dans leur vie. Même si vous pensez qu'ils sont heureuxses, ils peuvent avoir exactement les mêmes sentiments d'insécurité que vous. Concentrez-vous sur vos points forts et vos accomplissements, pas sur ce que les autres pensent de vous. 3 Concentrez-vous sur vos qualités. Lorsque vous vous sentez inférieur, vous vous concentrez sur les choses que vous n'avez pas au lieu de vous concentrer sur celles que vous avez. Tout le monde a des qualités. Regardez-vous et votre vie honnêtement. Faites une liste de toutes les bonnes choses. Cela pourrait être par exemple J'ai un bon travail qui me permet de me développer » ou J'ai de belles dents. » Lorsque vous avez terminé, pensez à toutes les bonnes choses qui vont vous arriver. Cela pourrait ne pas vous rendre meilleur que quelqu'un d'autre, mais vous n'êtes pas obligé de devenir meilleur que les autres. Vous devez simplement être heureux d'être vous et être reconnaissant pour ce que vous avez [7] . Incluez des choses provenant de tous les domaines de votre vie. Vous pensez peut-être être en surpoids, mais vous avez de jolies jambes, de jolis pieds ou de jolies mains. Vous avez peut-être une famille extraordinaire, des enfants intelligents, une bonne éducation, une belle voiture ou vous savez bien tricoter. Il y a de nombreuses choses qui peuvent vous faire relever la tête. Essayez de trouver les choses positives et de vous concentrer dessus. 4Arrêtez de vous comparer aux autres. Les personnes qui souffrent de complexe d'infériorité passent beaucoup de temps à se comparer aux personnes autour d'elles. Si vous le faites, vous allez vous retrouver avec une liste sans fin de qualités que les autres ont et que vous n'avez pas. Vous ne pouvez pas vous comparer aux autres, par exemple toute votre vie est complètement différente, de la famille dans laquelle vous êtes né, à votre patrimoine génétique, en passant par les occasions qui se sont présentées [8] . 5 Ne pensez pas en noir et blanc. Le complexe d'infériorité vous fait penser que si vous pouviez changer une seule chose, toute votre vie en serait meilleure. Vous pourriez penser Si seulement je pesais dix kilos en moins, ma vie serait meilleure » ou alors Si seulement j'avais un meilleur travail, je serais plus heureux. » Si vous arrivez à le faire, vous allez être heureux pendant un moment, parce qu'à l'intérieur vous allez encore vous sentir peu sûr de vous. Les choses matérielles et superficielles, dont se nourrissent de nombreux complexes d'infériorité, ne vont pas régler vos problèmes comme par magie. Essayez de reprogrammer vos pensées pour éviter le Si seulement... je serais heureux. » Cela pourrait mener à encore plus de déception lorsque cette chose ne vous rendra pas heureux [9] . Il sera beaucoup plus enrichissant de vous concentrer sur vos forces, sur vos valeurs et sur vos qualités. En apprenant à accepter ces choses, vous arriverez à avancer dans votre vie. 6 Arrêtez le discours négatif. Tous les jours, vous renforcez votre complexe d'infériorité en parlant négativement de vous. Lorsque vous dites des choses comme Il ne m'aime pas parce que je suis laide » ou Je ne vais pas décrocher cet emploi parce que je ne suis pas assez intelligent », vous vous rabaissez et vous inscrivez des pensées négatives et fausses dans votre cerveau. Lorsque vous vous prenez à dire quelque chose de négatif à votre propos, arrêtez-vous et dites plutôt quelque chose de positif [10] . Il n'est pas nécessaire de vous mentir à vous-même et de dire Il va m'aimer parce que je suis la plus belle. » Parlez plutôt de vous en des termes plus réalistes et positifs. Je suis attirante et je mérite l'affection d'une autre personne. Je suis gentille et généreuse avec les personnes qui veulent être mes amies. » Reprenez-vous en redirigeant les pensées négatives qui surviennent. Si par exemple vous pensez Je suis la plus grosse ce soir ! », transformez cette idée en Je suis jolie dans cette robe, tout le monde va voir comme j'ai du style ! » Ne vous comparez pas à des choses impossibles. Si vous avez des pensées négatives parce que vous avez couru 3 kilomètres au lieu des 10 que vous aviez prévu, voyez l'aspect positif Je viens de courir 3 kilomètres, c'est bien, je vais continuer de courir toutes les semaines jusqu'à arriver à 10 ! » C'est en identifiant les pensées négatives et en les changeant en positives que vous pouvez bâtir votre confiance en vous. 7 Construisez votre confiance en vous. Pendant que vous travaillez sur votre complexe d'infériorité, vous devez commencer à bâtir votre confiance en vous. Commencez par réparer l'image que vous vous faites de vous-même. Le complexe d'infériorité se base sur des idées fausses à propos de vous. Essayez de vous souvenir que cette image est fausse et ne reflète pas la réalité. Jetez les étiquettes que vous vous êtes collées. Ne vous voyez pas comme une personne stupide, laide, nulle, un échec, ou quoi que ce soit d'autre. Refusez ces termes lorsque vous pensez à vous [11] . 1Ne limitez pas vos interactions sociales. Le complexe d'infériorité peut se produire parce que vous vous retirez, vous devenez plus timide et antisocial. Les personnes avec ce genre de complexe ont peur de s'exposer et de s'ouvrir. Vous devez vous pousser à interagir avec les autres. Ce sentiment d'infériorité est présent seulement dans votre esprit. Plus vous socialisez avec les autres, plus vous comprendrez que les autres ne vous jugent pas, ne se moquent pas de vous et ne vous rabaissent pas. Vous pouvez apprendre à être plus à l'aise et plus sûr de vous en présence des autres [12] . 2 Entourez-vous de personnes positives. Les personnes avec lesquelles vous avez des contacts ont un impact significatif sur votre estime de vous-même. Si vous passez du temps avec des gens négatifs qui vous critiquent, vous scrutent et vous jugent en permanence, cela va vous affecter. À la place, essayez plutôt de passer du temps avec des gens positifs. Recherchez des gens qui acceptent et aiment les autres sans les juger. Entourez-vous de personnes qui ne vous jugent pas pour vous aider à vous accepter [13] . Même si votre assurance doit venir de vous, il est utile d'avoir des amis qui vous acceptent. Cela vous aidera à vous rendre compte que tout le monde n'existe pas pour vous juger et vous critiquer. 3Continuez de travailler sur vous-même. L'une des façons de combattre ce sentiment d'infériorité est de vous améliorer en permanence. Cela peut inclure n'importe quoi. Développez des compétences liées au travail, essayez un nouveau passetemps, améliorez-vous dans votre passetemps actuel, fixez-vous des objectifs d'exercice physique ou économisez pour vos vacances de rêve. Cela vous aidera à atténuer le sentiment d'infériorité, car il est difficile de vous sentir inférieur lorsque vous avez accompli des choses [14] . 4 Faites du bénévolat. Une des façons de vous aider à voir la réalité est de sortir de votre zone de confort et d'aider les autres. Que vous aidiez dans une soupe populaire ou dans un refuge pour animaux, cela vous aidera à voir la réalité de la situation. Vous n'allez pas aussi mal que ce que vous pensez. Le bénévolat peut vous aider à vous donner un sens de l'accomplissement et de fierté. Cela peut vous aider à vous sentir moins inférieur, car vous allez rendre aux autres. Cela vous aide à arrêter de vous sentir mal et de croire que vous êtes un fardeau [15] . 5Affrontez vos pires peurs. Pensez-vous que les gens vous observent et font des commentaires à propos de vous ? Ce sont des inquiétudes valides, mais n'oubliez pas que tout le monde est différent. Tous les commentaires que vous recevez doivent être évités à tout prix. Il y a fort à parier que les gens qui jugent les autres n'aiment pas aussi quelque chose chez eux. Conseils N'écoutez pas les personnes qui vous rabaissent. Ne parlez jamais de vos différences comme des infériorités ». Croyez en vous, vous êtes spéciale. Concentrez-vous sur vos qualités. Vous êtes spécial, aimez-vous. Chaque personne qui vit dans ce monde est merveilleuse d'une façon unique. Souvenez-vous que vous n'êtes pas seul ou que vous n'êtes pas si différent. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 20 058 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Daprès ce que j'ai appris, certaines personnes veulent un défi, et les gens gentils perdent à être appréciés, la poursuite semble être tout aussi importante que le piège. Les filles et les garçons semblent tomber dans ce piège. Si quelqu'un est trop gentil, la relation n'est pas excitante. Regardons les choses en face, certainesBon, je ne suis pas du genre à pousser des coups de gueule sur le blog. En fait, je ne le fais jamais. J’ai toujours veillé à être respectueuse vis à vis des autres et, surtout, à ne jamais faire de vague. De peur, peut-être, de me retrouver engloutie dedans… Il y a certainement une certaine trouille à me taire ainsi. Mais pas seulement. Comme dit plus haut, c’est vraiment le respect qui m’a empêchée, bien souvent, de dire les choses comme je les ressentais. Mais vous savez quoi ? J’en ai marre ! Ouais, ce soir, j’en ai marre et ça me pèse. De la déception et une sorte de colère cohabitent dans mon cœur. Le mélange est si fort qu’il me donne même envie de jeter l’éponge. Parfois ça me décourage… Et ce soir c’est particulièrement fort et présent. Je me suis toujours battue contre l’injustice qui, malheureusement, a souvent été tournée vers moi quand j’étais gamine, quand j’étais ado… On s’est beaucoup moqué de moi trop gentille, trop timide, trop muette… et on m’a beaucoup blessée aussi. Aujourd’hui, parfois souvent même…, je retrouve ce sentiment de rejet et d’ignorance qui pesait sur moi. Soit on me montrait de l’hostilité, soit on m’ignorait complètement, me donnant l’impression de n’être rien, qu’une anecdote,… inexistante. Bref, ce que je veux dire, c’est que, bien souvent, j’ai à nouveau l’impression de n’être rien aux yeux de certains de beaucoup, d’être transparente, limite inexistante… Et ce, malgré les efforts que je fais chaque jour. Parce que, oui, aujourd’hui, je me bouge. Contrairement à avant, où je me contentais de subir. Vous vous demandez sans doute où je veux en venir ou, si ça se trouve, vous ne vous le demandez pas du tout… Depuis le début du mois de décembre, c’est la folie. Chaque jour, je vous propose un nouveau cadeau à remporter sur ma page Facebook. Des commentaires, j’en ai à tour de bras. Forcément, à la clé, il y a l’éventualité de gagner un truc. Je me suis décarcassée pour vous proposer tous ces lots. Parce que c’est un sacré boulot d’organiser des jeux comme ceux là . Il y a la mise en ligne, la préparation du visuel et puis aussi la désignation du gagnant. Mais avant il y a les négociations avec les marques… Et il faut gérer aussi le service après concours le SAC si vous voulez !. Envoyer les coordonnées des gagnants. Courir après ceux qui tardent à laisser leur adresse e-mail ou qui ne lisent pas bien ce qu’on leur a demandé au départ adresse postale, mail…. J’ai passé un temps de fou là dessus et ça va encore continuer jusqu’à Noël. Très sincèrement, je suis contente de vous permettre de gagner des trucs. C’est chouette mine de rien… Mais, au fond, je ne rencontre que très rarement de la gratitude. Pour certaines gagnantes, j’ai l’impression que c’est limite un dû et que je suis juste une machine à qui on donne des coordonnées postales pour recevoir un cadeau. Quand on me dit merci », vous n’imaginez pas à quel point ça me fait plaisir… C’est pourtant un acte qui devrait être automatique, normal et qui se révèle finalement si rare ! C’est con, non ?! Du coup, bah, parfois, je ressens une certaine lassitude. Je me demande à quoi ça sert de se décarcasser pour si peu »… Car vous savez, bien souvent, pour organiser ces jeux, je n’ai rien reçu en contrepartie. Le pire dans tout ça c’est que je ressens trop l’intérêt des participants. Moi je suis une grande idiote romantique qui s’imagine toujours que je vais tisser des liens de dingue avec des lectrices. Finalement, je crois que celles qui me suivent vraiment peuvent se compter sur les doigts des deux mains… Enfin, je parle de celles qui m’écrivent régulièrement des commentaires que ce soit sur Facebook ou sur le blog. Car côté commentaires, c’est le grand désert. C’est de plus en plus décourageant. Alors, je me dis que ce que j’écris devient vraiment nul et sans intérêt. Plus le temps passe et moins j’ai de commentaires sur le blogs. Pourtant j’ai fait des efforts pour vous faciliter la tâche en intégrant un nouveau module permettant de commenter via votre connexion Facebook. Ça vous évite de vous identifier à chaque fois, le truc relou. Avec ça, j’ai conservé le formulaire natif du blog pour ceux qui préfèrent la vieille » méthode. Mais bon, pour être franche, ça n’a pas changé grand chose. Aujourd’hui je me pose mille questions. Je me demande si je vous intéresse vraiment ou si je suis redevenue transparente comme durant mon adolescence. Peut-être que je n’aborde pas les bons sujets… Ou, si ça se trouve, je suis simplement à côté de la plaque. Dois-je continuer comme je le fais maintenant ou tout changer radicalement ? Ou, pire faire carrément le choix de tout cesser ! Les chiffres sont pourtant là pour me rassurer et me prouver que je me pose sans doute des questions pour rien. Mais, crotte, pourquoi vous êtes si peu à me dire ce que vous pensez de ce que j’écris ? Pour diversifier mon univers, j’ai créé et commencé à alimenter une chaîne Youtube Le temps passé à monter mes vidéos, certes imparfaites, est quand même assez important. Est-ce du temps perdu ? Est-ce que ça vaut le coup sincèrement ? C’est beaucoup d’énergie tout ça. Je ne compte même pas le temps passé à répondre aux nombreux mails que je reçois et encore moins ce temps considérable que je passe à organiser mon planning éditorial… Parce que là , en décembre, j’ai été tellement sollicitée de partout que j’ai eu bien du mal à tout faire entrer sur ce fichu planning. J’ai même été obligée de vous proposer deux articles par jour parfois alors que je déteste ça, pour tenir les délais. Le pire dans tout ça, c’est que j’ai l’impression que ça ne sert à rien. Je me suis mise la pression toute seule pour vous proposer du contenu que je pensais intéressant pour vous, pour zéro réaction ou presque. Et, avec le recul, je regrette d’avoir écrit ces articles… Là , tout de suite, je me dis que j’en ai marre d’œuvrer pour les autres en m’imaginant apporter des infos intéressantes… qui ne les intéresse pas en réalité. Je dis ça mais je pense que je suis un peu comme ma mère… Ce besoin de passer des messages qui sont comme des coups d’épée dans l’eau… il ferait mieux de nous passer ! Même si certains contenus sont clairement sponsorisés » je préfère en parler car je sais qu’on risque de me mettre ce sujet sous le nez, je n’accepte de vous parler que de sujets qui me semblent pertinents pour vous. Bien évidemment, je suis rémunérée pour ça mais les mots restent toujours les miens et je veille à ne jamais écrire des choses qui ne correspondent pas à mes principes. J’ai, maintes fois, refusé des contrats parce que les propos que je devais relayer allaient à l’encontre de mes idées. Et puis, clairement, certains étaient tellement éloignés de ma ligne éditoriale que je me suis demandée comment ils avaient pu avoir l’idée de me contacter, moi ! Je fini par croire que l’on a d’intérêt que pour la mode / beauté, pour les tout petits bébés… ou les concours ben ouais !. Le reste n’a sans doute aucun intérêt… Bref, parfois, je me demande si je ne fais pas tout ça pour rien… Je devrais peut-être cesser de me triturer le cerveau à tenter de vous parler de trucs qui pourraient vous intéresser et qui, en réalité, vous passe au dessus du cigare. L’effort de commentaire n’est-il valable que lorsqu’il y a un cadeau à la clé ? Commentaires Commentaires
Cest possible d’être au courant sans etre inscrit sur le site, mais dans ce cas il faut toujours être dépendant d’un ami ou d’une connaissance pour nous transmettre les infos. Si c’était le cas pour tout le monde, beaucoup plus de personnes ne seraient pas informés C’est un exemple pour lequel on rappelle que facebook est avant tout un réseau de partage et dans ce Quelles sont les Causes de la Dépendance Affective ? Posted by SOMMAIREQuels sont les symptômes de la Dépendance affective?C’est quoi être dépendant affectif ?Quelles sont les causes de la dépendance affective ?Quels sont les symptômes et les signes d’une personne dépendante affective?1/ Tout d’abord, vous vivez avec diverses peurs angoisses parfois 2/ Ensuite, vous avez ce type de pensées qui reviennent de façon récurrente 3/ Vous adoptez des comportements excessifs 4/ Vous éprouvez des sentiments désagréables Quelles sont les conséquences de la dépendance affective ? Quels sont les symptômes de la Dépendance affective? Et si je vous disais que c’est à cause de la dépendance affective que vous retombez systématiquement sous l’emprise des manipulateurs, que me diriez-vous ? Que si c’était vrai, ça se saurait ? Et pourtant… C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet article. . Les Signes de la Dépendance Affective . C’est quoi être dépendant affectif ? Ce qui crée la dépendance affective, c’est quand on tombe dans la situation psychologique où l’on dépend complètement de l’autre personne pour se sentir bien. En général, lorsqu’on est une personne dépendante affective, on gère mal ses émotions et on finit par ne plus pouvoir prendre soi-même des décisions éclairées et réfléchies. Alors bien sûr, on ne nait pas dépendant affectif. On crée la dépendance affective par conditionnement souvent en prenant exemple sur nos parents. C’est pourquoi si un parent est dépendant affectif une mère qui ne peut pas vivre une journée sans son mari par exemple, alors les enfants seront très probablement dépendants affectifs. Si vous êtes un futur ou un jeune parent, voici les 5 erreurs à ne pas commettre avec vos enfants si vous ne voulez pas qu’ils deviennent affectivement dépendants. Souvent, on observe que la dépendance affective est plus marquée dans les relations de couple mais absolument rien n’empêche de devenir dépendant à l’égard d’un ami, d’un parent, d’un collègue de travail ou d’une supérieur hiérarchique… Bien-sûr, nous sommes tous plus ou moins dépendants des autres mais à des degrés divers et variés. Chez certaines personnes, la dépendance affective sera passagère et sans conséquence alors que chez d’autres, elle peut leur faire vivre un véritable enfer… Une chose est sûre la dépendance émotionnelle nous place en situation d’insécurité face aux personnes manipulatrices. A ce stade, je vous propose de faire ce test pour savoir si vous êtes dépendant affectif… . Quelles sont les causes de la dépendance affective ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles dépendantes alors que d’autres pas ? La réponse à cette question est très simple Si certaines personnes deviennent dépendantes de quelqu’un, c’est uniquement et seulement parce qu’elles ne s’aiment pas ! Si vous manquez d’estime de soi, si vous avez une mauvaise opinion de vous-même, si l’image que vous avez de vous-même est très négative, alors le jour où quelqu’un s’intéresse à vous et vous montre de l’intérêt ou vous exprime son amour, vous succombez complètement à son charme aveuglément. Vous vivez alors dans l’illusion que seul l’amour, l’amitié ou la présence de cette autre personne peut vous rendre heureux ou heureuse. La seule chose qui comptera pour vous est d’être aimé ou valorisé par cette personne. Vous serez prête à tout pour cela à commencer par vous oublier… à ne pas vivre selon vos valeurs… à négliger vos besoins etc. Comme vous doutez de vous, vous aurez l’impression de ne pas être une personne intéressante, pas assez séduisante ou de ne pas pouvoir être aimée… C’est la raison pour laquelle vous serez FORTEMENT sensible aux marques d’attention et aux compliments…. Vous comprenez maintenant pourquoi vous êtes une proie facile pour les manipulateurs et en particulier pourquoi vous attirez vers vous les pervers narcissiques qui, comme je vous l’explique ici, sont de grands charmeurs au tout début de la relation. Votre manque d’estime de soi fait que lorsqu’une personne vous aime et vous porte de l’intérêt, vous tombez très facilement sous son charme et vous entrez facilement dans une relation de dépendance émotionnelle c’est à dire que, très vite, vous ne parvenez plus à vivre sans cette personne. Le jour où cette personne vous quitte, c’est comme si elle vous renvoyait l’image d’une personne nulle, inintéressante, moche… vous tombez à ce moment dans un gouffre de tristesse. En reliant votre bien-être et votre bonheur à l’autre, sans le vouloir vous lui avez donné du pouvoir sur vous Par ses paroles et ses actes, cette personne peut faire votre bonheur vous êtes au paradis comme elle peut faire votre malheur vous vivez en enfer. Comme vous manquez d’estime et de confiance en vous, vous croyez que l’autre – l’être aimé – sera en mesure de pallier ce manque. Mais c’est un leurre de croire cela ! Vous risquez aussi de n’attirer que des personnes toxiques vers vous. . Quels sont les symptômes et les signes d’une personne dépendante affective? Si vous êtes une personne affectivement dépendante, alors vous avez une ou plusieurs de ces 4 catégories de symptômes . 1/ Tout d’abord, vous vivez avec diverses peurs angoisses parfois la peur de déplaire ou décevoir l’autre la peur de ne pas être aimé la peur de perdre l’être aimé la peur d’être abandonné ou rejeté la peur de vous retrouver seul solitude affective la peur de ne pas être à la hauteur la peur qu’une autre personne prenne votre place que l’ex de votre conjoint refasse surface… Ces peurs font que vous avez sans cesse besoin d’être rassuré. . 2/ Ensuite, vous avez ce type de pensées qui reviennent de façon récurrente sans toi, je ne suis plus rien » ma vie n’aurait plus de sens sans toi » que vais-je devenir sans toi ? » tu est ma raison de vivre… » pourquoi cette personne ne m’aime-t-elle pas ? » pourquoi ne fait-il pas attention à moi ? » qu’est-ce que j’ai bien pu faire de mal ? » si je fais ça, il va le prendre mal » je dois en faire plus sinon… » si je refuse, il ne m’aimera plus… » c’est toi mon idole… » . 3/ Vous adoptez des comportements excessifs Le tout pour l’autre » Vous vous surpassez dans l’espoir que l’autre vous aime encore plus… Vous vous obligez à en faire toujours plus pour les autres Vous vivez une histoire d’amour passionnante l’amour fou Vous êtes prêt à tout pour le satisfaire cadeaux hors de prix Votre seul obsession est de faire plaisir à l’autre. Vous ne pouvez pas vivre sans votre téléphone et vous avez ce besoin vital de rester en permanence en contact avec l’autre. Et vous paniquez dès que l’autre devient injoignable… Vous abandonnez tous vos projets pour suivre l’autre Vous délaissez vos amis et votre famille pour suivre l’autre . 4/ Vous éprouvez des sentiments désagréables Vous avez l’impression de faire beaucoup pour l’autre, de vous sacrifier, de donner énormément mais sans recevoir en retour relation à sens unique Vous ressentez de la tristesse et vous pleurez souvent lorsque vous êtes seul Vous êtes frustré et vous vous mettez facilement en colère Vous souffrez d’un sentiment permanent de culpabilité ou de honte Au fond de vous, vous avez le sentiment que les autres abusent de votre gentillesse Vous avez l’impression de devenir une victime… . Quelles sont les conséquences de la dépendance affective ? A force de vouloir satisfaire les désirs et les besoins des autres, vous oubliez vos propres désirs et besoins… Vous avez tendance à jouer le rôle du sauveur, ce qui fait que vous attirez vers vous les persécuteurs et manipulateurs… En acceptant les critiques, en pardonnant tout – même les excès infidélité par exemple – vous arrivez à la situation où l’autre vous manque de respect… Et sans le vouloir vraiment, vous tomber sous l’emprise psychologique de l’autre, c’est la dépendance affective qui commence… Vous culpabilisez de plus en plus c’est de ma faute si… » j’aurais dû faire mieux… » Vous avez peut-être mis à l’écart votre famille ou vos amis, alors que ce sont eux qui peuvent réellement vous réconforter. Vos émotions négatives prennent de plus en plus d’importance je suis vraiment nul… » Vous devenez anormalement collant pour l’autre qui ne manquera pas de vous dire que vous l’étouffez ou le harcelez… Aussitôt que l’autre commence à s’éloigner de vous, vous paniquez et vous vous donnez encore plus à fond pour le satisfaire… Par exemple, vous le harcelez de questions du genre est-ce que tu m’aimes ? » Sans vous en rendre compte, vous devenez pour l’autre une personne envahissante, possessive et jalouse. Vous demandez tellement d’affection que l’autre finit par s’éloigner de vous… A mesure que le temps passe, vous vivez de plus en plus de moments de tristesse et de moins en moins de bonheur. Et vous vous retrouvez complètement anéantie lorsque l’autre s’en va… Vous perdez l’appétit, vous ne dormez plus, vous pleurez tout le temps, vous êtes incapable de vivre sans lui… Vous utilisez tous les moyens possibles pour le faire revenir avec des promesses de faire mieux et tout ce qu’il veut… Et ainsi de suite,… vous retombez toujours sur des personnes manipulatrices qui abusent de votre gentillesse… vous utilisent puis vous jettent comme on jette un mouchoir après utilisation ! . Une chose est sûre si vous ne vous débarrassez pas de la dépendance affective, vos relations amoureuses ou autres seront des échecs. ☞ Voici comment guérir de la dépendance affective . . Auteur de cet article Michaël LIZEN - Copyright ©2020 All Rights Reserved - Tous Droits Réservés . Certainspsychologues appellent les difficultés dont vous parlez le « syndrome du chic type » : à trop vouloir faire plaisir aux autres et éviter les désaccords, on se complique beaucoup la vie. La principale erreur des « chics Parents, vous donnez tout à votre enfant et ne pensez qu'à son bonheur, un comportement somme toute naturel. Pourtant, il y a ce ressenti étrange qui vous anime, un sentiment profond d'insatisfaction où vous vous dites que finalement quoi que vous fassiez, ce n'est jamais assez pour lui. Après tout, ne puis-je pas simplement recevoir un simple "merci" ? Et parfois, il est possible que l'on vous qualifie de "trop gentil". Mais au fond, qu'est-ce que cela signifie ? Devez-vous considérer cette expression comme un reproche ou est-ce finalement une qualité ? Qu'est-ce que la gentillesse ? Il convient tout d'abord de distinguer l'excès de gentillesse de la gentillesse. Celle-ci correspond à un trait de personnalité et une façon d’être en relation avec les autres en se rendant disponible, en étant bienveillant et à l'écoute des autres. De nos jours, le pessimisme et la méfiance sont davantage valorisés en dépit de la gentillesse et de l'optimisme perçus comme de la naïveté et de la vulnérabilité. En effet, l'imaginaire collectif nous assène de représentations autour du gentil qui se fait marcher dessus par les autres ou qui serait complètement déconnecté de la réalité. Prenons l'exemple du film Forrest Gump 1994 de Robert Zemeckis dans lequel Tom Hanks incarne un homme simple d'esprit qui se retrouve embarqué involontairement dans les événements marquant de l'histoire des États-Unis d'après-guerre. Dès lors, son personnage dont la qualité principale est l'altruisme renvoie à une personnalité simplette. Aussi, le cinéma n'a cessé de nous montrer qu'être "méchant" "odieux" voire "méprisant" était la clé pour être populaire et apprécié dans les cours de récréations ou les entreprises. Une pensée que Laetitia Bluteau juge réductrice et qui à l'inverse considère la gentillesse "comme une qualité immense qui n’a rien à voir avec de la bêtise ou une espèce d'incompréhension du monde dans lequel on vivrait.". Elle justifie d'ailleurs une telle mentalité par le vécu de certaines personnes confrontées à la trahison ou à la méchanceté à la suite d'actes de bonté. "Quand l’on vit la déception à répétition, on pense qu'il est bête d'être gentil et qu'on se fera toujours avoir". En outre, la gentillesse confère de multiples bienfaits pour la santé à la fois physique mais également psychique. Au-delà de réduire le stress et les risques de dépression, la gentillesse gonfle l'estime de soi ce qui est nécessaire pour avancer dans la vie. Surtout, elle apporte d'autres valeurs que sont la bienveillance et l'empathie. Cette dernière contribue à encourager un climat de tolérance entre les individus bénéfique pour diminuer la stigmatisation notamment. Que cache le fait d'être "trop gentil" ? Ainsi, la gentillesse est une qualité propre à tous les êtres humains, transmise par l'éducation. En revanche, l'excès de gentillesse est une "stratégie d'adaptation" qui relève de "troubles" enfouis et qui masquent quelques faiblesses. "Nous ne sommes pas naturellement trop gentils, on a appris à l’être car ça été une nécessité vitale à un moment donné. Il y a ici une notion d’exigence envers soi-même et de stress, loin d'être agréable". Notre psychologue détaille plusieurs critères d'une personne trop gentille Vous êtes toujours en attente de quelqu’un ou de quelque chose Vous êtes inquiet si souvent que cela semble normal La plupart du temps, vous ne savez pas ce que vous voulez Vous pensez toujours à ce que vous auriez dû dire Vous essayez constamment de vous comprendre Vous vous excusez fréquemment, en particulier concernant des choses dont vous n’êtes pas responsable Vous prenez ce qu’on vous donne au lieu de demander ce que vous voulez Vous êtes souvent préoccupé par ce que les autres pensent de vous Vous êtes souvent étonné que votre bonne volonté ne soit pas réciproque Vous avez plus tendance à avoir de la peine pour vous-même plutôt que de passer à l’action et résoudre un problème Vous avez tendance à donner plus que vous ne recevez et qu’au fond, cela alimente du ressentiment Vous trouvez que ce sont les autres qui reçoivent l’attention et la reconnaissance Votre état émotionnel reflète celui de votre partenaire si votre partenaire n’est pas heureux, vous n’êtes pas heureux "C'est en ça qu'être trop gentil est symptomatique. Cette stratégie a la fonction d'apaiser une peur de se sentir rejeté" commente Laetitia Bluteau. Une personne trop altruiste va donc vouloir rendre service, faire plaisir à outrance par ses actions sans nécessairement en avoir l'envie réelle. Et régulièrement, ce sont des individus qui en sont conscients "ils savent qu’ils en ont marre, qu’ils en font trop pour les autres, qu’ils n’en reçoivent pas le niveau de réciprocité souhaité" analyse notre experte. Aussi, l'excès de gentillesse couvre l'attente d'une forme de validation et d'approbation aux yeux du concerné. Quels sont les risques d'être trop gentil ? Est-ce que trop donner rend vraiment heureux ? "Pas forcément" répond Laetitia Bluteau pour qui de nombreuses personnes trop généreuses vont s'abandonner à elles-mêmes. "Intérieurement ce sont des personnes qui souffrent, qui se sentent délaissées voire invisibles !". Une trop grande générosité sans être raccord avec soi-même est néfaste pour le psychisme puisque ce sentiment constant de se faire léser peut prendre le pas sur le bien-être personnel. L'excès de gentillesse marque une certaine vulnérabilité qui peut exposer l'individu à la malveillance d'autrui en étant la cible de pervers narcissiques par exemple. La simple idée de rechercher l’approbation risque de déboucher sur des situations de codépendance affective face à des personnes qui n'hésiteront pas à user des comportements destructeurs pour l'estime de soi en dénigrant voire manipulant. Attention toutefois à ne pas voir le mal partout. Un altruisme exubérant recèle évidemment des bénéfices. Ils favorisent les interactions positives face à des personnes qui sauront vous considérer à votre juste valeur et reconnaître vos qualités. "En général, on a plus envie de se tourner vers quelqu’un qui sourit, qui est accueillant et qui vous offres des chouquettes que quelqu’un qui fait la tête en vous disant que vous êtes moche etc." explique la psychologue. Il s'agit toutefois d'un bienfait de courte durée dû à un abîme très difficile à satisfaire. Ellesuscite en vous des sentiments négatifs En général, une personne gentille devrait susciter en nous un état positif. Si vous sentez qu’une énergie négative et un sentiment21 juin 2020 Nombreux sont les témoignages de femmes qui vivent des débuts d’histoires parfaites avec un homme, qui sentent que cette nouvelle rencontre pourrait bien se transformer en histoire sérieuse. Mais qui, du jour au lendemain se retrouvent sans nouvelle dans l’attente d’un appel ou d’un prochain rendez-vous qui ne viendra jamais. Parmi les explications, nous avons trouvé des réponses à travers un livre apparemment très connu dans ce domaine Ces hommes qui ont peur d’aimer , les auteurs Steven Carter et Julia Sokol comparent ce phénomène à une phobie La phobie de l’engagement. Votre voyance gratuite en cliquant ici Qu’est ce qui se passe quand on croise un phobique de l’engagement ? Ce qui peut être troublant pour la femme et difficile à comprendre, c’est ce qu’elle a ressenti qui était bien réel voir même que l’autre avait aussi des sentiments mais l’angoisse de perdre sa liberté a été plus forte. La peur de l’engagement renoncer à tous les autres possibles Devenir lié à quelqu’un, Avoir des responsabilités vis à vis d’elle comme affectivement Les priver de leurs sorties avec leurs potes, vivre avec eux et les cloitrer. Il y a aussi notre comportement qui peut être remis en cause car souvent il parait que nous aimons trop, d’ailleurs un autre livre existe à ce sujet Ces femmes qui aiment trop . Plus ils sentent notre amour, des marques de tendresse par exemple lui prendre la main en public, plus ils se sentent pris au piège et ne pensent qu’à couper court, même si au fond ils ont des sentiments naissants. En fait, ce type d’hommes aimeraient bien s’engager mais finalement ils ont trop peur et s’arrangent pour tout saboter par exemple devenir odieux et se faire plaquer ou carrément disparaitre alors que tout allait bien. Peur de l’engagement La cause de leur phobie Le divorce des parents. Combien d’enfants dont les parents ont divorcé croient encore au mariage ? Certains pensent encore que le mariage est quelque chose de possible et de durable, mais bien souvent la réaction est contraire. La situation est triste pour ces personnes qui ne croient plus à l’engagement car bien souvent elles se ferment la possibilité de vivre pleinement leurs relations en refusant de s’exposer, au risque d’être blessée, ou pire, elles se ferment la possibilité de vivre une nouvelle relation, simplement à cause de la peur de vivre quelque chose qui pourrait être différent de ce qu’elles ont toujours vécu. Bien souvent ce genre de problèmes apparait avec le manque de confiance en soi, ou l’absence de repère. Comment construire un couple solide quand notre modèle parental n’a pas su le faire ? Naturellement, nous reproduisons ce que nos parents nous ont appris, mais lorsqu’on est capable de découvrir autre chose, la confiance en soit risque de manquer car devant l’inconnu, nous sommes finalement peu de chose. Blessé par une autre femme L’homme a vécu une rupture amoureuse douloureuse par une femme qu’il aimait. L’homme blessé mettra du temps à s’en remettre, et ne voudra plus avoir de relation comme celle qu’il venait de vivre. Bien souvent, après une rupture douloureuse, un individu qui était près à tous les engagements mariage, enfant, maison… peut être transformé et n’aura alors plus aucune conviction sinon celle de ne plus vouloir rien construire. Il faudra alors du temps pour que peut être un jour, cette confiance et ces envies réapparaissent, et il faudra surtout beaucoup de patience de la part du nouveau partenaire. Acheter le livre Leurs conseils si vous rencontrez quelqu’un qui a peur de l’engagement Ne pas chercher à comprendre ce que nous avons mal fait pour mériter un tel changement d’attitude il a ce problème avec toutes et vous n’y pouvez rien, vous risquez même de vous détruire et de perdre confiance en vous et envers les autres hommes normaux », et de ne pas l’attendre ni être dépendante c’est ça qui l’angoisse ! Votre Voyance 100% gratuite. Conclusion Quand l’homme pense un peu » à nous, il se manifeste un minimum, par quelques moyens que ce soit. Si dés le début de la relation vous devez lui courir après, laissez tomber. Ne vous posez pas plus de question que ça. Parfois, ça ne le fait pas, et si il l’a vu dés le début, vous n’y pourrez guère grand chose. Sachez que même si il est overbooké, un SMS avant de s’endormir, ça prend 30 sec et vous consacrez au moins une soirée par semaine, c’est jouable. »Quand on veut, on peut » . Le coup du débordé », à d’autres… Car sous ces pseudos » excuses que l’on essaie de trouver aux hommes en cherchant maintes explications ou qu’eux-même essaient de se trouver, ils se cachent souvent un homme qui veut jouir des plaisirs de la femme sans en avoir les contraintes cf article Comment detecter rapidement le connard » ou Quelques régles pour éviter/comprendre les situations foireuses? Vous ne devez pas vous adapter aux attentes de l’autre, mais écoutez vos envies et votre besoin. C’est que tout simplement, cet homme ne correspond pas à votre attente personnelle d’une relation, ce n’est pas le bon. Fuyez ces phobies avant qu’elles ne vous détruisent. Même si c’est difficile de se le dire une fois que l’on est amoureuse. Et si vous voulez mieux comprendre pourquoi beaucoup d’hommes enchaînent les relations, à lire la formidable BD de Liv Stromquist qui commence par l’exemple de Leonardo Di Caprio. Extrait de La Rose la plus rouge s’épanouit de Liv Stromquist Lire la critique de la BD de Liv Stromquist Je tiens à préciser que ce comportement touche de plus en plus de femmes. Il y a également des femmes phobiques de l’engagement.
Tu en gardes des choses pour toi dit donc, c’est cool de l’avoir écrit ici et tu peux en être fière. Dans ton message il y a un peu de tout et son contraire et des émotions contraire qui se chevauchent aussi, mais de ce que j’ai compris je pense surtout que tu manques beaucoup de confiance en toi et ta copine n’arrange pas la chose. À quoi bon rester dans la même situation terne, morne où les jours sont pareils ? Si tu veux du changement je pense que tu pourrais tenter des choses que tu n’as pas fait avant. C’est en sortant de ces habitudes qu’on finit par vouloir du changement sinon il est évident clair que c’est inutile d’attendre du changement en faisant les mêmes chose tous les jours et en prenant aucun risque. Bon pour ce qui est des études c’est plus nuancé, fait quelque chose que tu aimes et décrocher quelque chose dedans c’est un investissement sur du long terme, c’est long alors faut au moins que tu kiffes et pour arriver à faire ce que tu aimes faut déjà atteindre déjà les paliers qui te permettront de faire çaQuitter une relation c’est toujours super dur, sur le court terme même si ce court terme prend plusieurs mois pour aller mieux, en y réfléchissant, est-ce que tu te vois avec cette même personne et avec ce même quotidien dans les années à venir ? Tu reconnais toi même que ce n’est plus possible et tu préfères garder ton confort au détriment de tes désirs et de tes autres envies, de ton besoin de changement, de repartir sur autre chose quitte à juste supporter tout ce qu’elle peut te faire et inversement tu avoues que vous êtes tous les deux dans un engrenage où chacun tire l’autre vers le bas dans un cercle infernale de toxicité, de reproche, d’ennuis ou l’un comme l’autre rêve d’un meilleur mais préfère juste se contenter de ce qu’on lui donne dans les mains sans trop d’efforts. Pourquoi tout ça ? Après tout on croit en l’amour qu’on pense mériter ?Enfin peut être que j’extrapole, je connais rien de vos vies finalement pour émettre un jugement plus correcte surtout quand on a que un son de cloche. Même si tu en as marre de tenter des choses, tu continues, et c’est cool, parce que au fond j’ai l’impression que tu as envie de faire toute ces choses. Je pense d’abord que tu devrais potentiellement voir un psy qui peut potentiellement t’aider sur toi et sur tes relations et pour ta copine…. Mieux vaut mettre les choses au clair sur ce que tu ressens et savoir ce qu’elle pense réellement de la situation ? C’est effrayant non ? De lui mettre l’étincelle dans sa tête qui lui donnerai l’idée de rompre et peut être que au contraire ça va améliorer des choses dans votre couple mais si tu veux que les choses deviennent meilleures, elles vont soit être misent au clair soit elles vont s’arrêter pour que tu puisses toi de ton côté recommencer quelque chose de nouveau avec plus de sérénité. Tu n’es pas un loser, ou du moins je dirais que tu en es pas un seulement si le fait de te louper ou de te tromper ne t’empêche pas de te relever pour tenter autre chose car au fond c’est pas d’être au sol qui fait de toi un loser, c’est de rester là et d’espérer, de te plaindre sans tenter des choses et c’est ce que tu fais, tu tentes des trucs. Et même à ce moment là , je ne pense pas que tu en serai un parce que se relever c’est dur, mais ça prend du temps, et il faut le lui en donner . Soit honnête avec toi même et les autres et prend des décisions qui te permettront justement de changer ces choses là . Plus facile à dire qu’à faire mais c’est déjà bon de reconnaÃtre qu’on devrait faire autre toi sur ce que tu veux, voit un professionnel pour justement en parler, si ta copine ne te soutiens pas pour que tu puisses te sentir mieux c’est peut être que vous êtes pas sur la même longueur d’onde et que vous avez besoin de parler. Bref, régler les choses les plus simples à faire en prenant les décisions pour les réglés. Peut être que c’est pas assez émotionnel tout ce que je dis. J’aime pas dire quoi faire au gens, je devrais plutôt les suggé tout cas prends le temps pour toi pour faire les choses à ton rythme je suis certaine que ça va aller, ce reddit te sera toujours ouvert et venir pleurer ici est l’habitude de tous donc n’est pas peur des larmes, elles font de toi quelqu’un de fort. La vie c’est parfois chiant mais certains trucs en vaut vachement la peine d’être vécu. Courage, t’es pas seul on te soutient !Lespersonnes trop gentilles ont tendance à se donner à 100 % dans tout ce qu’elles font et, pour cette raison, se perdent totalement. En effet, elles oublient de se laisser le temps
Télécharger l'article Télécharger l'article Personne n'aime se faire insulter par quelqu'un d'autre. Vous pourriez vous sentir blessé en entendant que quelqu'un vous critique, se moque de vous ou vous rabaisse. Il est possible de gérer les personnes qui vous rabaissent pour qu'elles arrêtent de le faire et vous laissent enfin tranquille. Il suffit d'apprendre à prendre soin de vous et de savoir comment gérer ces situations. 1 Évitez de réagir immédiatement. Lorsque quelqu'un vous rabaisse, vous pouvez le gérer en évitant de réagir sur le moment. Vous n'allez que renforcer son comportement si vous réagissez tout de suite ou si vous vous énervez. Vous lui donnez ce qu'il attend de vous, une réponse [1] . En plus, vous devriez éviter de réagir sous le coup de la colère ou d'émotions négatives. Vous pourriez dire ou faire quelque chose que vous regrettez [2] ou vous pourriez vous stresser inutilement. Prenez une ou deux grandes inspirations. Cela vous aidera à rester calme. Comptez lentement jusqu'à cinq pour vous assurer de rester calme. 2 Ne réagissez pas. Vous ne devez pas répondre en essayant de rabaisser l'autre, car vous aurez l'air aussi minable que la personne qui vous rabaisse. Cela peut aussi faire augmenter la tension et ne résoudra en aucun cas le problème [3] . Lorsque vous réagissez immédiatement, vous lui donnez ce que cet individu veut. Même si vous avez très envie de le faire, ne répondez pas avec des insultes ou ne postez pas d'insultes sur les réseaux sociaux. Évitez de parler dans son dos. Même si vous pourriez vous sentir mieux sur le moment, cela ne va résoudre aucun problème [4] . 3 Ignorez-le. Parfois, le silence peut être la meilleure des armes [5] . En ignorant quelqu'un qui vous rabaisse, vous le privez du plaisir de votre réponse. Cela vous empêche de gâcher votre temps ou votre énergie pour une personne qui n'en vaut pas la peine. En plus, son mauvais comportement va avoir l'air pire face à votre bonne réaction. Faites comme s'il n'avait rien dit. Continuez de faire ce que vous étiez en train de faire sans lui prêter d'attention. À moins que cet individu soit incroyablement têtu, il va vous laisser tranquille après que vous l'avez ignoré. 4 Dites-lui de s'arrêter. C'est une façon claire de lui faire comprendre que vous voulez qu'il arrête de vous rabaisser. S'il continue lorsque vous l'ignorez ou si la situation est particulièrement ennuyante ou douloureuse, vous pourriez résoudre le problème en lui demandant de s'arrêter. Assurez-vous de rester calme. Regardez-le dans les yeux et prenez une voix claire, contrôlée et affirmée. Par exemple, si un camarade vous insulte, prenez quelques inspirations profondes et dites-lui calmement arrête de me rabaisser ». Avec un collègue de travail, vous pourriez essayer de lui dire je n'aime pas la façon dont tu me parles et dont tu parles de moi, j'aimerais que tu arrêtes de me rabaisser ». Si c'est un ami qui en fait pourrait ne pas vouloir être méchant intentionnellement, vous pourriez lui dire je sais que tu n'as pas voulu me faire du mal, mais cela a quand même été le cas. Ne me rabaisse plus de la sorte ». 1 Comprenez pourquoi cette personne le fait. Les gens qui rabaissent les autres le font souvent pour de nombreuses raisons. Ce n'est pas toujours intentionnel et ils pourraient ne pas avoir voulu vous faire du mal [6] . En comprenant la raison de ce comportement, vous arriverez à déterminer la meilleure façon de le gérer. Certaines personnes le font parce qu'elles se sentent peu sures d'elles ou jalouses. Elles essayent de se sentir mieux dans leur peau en rabaissant les autres [7] . Certaines le font pour essayer d'impressionner quelqu'un ou attirer l'attention [8] . Par exemple, votre collègue pourrait critiquer votre travail devant votre supérieur. D'autres ne se rendent pas compte qu'elles le font ou ne savent pas bien communiquer. Par exemple, votre grand-mère qui vous dit que vous avez une jolie chemise qui cache bien votre ventre. Parfois, les gens ne veulent vraiment pas vous blesser ou être méchants. Ils croient qu'ils vous taquinent seulement sans penser à mal, par exemple un ami qui vous appelle le nain » [9] . 2 Posez des limites. Certains commentaires sont tout simplement ennuyeux et vous pouvez les ignorer. D'autres sont vraiment méchants et blessants et vous devez vous en occuper [10] . En décidant de vos limites, vous arriverez à savoir comment réagir à la situation. Par exemple, lorsque votre frère vous rabaisse, cela pourrait être énervant. Cependant, vous savez qu'il ne le pense probablement pas et qu'il n'essaye pas de vous faire du mal. Vous pourriez même le laisser dire du moment que la situation n'échappe pas à tout contrôle. Cependant, vous devriez probablement avoir une conversation avec un collègue de bureau qui vous fait en permanence des remarques désobligeantes qui vous énervent. Si ces insultes sont discriminatoires ou si elles se produisent souvent, cette personne a dépassé les limites et vous devez le signaler. 3 Discutez avec vos collègues et vos pairs. Les gens qui ne vous connaissent pas bien et qui vous rabaissent ne le font probablement pas pour une mauvaise raison ou ils peuvent être tout simplement énervants. Ne faites pas un scandale, mais faites-leur savoir qu'ils doivent s'arrêter. Si cela est possible, discutez ensemble en privé. Cela permet d'éviter un scandale devant tout le monde et de maintenir un certain respect entre vous deux. Vous pourriez lui dire pendant cette discussion, tu as fait des commentaires plutôt secs à propos de mon idée. J'apprécie les commentaires constructifs, pas les insultes. J'aimerais que tu ne recommences pas ». S'il recommence à vous rabaisser pendant que vous lui parlez de ce problème, mettez fin à la conversation. Si le comportement continue ou empire, vous allez devoir le signaler. 4 Affirmez-vous face à vos proches. Même si cela pourrait commencer comme des taquineries inoffensives, parfois, elles peuvent aller trop loin et vous allez devoir demander à cette personne de s'arrêter. Ne riez pas lorsque vous lui demandez de s'arrêter et ne l'insultez pas à votre tour. Elle ne va pas vous prendre au sérieux et elle va continuer à vous rabaisser. Affirmez-vous d'une voix calme et claire lorsque vous lui demandez de s'arrêter. Par exemple, vous ne devriez pas demander à votre sœur d'arrêter de vous rabaisser en lui disant arrête maintenant, tu crois que tu es mieux avec tes oreilles de Dumbo ? » Regardez-la dans les yeux et dites-lui d'une voix calme et sérieuse OK, ça suffit maintenant, je sais que tu crois que c'est drôle, mais ça m'énerve, je voudrais que tu t'arrêtes ». Si elle ne s'arrête pas tout de suite, vous pourriez lui dire je te demande sérieusement de t'arrêter » avant de partir. Elle va surement venir vous voir pour s'excuser. Parfois, les gens qui vous sont les plus proches ne savent pas distinguer les moments où vous êtes sérieux. 5 Respectez vos supérieurs. Parfois, ce sont vos parents, vos professeurs ou vos supérieurs qui vous rabaissent, souvent sans même s'en rendre compte. Faites-leur savoir que cela vous dérange et que vous aimeriez qu'ils s'arrêtent. Cela leur permet de prendre conscience de ce qu'ils ont fait et de ce que vous avez ressenti. C'est aussi une étape importante pour gérer la situation sur le long terme [11] . Renseignez-vous au travail auprès des ressources humaines pour savoir ce qu'ils vous suggèrent pour gérer les situations où vous vous faites rabaisser par un supérieur. Discutez en tête à tête si vous vous sentez suffisamment à l'aise. Cela permettra de rendre la situation moins inconfortable pour vous deux. Essayez de lui dire lorsque tu dis que mon travail est stupide, cela me dérange beaucoup » ou alors je sais que je n'arrive pas toujours à tout faire, mais ne me dis pas que je suis paresseux, c'est blessant ». Si vous ne vous sentez pas suffisamment à l'aise pour un tête-à -tête ou si vous pensez que cette personne vous rabaisse intentionnellement, vous devez en parler à un adulte ou à un représentant des ressources humaines. 1 Ne le prenez pas personnellement. Les mots des autres ne sont qu'un reflet de ce qu'ils sont, pas de vous. Si cet individu était heureux, il ne passerait pas autant de temps à rabaisser les gens autour de lui. En plus, il fait probablement subit le même traitement à d'autres personnes, pas seulement à vous. Si vous le laissez vous atteindre, vous le laissez gagner. Ne permettez pas que ce qu'il vous dit fasse baisser l'estime que vous vous portez ou vous mette mal à l'aise [12] . Souvenez-vous de toutes vos qualités en faisant une liste de vos points forts. Écrivez ce qu'il vous dit. Chaque fois qu'il vous rabaisse, trouvez trois choses qui prouvent que ce qu'il dit est faux. Faites une liste de toutes les choses gentilles que les autres disent à propos de vous. 2 Utilisez des techniques de gestion du stress. Il peut être stressant de se retrouver face à un individu qui vous rabaisse, surtout s'il le fait régulièrement. Apprenez à utiliser des techniques de gestion du stress pour gérer la personne qui vous rabaisse et le stress qu'elle vous provoque. Faites des exercices de respiration profonde et de méditation pour vous aider à rester calme en présence de cette personne. Entrainez-vous à la pleine conscience, car cela va vous aider avec votre stress et même à mettre en sourdine l'individu qui vous rabaisse. Essayez de faire une activité physique comme un jogging ou de la natation pour soulager votre tension. 3 Demandez du soutien. Vous devriez en parler à quelqu'un et demander de l'aide si une personne vous rabaisse en permanence ou a un comportement vraiment méchant. Dites à une personne qui représente l'autorité comme un professeur, un parent ou un supérieur ce que cet individu vous fait subir. L'utilisation d'un système de soutien vous aide de nombreuses façons. Ces gens peuvent vous aider lorsque vous vous faites rabaisser ou même signaler ce qu'il se passe [13] . Parlez à une personne de confiance de ce qu'il se passe. Donnez-lui le plus de détails possible pour qu'elle puisse bien comprendre la situation. Demandez-lui de l'aide pour gérer la personne qui vous rabaisse. Cela pourrait être tout simple, par exemple en demandant à un ami de rester près de vous lorsque vous demandez à cette personne d'arrêter. Cela pourrait aussi vous amener à signaler cet individu aux autorités. 4 Passez du temps avec des gens positifs. Lorsque vous passez du temps avec des gens qui ont un comportement positif, vous arrivez à mieux gérer le stress causé par quelqu'un qui vous rabaisse. Cela vous aide aussi à prendre soin de vous en général. Vous réduirez votre stress en passant du temps avec des gens positifs. Cela vous permet d'oublier l'individu qui vous rabaisse et les sentiments qu'il vous provoque [14] . Essayez de socialiser et de discuter avec des gens qui vous remontent régulièrement le moral. Ne parlez pas seulement de la personne qui vous énerve, faites aussi quelque chose d'amusant ! Avertissements Si quelqu'un vous rabaisse à cause de vos origines, de votre couleur de peau, de votre âge, de votre sexe, de votre orientation sexuelle ou de votre handicap, vous devez conserver des preuves pour signaler l'incident aux autorités. Si vous vous sentez menacée ou si on vous a blessé physiquement, vous devez contacter immédiatement les autorités. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 408 772 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?Finalement chéri (e) veut vivre et vous quitte. 4. Lassé (e) d’être isolé (e) Avant d’être en couple, la vie sociale de votre conjoint (e) était riche. Il ou elle sortait et voyait ses amis. En couple avec un dépendant affectif, notre vie sociale se dégrade.
Oups, le prince charmant a un siège-auto dans sa voiture et des dessins sur son frigo. Le tout livré sans mode d' les conseils avisés de belle-mère », qui vous le disent pas facile, mais on s'en sort en suivant quelques règles...Pour que tout le monde trouve sa place, il faut jouer aux chaises musicales. Parfois, Fred part en week-end seul avec les enfants, je ne m’impose pas, j’en profite pour faire une soirée filles, ou vendredi, jour où on les récupère, c’est moi qui vais les chercher à l’école pour passer une heure en tête à tête avec eux. La semaine prochaine, Fred emmène son fils à un concert de Kendji. J’en profiterai pour aller faire un bowling avec sa fille. Sarah, en couple depuis deux ans, deux beaux-enfants. On sait ce qu’on peut apporter Je me suis demandé ce que j’avais envie de leur transmettre, en quoi je pouvais être une valeur ajoutée » pour eux. Ma réponse les voyages. Leur mère a peur de l’avion. Moi, c’est ma passion et j’ai envie de leur faire découvrir différentes cultures… Sentir qu’on apporte quelque chose, qu’on est légitime, qu’on n’est pas seulement celle qui a piqué leur père et la place dans le lit où ils se réfugiaient pour regarder Koh-Lanta ». Célia, en couple depuis huit mois, deux beaux-enfants. On partage ce qui nous touche Une scène à laquelle on a assisté dans la rue, un film, un livre, une discussion… Face à un enfant avec qui on va être amenée à partager un quotidien, il faut raconter ce qui nous touche, ce qu’on a aimé… ça l’encouragera à faire pareil. Je suis engagée auprès de l’organisation internationale Sea Shepherd et, il y a trois ans, j’ai montré à mon beau-fils de 12 ans Blackfish », un documentaire sublime sur les orques. Il a aimé, mais a ajouté avec franchise sans plus ». De son côté, il m’a fait une démo de Resident Evil »… Pas trop mon truc, mais c’est un échange de bons procédés. Surtout, je ne le juge pas, du coup, il me respecte. Emilia, en couple depuis trois ans, un beau-fils. On écrit les règles On a les filles un week-end sur deux. Leur père culpabilise de ne pas les voir souvent alors, quand elles sont là , il n’y a plus de règles. Résultat, j’interviens et je passe pour la rabat-joie. On vient d’afficher les règles de la maison » dans la cuisine. Dix points, sur lesquels on est tombés d’accord Samuel et moi. C’est acté, les enfants savent à quoi s’en tenir. Ça m’évite d’avoir à les reprendre quand leur père ne relève pas. Parce que, désormais, il suffit d’un regard ou d’un sourire en coin pour leur signifier qu’il y a un problème de coude sur la table ou qu’on ne dit pas la sœur à ». Aurore, en couple depuis deux ans, deux belles-filles. On lit l’histoire du soir C’est comme ça que je me suis rapprochée de la fille d’Antoine, 4 ans. Dix minutes à lui lire une histoire, ce n’est pas long, mais c’est un moment d’intimité et de tendresse. Je ne suis pas une conteuse, je ne fais pas les différentes voix, et je ne mime pas le méchant, mais on est côte à côte et c’est sympa. Un rituel, ça permet de s’intégrer tout doucement dans la vie quotidienne d’un enfant. Surtout que, pour le moment, je ne vis pas avec Antoine. Anne, en couple depuis un an, une belle-fille. On fait des choses ensemble Il faut accepter que, pour établir un lien avec ses beaux-enfants, ça puisse passer par autre chose que la parole. C’est même plus simple. Peu de temps après avoir rencontré leur père, j’ai proposé à mes belles-filles de refaire la décoration de leur chambre. Se concentrer sur un objectif commun, être dans l’action, ça rend les choses plus fluides et naturelles. Maria, en couple depuis six ans, deux belles-filles Être belle-mère c'est de la compréhension On ne critique jamais leur mère Même si, elle, ne se gêne pas pour le faire, même si c’est dur… Je ne dis rien, j’encaisse. Comme ça, je reste légitime auprès d’eux. Totalement neutre. Et quand ils insistent Maman, elle fait les pâtes mieux que toi. » Je leur prouve juste qu’il y a mille façons d’accommoder des plats, et je leur propose de faire la cuisine avec moi. Il faut de la patience, et mettre son orgueil sous le torchon. Laura, en couple depuis quatre ans, trois beaux-enfants. On est avant tout l’amoureuse du père Au début, quand je voyais mon beau-fils de 15 ans sortir tous les week-ends malgré son bulletin catastrophique, je bouillonnais. Parce que je ne savais pas ce que j’avais le droit de dire. Mon équilibre, je l’ai trouvé. Je dis à mon mec ce que je pense, parce que c’est mon rôle, exactement comme s’il me racontait une anecdote de bureau. Ce qu’il fait de mon avis, ce n’est plus mon problème. Élise, en couple depuis quatre ans, un beau-fils. On leur laisse le choix Le fameux T’es pas ma mère », je l’ai entendu très vite. Ça a fusé quasiment le deuxième soir. Au lieu de me braquer, j’ai choisi de l’utiliser. Par exemple Si tu étais ma fille, on referait tout le contrôle, pour comprendre là où ça coince. » Ça sous-entend plein de choses qu’elle n’est pas obligée d’accepter, que je ne suis pas obligée de lui proposer, mais que c’est dans son intérêt que je le fais. Le fait de les laisser décider, ça les responsabilise dans cette relation, où au fond personne ne leur a demandé leur avis. Sabine, en couple depuis cinq ans, trois beaux-enfants. On sait botter en touche J’ai envie de hurler chaque fois que je rentre dans les chambres en bazar de ses deux ados. Au début, j’ai refusé de mettre un pied dans le conflit. Aujourd’hui, je refuse de mettre un pied dans leur chambre. Leur linge propre, je le pose sur la commode dans le couloir. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur chambre, il peut m’arriver de ne pas voir leur linge sale pendant des semaines, jusqu’à ce qu’ils se plaignent de ne plus avoir de chaussettes. Je fais l’autruche, et ça fonctionne très bien. Depuis quelque temps, ils pensent à jeter leur linge dans le panier. Céline, en couple depuis quatre ans, deux beaux-enfants. On connaît les enjeux de l’aventure Avant de devenir belle-mère, j’avais entendu une phrase dans les Maternelles », que bizarrement j’ai retenue tout de suite Être belle-mère, c’est aborder la maternité par la face nord. » C’est devenu un mantra. Être belle-mère, c’est plus dur qu’être mère. Alors on a le droit d’en avoir ras le bol, le droit de jeter parfois l’éponge, le droit d’appeler à l’aide, le père surtout, à qui on demande conseil, mais jamais de prendre parti… Pas facile ! Mais accepter que ça soit difficile, ça change tout. Laura, en couple depuis six ans, un beau-fils. On applique la technique du Et moi alors ? » Quand on est de nature à être trop gentille et à avoir peur de déranger, ça peut vriller très vite. Pour que ça fonctionne, une belle-mère doit au contraire défendre sa place et ses intérêts bec et ongles. Pas facile pour moi… Alors j’applique la technique de ma nièce de 4 ans quand elle s’engueule avec ses copines Et moi alors ? » Cette petite phrase, ça m’aide à avoir le sursaut d’égoïsme nécessaire en cas de besoin. Encore un déjeuner chinois ? Et moi alors ? Vous savez, je fais des allergies à l’arachide et la sauce des nems, c’est un piège pour moi… » Évidemment, on ira manger des nems, mais la prochaine fois, ils me demanderont si ça ne me dérange pas. Léa, en couple depuis deux ans, deux beaux-enfants. On détermine ce qu’on a à gagner dans cette situation Quand j’ai rencontré Louis, il était papa d’un petit garçon de 2 ans. Après des débuts compliqués, je suis allée voir un psy. Pour lui, tomber amoureuse d’un papa » n’est pas un hasard. J’ai été élevée par ma mère, sans père, et j’ai toujours été son bébé. J’ai compris que je ne m’étais jamais vraiment positionnée en adulte dans ma vie, et que cette histoire d’amour mettait le doigt là où ça faisait mal… Mais aussi là où ça pourrait faire du bien. À partir de là , j’ai pris mon rôle de belle-mère comme un défi personnel m’affirmer en tant qu’adulte, autonome affectivement, et ce, grâce à mon homme qui est déjà papa. Caroline, en couple depuis un an, un beau-fils.Etretrop gentil, trop bienveillant et trop attentionné sont des choses qui existent bel et bien. Pour surmonter la dépression vous devez arrêter de vous courber pour gagner Beaucoup de comportements que nous pensons être gentils proviennent souvent de la peur, de l’obligation ou de la culpabilité. Si vous êtes là , car vous aimeriez éviter que ce besoin d’approbation domine vos actions et vos comportements, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous verrons de quelle manière vous pouvez changer de comportement afin d’éviter les déceptions, car vous en avez marre d’être trop gentille. En France, comme ailleurs dans les pays occidentaux développés, le comportement qui consiste à plaire aux gens a tendance à influencer bcp de personnes dans notre société d’aujourd’hui. Cela semble être le résultat du conditionnement de la gentillesse », un terme utilisé par les psychologues pour désigner les schémas de pensée omniprésents qui nous sont inculqués dès notre plus jeune âge par ceux qui nous élèvent. Alors, voyons de quoi il s’agit en détail ! Marre d’être trop gentille ? En savoir plus sur ce comportement qui engendre la déception Dès le plus jeune âge, on nous dit de sortir de nous-mêmes et d’être une bonne personne, ce qui nous amène à développer une méthode de comportement systématiquement non intuitive. En effet, cette façon d’être peut entraîner des symptômes néfastes et une approche inefficace de la prise de décision sur le long terme. La voie à suivre pour dissiper ce brouillard qui obscurcit nos désirs est une voie intérieure qui nous permettra d’être nous-mêmes sans honte. Cette voie va à l’encontre de ce que la plupart des membres de notre société considèrent comme un comportement acceptable », mais cela peut être rectifié par une compréhension plus profonde de la gentillesse chez les êtres humains, de ses racines et de ses alternatives supérieures. La gentillesse Ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas Perso, j’estime qu’il est utile de faire la différence entre la gentillesse » et la bonté ». Du point de vue des experts La gentillesse est ancrée dans la peur, le besoin de s’assurer que tout et tout le monde va bien, et d’éviter les conflits. » Ce mode sécurité » est si répandu qu’il agit comme une personnalité adoptée, où l’on recherche constamment les dangers possibles et où l’on prévoit de les éviter. Cela crée des scénarios irréalistes et dramatiques où tout est une crise. La bonté, en revanche, est une générosité ancrée dans le choix. C’est comprendre que vous avez la possibilité de faire quelque chose pour vous-même ou pour quelqu’un d’autre, puis de le choisir parce que c’est plus désirable pour vous. Ce choix nécessite un certain degré de conscience de soi où vous êtes capable de vous demander sincèrement ce que vous voulez faire et de force consciente où vous êtes capable de faire ce que vous voulez et de tolérer toute désapprobation. La plupart des gens ne se rendent même pas compte que c’est une question très importante. Ils pensent soit que c’est égoïste, soit que c’est mauvais ou inacceptable de la poser… Ce n’est pas parce que vous demandez Qu’est-ce que je veux ? » que vous allez vous précipiter et forcer le monde à vous le donner immédiatement. Cependant, cela fait partie de la connexion avec soi-même et tout le monde a le droit d’être soi-même. L’une des objections les plus évidentes à faire ce que vous avez envie de faire, c’est que cela sera tjrs perçu comme égoïste, mauvais et malsain. Si les experts reconnaissent qu’un certain degré de besoin d’approbation est normal et nécessaire, ils préconisent de trouver un degré de gentillesse qui ne domine pas ; un degré où vous êtes capable de vous poser la question la plus précieuse Qu’est-ce que jai envie de faire ? ». À lire en lien La Méchanceté Des Gens 8 Façons Efficaces Pour S’en Protéger Le spectre de l’égoïsme De l’égocentrisme à l’abnégation Contrairement à la croyance populaire, l’égoïsme n’est pas binaire ni objectif ; c’est juste une étiquette subjective placée sur des actions. Au-delà de la subjectivité, il existe également un spectre de l’égoïsme – un spectre qui implique deux extrêmes et un équilibre sain au milieu. Ces deux extrêmes sont L’égocentrisme et l’abnégation, laissant un intérêt personnel sain au milieu. Cependant, à quoi ressemble un intérêt personnel sain ? Examinons d’abord les extrêmes. L’égocentrisme vous empêche de vous préoccuper de ce que veulent les autres, ce qui vous empêche de nouer des relations avec qui que ce soit. L’abnégation vous contraint à une vie de gentillesse basée sur la peur, connue pour causer des problèmes de santé physique comme des troubles d’estomac, des douleurs chroniques et le syndrome de la myosite de tension et mentale comme la dépression et une insatisfaction générale de la vie. Un intérêt personnel sain exige que vous déterminiez ce qui est bon pour vous sur le moment, plutot que ce qui est bon » selon les normes de la société. Vous devez dissiper le brouillard du conditionnement de la gentillesse. Voici quelques changements qui peuvent vous aider à dissiper le brouillard et à revenir à vous-même et votre développement personnel. – Supprimez les pensées négatives et changez-les en Ce que je veux est intrinsèquement BON. » – Réalisez qu’être en contact avec vous-même est meilleur pour vous et pour tous les autres. Ne pas savoir ce que vous voulez dérange les autres et ne leur donne rien sur quoi s’appuyer. – Réduisez le temps que vous passez à vous concentrer sur le monde extérieur les médias, les réseaux sociaux, la télévision, soit, tout ce qui obscurcit vos désirs intérieurs par des suggestions extérieures. – Demandez-vous continuellement De quoi ai-je envie en ce moment ? » Cela se construira avec le temps. À lire en lien Vivre Pour Soi Et Non Pour Les Autres Changez De Vie En 5 Étapes ! 4 étapes à suivre pour vous libérer de ce comportement 1. Reconvertir la gentillesse en authenticité La tolérance à l’inconfort votre capacité à vous lancer dans plein de choses que vous trouvez inconfortables et à les faire est transférable. L’une des techniques les plus puissantes pour surmonter le conditionnement de gentillesse est d’apprendre à dire non » de manière appropriée. Pour rappeler l’objection précédente sur l’égoïsme, il est important de savoir que dire non » peut être égoïste ; mais que parfois, ça ne l’est pas. Dire non » peut être difficile, voire effrayant, pour certaines personnes, alors discutons de deux des hypothèses incorrectes qui rendent la chose difficile 1. Le résultat dramatique que vous imaginez se produire, une fois que vous avez dit non, ne se produit pas réellement. 2. Et s’il y a une réaction négative, vous pouvez la gérer, même si cela peut être inconfortable. Les experts suggèrent une stratégie qui consiste à vous mettre au défi de dire non » un certain nombre de fois par semaine, puis d’augmenter ce nombre au fil du temps et vous verrez des résultats spectaculaires très rapidement. Commencez par vous demander De quoi ai-je envie ? », à chaque instant. Puisque le fait de dire oui » peut être un comportement inconscient, se poser cette question nécessite une prise de conscience, des rappels et de la pratique. 2. Savoir dire réellement non » De la théorie à la pratique Voici quelques conseils pour affiner votre capacité à dire non » la prochaine fois que vous aurez du mal à refuser quelque chose qui vous déplaît. – Le monde est un endroit amical » – Utilisez cette phrase pour vous rassurer et aborder les choses comme si elles allaient vous aider et non vous nuire. – Donnez-vous la permission de dire non » – Dire non » est sain et pas mauvais. Ne vous excusez pas, ne vous effacez pas et évitez les explications élaborées. Vous ne voulez pas aller en rdv arrangé ce weekend avec cet homme que votre meilleure amie prétend idéal pour une relation amoureuse ? Dites non » sans vous sentir coupable, en fin de compte, qu’elle s’énerve si elle en a envie ou qu’elle aille en rendez-vous elle-même si elle veut ! Pour la première fois de votre vie, pensez à votre bien-être et ne faites pas quelque chose dont vous n’êtes pas completement sûre ! – Restez ferme – Si deja, vous avez commencé à dire non », alors ce n’est pas le bon moment de refuser une chose juste pour vous engager immédiatement dans une autre. Sinon vous risquez à nouveau de tomber dans un cercle vicieux de mal-être. – Dire non » ne fera pas que les gens vous détestent – d’ailleurs, en leur montrant que votre estime de soi est inébranlable, cela les fera probablement vous apprécier encore plus ! À lire en lien Apprendre À Dire Non Découvrez 25 Techniques Infaillibles 3. Savoir réclamer avec audace La plupart du temps, les gens abordent la peur comme s’il s’agissait d’un mur de briques, mais en réalité, c’est comme un rideau fin que vous pouvez littéralement traverser. La seule chose qui nous en empêche, c’est l’inconfort physique de notre système nerveux. » – Dr Aziz Gazipura Au-delà de l’approche d’inconnus et de l’engagement dans des rencontres sociales inoffensives, il y a un moment où nous devons faire preuve d’audace pour demander ce que nous voulons. Ce besoin se fait parfois sentir auprès de notre patron, nos amis proches ou nos parents ou les personnes mêmes qui sont responsables de nos déclencheurs de gentillesse intense. Les experts considèrent ces déclencheurs intenses comme des poids lourds », tandis que les rencontres inoffensives avec des inconnus sont des poids légers » qui nous permettent de renforcer la confiance en soi. Ils nous recommandent également de reconnaître que la gentillesse ne nous sert pas et qu’elle ne nous ressemble pas. Il nous encourage ensuite à prendre des risques et à affronter l’inconfort même si on manque de confiance en soi. Et la dernière étape consiste à cesser d’avoir peur de nous-mêmes. Il est nécessaire de se demander ce que nous voulons, puis de le demander ! 4. Une mission d’auto-renforcement Les experts terminent leurs conseils par des mesures concrètes visant à favoriser la connaissance de soi, la force intérieure et à mettre un terme à la gentillesse excessive. Vous devez commencer par prendre la décision fondamentale que vous ne voulez plus être aussi gentille et clarifier pourquoi cela ne vous sert plus. Débarrassez-vous des personnes manipulatrices, des pervers narcissiques qui ne pensent qu’à leur intérêt personnel et au lieu de cela, soyez dans un environnement qui vous soutient et avec des personnes avec lesquelles vous avez au moins un point commun bénéfique pour votre propre bien-être. Choisissez une action qui est la plus facile ou la plus bénéfique pour vous comme dire non ». Fixez-vous ensuite un petit objectif spécifique pour cette action comme dire non » deux fois par semaine. À lire aussi Comment Insulter Quelqu’un Avec Classe Les 27 Alternatives Pour finir Alors, si vous en avez marre d’être trop gentille, comment changer de comportement et éviter la déception ? Voici quelques derniers conseils 1. Cessez de chercher votre valeur à l’extérieur de vous-même Soyez consciente des pensées qui vous poussent à faire plaisir aux gens. Pensez-vous que prendre soin de soi est égoïste ? Pourquoi ? 2. Imaginez-vous en train de dire que vous vous défendez Transformez en réalité ces conversations imaginaires que vous avez dans la voiture, sous la douche ou dans le miroir après coup vous savez que vous le faites. 3. N’oubliez pas vous n’êtes pas responsable des sentiments des autres Les sentiments des gens proviennent de leurs pensées et non pas de vos actions. Vos actions sont neutres, vous n’êtes pas responsable de leur dépendance affective ! 4. Risquez ! Commencez petit en disant non merci » à quelqu’un qui essaie de vous donner un prospectus gratuit. Ou faites comme moi et défendez-vous quand une caissière est impolie avec vous. Pour finir, je vous souhaite bonne chance et bon courage pour vous libérer de ce besoin de répondre aux attentes des autres ! Voussavez-quoi ? J’en ai marre ! written by Evelyne 16 décembre 2016. Bon, je ne suis pas du genre à pousser des coups de gueule sur le blog. En fait, je ne le fais jamais. J’ai toujours veillé à être respectueuse vis à vis des autres et, surtout, à ne jamais faire de vague. De peur, peut-être, de me retrouver engloutie dedans. EDIT petite remarque avant que vous ne lisiez cet article, je ne vise personne en particulier. Une grosse partie de mes remarques concernent un peu tout le monde 😉 Il y a encore quelques mois, j’avais deux profils différents sur Facebook un profil professionnel sur lequel vous pouvez encore me retrouver, et un profil personnel avec mes amis, ma famille et des connaissances. Et puis un jour, j’en ai eu marre de facebook j’ai désactivé de manière définitive mon profil personnel. Et croyez-moi, cela fait un bien fou. Pourquoi ? Tout simplement car je juge de plus en plus que Facebook devient un réseau social malsain chez une grosse partie de mes contacts. D’ailleurs, même si je parle ici uniquement de FB, la quasi-totalité des remarques seraient potentiellement valables pour tous les autres réseaux sociaux. Ce besoin de s’afficher Commençons par les raisons évidentes mais pas forcément celles qui m’ont réellement poussées à partir. La première chose que tout le monde constate facilement je l’ai d’ailleurs lu des dizaines de fois dans des articles qui parlent de quitter Facebook », c’est ce besoin que certains individus ont à obtenir une reconnaissance sociale constante cette fameuse course aux j’aime » ! L’addiction à Facebook Certaines personnes semblent chercher à tout prix à avoir cette sacro-sainte reconnaissance personnelle, comme si leur vie et chacune de leurs actions étaient systématiquement dignes d’intérêt et qu’il fallait que les autres s’y intéressent. Pêle-mêle, vous retrouverez parmi eux des personnes qui écrivent tout ce qu’ils font et dont tout le monde se fout, et ceux qui tournent autour du pot pour capter l’attention des autres, par exemple avec ce type de statut En pleine réflexion sur ma vie. Que faire ? Bref, rien de tel qu’un bon coup de pelle pour se débarrasser de ce type d’individus je rigole, hein…. Voyeurisme et frustration Je te vois Un des autres éléments qui font de Facebook un réseau social malsain, c’est ce besoin de voir ce que font les autres. J’avoue en avoir été victime, et cela peut parfois devenir addictif pour certains même si au final rien n’est intéressant, vous allez regarder ce que font les autres. Cela devient ensuite une habitude, et vous êtes même parfois frustré quand il ne se passe rien d’ailleurs, dans ces cas de figure, il ne se passe rien non plus chez vous…. Vous avez d’ailleurs sans doute eu ce réflexe débile de recharger la page avec F5 ou en cliquant sur le magnifique logo de Facebook, juste pour voir ce qui s’est passé depuis une minute ou si vous avez de nouveaux like si vous faites partie de ceux qui veulent flatter leur ego. D’ailleurs, vous êtes aussi parfois vu sans le vouloir, avec des contacts qui vous identifient dans leurs statuts et photos. Dépression en vue Pire encore, ce réseau peut devenir une réelle source de frustration et de mal-être. Pourquoi ? Tout simplement car parfois, votre vie n’est pas satisfaisante, et voir ce que font vos contacts peut être une réelle source de dépression. Cela commence par exemple par les photos de vacances de vos proches alors que cela ne se passe pas bien à votre travail, et que vous, vous n’êtes pas en congés. Mais cela peut devenir beaucoup plus gênant, comme par exemple quand on n’arrive pas à avoir d’enfant et qu’on voit le bébé trop chou de tel ou tel contact à longueur de journée, ou qu’on se prend des échographies dans la figure sans y avoir été préparé. Ou alors, vous allez vous plaindre d’un élément futile je suis le premier à le faire, alors que certains de vos contacts ont peut-être perdu un proche, sont gravement malades ou viennent d’être renvoyé. Vous ne saurez jamais ce qui se passe dans la vie des autres, donc apprenez à être prudent dans vos publications. Un téléphone vissé à la main Ces réseaux sociaux sont partout, y compris maintenant dans nos téléphones et tablettes. En soi, rien de gênant cela l’est beaucoup plus quand cela vous coupe systématiquement de votre entourage. Qui n’a jamais été en soirée avec des amis en train de discuter de tout et de rien, puis certaines personnes sortent leur téléphone et s’excluent du groupe. Je peux comprendre que lorsque l’on s’ennuie on cherche à faire autre chose. Mais j’estime qu’il y a un minimum de respect à avoir avec les personnes avec qui l’ont est. Des téléphones addictifs J’avoue l’avoir fait certaines fois, avec mes amis ou avec ma famille. J’avoue aussi le faire encore de temps à autre avec d’autres réseaux sociaux ou applications. Mais promis, j’essaie de me soigner. On le voit d’ailleurs très vite chez ses proches ceux qui ont leur téléphone dans leur main ou posé sur la table, et ceux qui ont la décence de le ranger ailleurs. Chez certains proches, je sais d’ailleurs que ce sera systématique il ne se passera jamais une soirée ou une journée pendant laquelle ils ne passeront pas au minimum 10-15 minutes sur leur téléphone, alors que vous êtes à un mètre d’eux. Chronophage et non pertinent Ce dont on se rend compte également lorsque l’on quitte Facebook ou tout autre réseau sur lequel on est trop souvent actif, c’est que l’on gagne beaucoup de temps libre, et on se concentre sur d’autres activités plus saines passez du temps avec sa famille, ses amis, lire, sortir, se reposer, regarder des films… Vous n’imaginez pas le temps que vous passez sur Facebook avant de l’avoir mesurer. Cela rejoint d’ailleurs mon exemple sur ce fameux rafraichissement de page pour voir ce qui se passe de neuf. Essayez un jour les applications du type RescueTime , et vous verrez l’impact que ces réseaux peuvent avoir sur votre emploi du temps. Juge et bourreaux Une autre chose que je ne pouvais supporter, c’est que le fait que chaque statut ou action est jugée par tout le monde. Tout le monde a toujours un avis sur tout vos contacts vont ainsi commenter et critiquer ouvertement ou derrière votre dos tout ce que vous faites ou écrivez. Tous juges sur Facebook Je suis sûr que vous avez déjà eu au moins une fois des discussions plus ou moins houleuses avec certains contacts, et sur des sujets aussi variés que parfois puérile politique, religion, bien-être des animaux, écologie, humour… Et la grosse problématique sur Internet, c’est que vous n’avez pas l’intonation qui va avec le texte. Pourtant, cela peut en dire long sur votre pensée réelle, notamment quand vous faites de l’humour. Pire encore, une simple phrase mal tournée peut être très mal interprétée par vos proches. Contrairement à une discussion de vive voix, vous ne pourrez jamais échanger de manière aussi sereine que dans la vie réelle. Je ne te respecte plus Et pour terminer le non-respect de vos contacts, de votre famille et de vos amis. Quand vous en arrivez à un stade où vous apprenez par Facebook des nouvelles importantes de votre entourage le plus proche, il y a de quoi l’avoir mauvaise, comme par exemple une annonce de mariage ou encore d’un bébé qui va arriver dans 9 mois oui oui, avec la photo du test de grossesse qui vient de servir…. Si vous considérez tous vos contacts sur FB au même niveau, et que passez les voir ou leur donner au minimum un coup de fil pour ce type d’évènements est trop complexe, c’est que vous n’être peut-être pas si proches, ou alors que vous ne les respectez pas forcément. Mais tu es encore sur Facebook ? Bref, plus le temps passait, plus j’avais l’impression de m’éloigner de plus en plus de mes contacts Facebook, alors que paradoxalement c’est ainsi que j’en savais le plus sur eux… Alors oui, j’y suis encore, mais uniquement à titre professionnel vous verrez parfois certains statuts plus léger de ma part, mais plus jamais je ne partagerai d’éléments trop personnels. J’ai gardé quelques rares contacts de ma famille et de mes amis sur cet autre profil, mais cela s’arrête-là . A vrai dire, il y a une seule chose qui me manque et qui explique la présence de quelques proches les conversations de groupes, car elles sont super pratiques pour organiser une soirée, un anniversaire ou des vacances. Je ne peux donc que vous conseiller une chose désactivez votre compte Facebook ! Cela fait bizarre au début, mais en réalité cela fait un bien fou ! Pour terminer, voici une petite vidéo pour montrer l’impact que les réseaux sociaux peuvent avoir sur notre vie. VqZcV.